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jeudi 7 juillet 2022

Alain Souchon Anthologie [Disc 16] Versions Étrangères Et Live, Poèmes Inédits (2019)

 descriptif du fournisseur :

Ce coffret limité regroupe pour la première fois la quasi-totalité de ses albums studio, dans leurs pochettes originales cartonnées reproduites de façon incroyablement cheap.
Inclus aussi 2 CD bonus proposant des titres hors albums, de rares versions live ou étrangères, et des inédits (Les versions anglaises Jim's Story et Just as You Please, lecture de poèmes de Musset, Apollinaire, Verlaine, Baudelaire...)

commentaire utilisateur :

attention, ne pas avale, sinon fini la garanti (référence au gag d'Edika qui a fait long feu dans nos colonnes)

Nomenclature du contenu du disque 16 ci-inclus:



dimanche 12 juin 2022

Alain Souchon Anthologie [Disc 15] Titres Hors Albums Et Duos (2019)

Comptez bien 63,18 €
dans l'espace culturel Lclerc le plus proche
descriptif du fournisseur :
Ce coffret limité regroupe pour la première fois la quasi-totalité de ses albums studio, dans leurs pochettes originales cartonnées reproduites de façon incroyablement cheap.
Inclus aussi 2 CD bonus proposant des titres hors albums, de rares versions live ou étrangères, et des inédits (Les versions anglaises Jim's Story et Just as You Please, lecture de poèmes de Musset, Apollinaire, Verlaine, Baudelaire...)

Robert Cognard nous donne son avis d'usagé : 
Comment une maison de disques peut-elle oser vendre un tel ramassis ? Qui a osé donner son aval ? Les disques ne sont pas remasterisés, les pochettes sont de pâles copies des originaux, le livret n'est même pas digne de servir de papier wc. Et l'artiste dans tout cela ? 
Il ose en faire la promotion ? 
Non décidément cette intégrale est une honte. 
Une moquerie sans nom.

Nomenclature du contenu du disque 15 ci-inclus:



jeudi 16 septembre 2021

[Repost] Gérard Manset - l'atelier du crabe (1980)

24/09/2009

Tous les matins, le boss arrive le premier au bureau.
Sinon, c'est pas un bon boss.
J'ai ressorti ma platine vinyle, et à l'aide d'un simple câble minijack / cinch, du logiciel audacity et d'un peu de bon sens, j'ai rippé un vieux Manset de derrière les fagots. Peut-être son moins pire, empreint d'une certaine sobriété malgré le fil du rasoir de la complaisance... enfin bref, Manset selon la formule consacrée on aime ou on déteste, et que dire de ceux qui s'en moquent, en tout cas celui-ci me semble plus réussi (parce que plus léger) que beaucoup d'autres, on le devine même sourire sur le titre "l'atelier du crabe", ce qui est assez improbable... 
Des chansons comme Manteau rouge ou Les rendez-vous d'automne représentent peut-être la quintessence de son art fait d'angoisse existentielle ritualisée et traduite en lancinantes ritournelles. Et Marin'bar aurait pu être chantée par Julien Clerc, autre chèvre célèbre, bien que broutant dans une autre cour. Images mentales bien construites, arrangements dignes et implacables... Réjouissez-vous !

[Edit] 17/05/2014
Ils ont l'air contents. On dirait presque
qu'ils y ont pris du plaisir !

J'ai écouté son dernier ralbome d'auto-reprises, je n'en attendais rien, ben j'ai pas été déçu. Mais bon, il a bien le droit à la redite, ou à mutiler son oeuvre, il est Seigneur en son château comme chacun d'entre nouille. Ah, tiens, trente ans plus tard, il rajoute deux petits vers inédits et bien inutiles à "Manteau Rouge", poussant ma verson vers le collector.
M'enfin, il n'y a plus guère que cette ispice di counasse de Pascale Clarke qui se pâme d'aise quand elle l'invite en studio et qu'il condescend à répondre à ses questions de midinette.
Et pourtant, Manset on y revient, car on peut tout à fait l'aimer et le détester en même temps, et parler de lui c'est parler de nous. Je vous épargnerai pourtant ma conférence "Connaissance immonde" pour aujourd'hui parce que je sens bien que tout ce que je pourrais dire de pas sympa me reviendra dans la figure par la loi du karma, et qu'au fond cet album plutôt léger et guilleret se bonifie avec le temps. Mais si on ne s'est pas fait des nœuds dans la tête avec les chansons de Gérard quand on était petit, il est sans doute un peu tard pour commencer.
http://www72.zippyshare.com/v/90716229/file.html

[Edit] 08/06/2014

Jeepeedee a rippé tous les vinyls originaux ici :
http://jeepeedee.blogspot.fr/2014/06/gerard-mansetvu-ca.html
Ca durera ce que ça durera.
Moins longtemps que les impôts sans doute.

