Le 18 novembre, Sharon Jones est morte à l’âge de 60 ans, des suites d’un cancer du pancréas. Diva funk et soul, véritable bête de scène, la chanteuse new-yorkaise a connu un parcours pour le moins singulier. Dans les années 1980, elle chante dans les mariages tout en étant gardienne à la prison de Rikers Island ou convoyeuse de fonds. Ce n’est qu’à 40 ans passés que sa carrière démarre véritablement grâce au label Daptone Records, l’un des principaux instigateurs du revival soul dans les années 2000. Viennent ensuite six albums enregistrés avec les fidèles Dap-Kings, le groupe phare du label, qui la conduiront lentement mais sûrement jusqu’à la gloire.
Excellent titre (que je n’ai pas compris tout de suite).
RépondreSupprimerMerci. J'aimais bien Sharon Jones. J'aurais bien postulé au job de titreur de nécros dans Libé, mais le poste est déjà pris. Je me souviens d'un excellent "Stanley claque" à la mort de Stanley Clarke.
RépondreSupprimerKeith Jarrett de respirer.
RépondreSupprimerAlain Voss commune.
Tiens, je vais republier Heilman.
http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2012/08/heilman-16.html
c'est comme ça que je m'aperçois qu'on s'était croisés sur le blurg de Frissen en 2012.