[Edit & Repost] 16/09/2021
Pulls jacquart et guitares demi-caisse...la classe à Dallas !
C'était l'bon temps. Et dans le studio d'enregistrement, 
le masque restait sur le mur !

Quand on reposte un article déjà reposté, on devrait pouvoir inscrire "Repost2" dans le titre, mais ça fait tout péter l'interface. Tant pis. La semaine dernière, j'ai tenté de faire écouter du Manset à quelqu'un qui en ignorait tout, et que je ne connais que par internet, c'est à dire pas très bien du tout. Dans ce cas, il vaut mieux y aller mollo, sauf quand on est en crise hypomaniaque et qu'on passe à l'ouest du sens des nuances, et alors là, priez pour que votre femme ne vous chope pas derrière votre ordi en train d'écrire des conneries impliquées à des inconnus. Je disais simplement à cette personne comme ça me venait que Gérard Manset, c’est l’équivalent d’un test PCR anti-dépression : si tu n’es pas mise à bas en l’écoutant, tu ne seras jamais dépressive. Et du coup, tu n’as pas besoin de vaccin. Tu génères assez d'anticorps. C'était un peu fallacieux, comme argument. J'avoue. Limite antivax. Personnellement, je l’appelle Gérard Manchié, mais c’est parce que je l’ai beaucoup écouté, à un âge où ça rentrait comme dans du beurre, et le beurre dans le kouign amann. Soyons sérieux : le kouign amann n'a jamais rendu quiconque dépressif. Mais du coup m'est reviendu l'Atelier du Crabe, cet album atypique, pas du tout déprimant, à part peut-être "les Rendez-vous d'Automne" qui enfile des images vertigineusement angoissées et qui file des métaphores relatives à une apocalypse que le protagoniste sent venir sans pouvoir ni lui donner corps ni s'en défaire, comme dans le film "Take Shelter", disque léger, alors que tant d'autres du Maître semblent enregistrés sur Jupiter, ou au coeur d'un trou noir dont même la lumière ne peut s'échapper tant la gravité y est forte, disque postérieurement renié, mutilé, par Gégé-la-Saumure, l'alter ego décati-vieillissant de Gérard, son Gainsbarre, disque démembré comme beaucoup d'autres, dont il ne subsiste dans l'Histoire Réécrite par Gégé qu'une " version reconstituée tirée du coffret MansetLandia 2016. Version remixée, des paroles gommées (Automne), Manset relit au lance-flamme sa période 1970 - 1983 dont seul Orion sort indemne. À l' instar d' Yves Simon qui rejette sa période 1967 - 1971, Manset ne s' intéresse et ne respecte ses parutions qu' à partir de Matrice. La technique remplace la création originale. Regrets et gâchis."
C'est un commentaire utilisateur par celui qui l'a mis en ligne sur un fofo bittorent, du coup je n'ose même pas la télécharger, ça sert au moins à ça.
Concernant cette ressortie du frigo des originaux de l'atelier du crabe, que dire ? d'habitude, quand on met un crabe au frigo, ça pue, hier j'ai mangé une araignée de mer qui y séjournait depuis dimanche, franchement j'ai failli ravaler mon pass sanitaire et ma femme était grave incommodée par l'odeur, alors que là, non, tout l'album reste d'une insoupçonnable fraicheur, dense mais toujours élégant
Marin'Bar dresse le portrait flatteur d'une splendide gamine, dans un pays exotique non précisé, portrait à la fois équivoque et sans aucune arrière-pensée. Et en plus, c'est une chanson enjouée. Thème et traitement à cent mille lieux des obsessions coutumières du monsieur. On est ici deux ans avant un an après Royaume de Siam, chanson pleine de déférence envers le caractère opiniâtre et résilient des habitants de la Thaïlande, sans doute la meilleure période de ce monsieur Manset qui se ballade alors beaucoup à l'extrême-étranger, avec nos sous, à l'époque où nous achetions ses disques étonnants, avant que de devenir un odieux connard et de saloper son oeuvre passée avec des remix de merde.
De toute façon, qu'est-ce qu'on en a à braire, que Warsen écoute un vieux Manset et le trouve moins pénible que les autres ? Il mourra moins bête, mais il mourra quand même


Et pendant ce temps, que devient Gérard Manset ?
Des fois, y vaut mieux pas savoir.
Faudrait pas que ça grandisse.

mardi 12 janvier 2016

Various ‎– Ghosts Of Christmas Past (1981)

(écrit avant la fusion de Bowie avec le Grand Tout)

Et voilà...
Comme Guy Béart et Michou Delpech,
Noël 2015 est dans le tiroir.
J'espère que vous en avez bien profité.
J'ai découvert cette vieille compile, pas moisie du tout, sous le sapinou.
Dire qu'il m'aura fallu 35 ans pour découvrir le "Weihnachtrap" de Tuxedomoon, et tous les autres titres neurasthéniques qui hantent cet album malade, qui me consolent un peu de cette période où l'ordre de jouir retentit tragiquement entre les oreilles de ceux qui sont nés sans aptitudes particulières.
Je n'aurai donc pas vécu en vain.






http://magickrew.magicrpm.com/325508/Chantons-Noel/

http://www.discogs.com/Various-Chantons-Noël-Ghosts-Of-Christmas-Past/release/1180824


http://www.mediafire.com/download/nqrah2q2876tmuz/CH_GOCP.zip

Complément de programme :

Evil twin brother of Father Christmas

vendredi 30 mars 2012

Les Disques de la Vache qui ouit # 2 - Dédé et Mireille #3 - Maudite cassette (1986-87)

Alors d'abord, quelques paroles, sans doute parmi les plus belles qu'on ait enfilées sur des colliers de perles soniques dans l'espoir inavoué, et il faut bien la deux mêtres inavouables, de se mettre une princesse au bout du gland, car telle est en vérité la principale motivation des chanteurs de variétés verdâtres et mordorées.

En tout cas ça serait celle-là qui ma biterait du premier au dernier étage de mon hêtre si je n'étais pas un gland qui ne chante auprès de mon âne que pour humecter les champs en période de sécheresse, vu la raideur de mon organe vocable pas tibulaire mais presk, comme en attestent de nombreuses vidéos qui émaillent et éraillent ce blog funéraire.













Ensuite, dans un de ces échanges kotidiens et pistolaires que j'ai avec feu DD et feu Mirlaine (couleurs) qui viennent de se re-cueillir sur ma tombe, j'ai récemment reçu un billet confondant de naïveté et éperdu d'adoration mouette, quand les gars se sont dit qu'après avoir été floués sur le chaubize, ils allaient enfin accéder à la célébrité posthume tant je leur vantais mes 25000 connexions/jour  (21 selon la peau lisse) et tous les brouzoufs qu'on allait se faire grâce aux milliers de lecteurs qui cliquent sur mes pubs google pour m'aider à confectionner mes articles de plus en plus hors de prix mais restant à la portée de toutes les bourses, ce matin encore l'un deux fraichement équarri par des horaires de le véto, alors que je leurs proposais d'étaler le rythme du déballage de leur quincaillerie entre un par semaine et un par an afin d'aménager un maximum de sucepince et de mettre le lectorat à genous sans X, pas plus tard que le 29 mars 2012 à 06:12, *** a écrit :

merci à toi John, et pour la suite, c'est comme vous voulez, tous les jours toutes les
semaines ou toulézan pour moi c'est pareil, salsepareille


R : Ben moi je vote pour touléZan qui sont revenus réglisse, ésafé un paké.
Je ne sai pas pourquoi chez vous ça s'affichait tout pitit, je n'ai rien fai, paltan, débordé de nouilles au biro qu'il était morice, Djin augure la semaine à 70 heures de taf, et rené va renégochier les zaccords de Grenaille, que par-dessus la grille de Bouse en mi bémoll ça se joue sur le mode myxolydien myxomatose, blague encryptée por nada amigo, guitariste à moi kejaime dont je suis fan de chichourle, et surtout merci a vou d'avoir existé et dexisté ancor, sinon paplu d'artikl sur le blogaouarson que de beur en broche (sauf moha "cherche la med" reza kila bien cherché)
et vouala toute l'istoire, dit Jaune Larsen avant d'aller mater Breaking Dad sur son écran plasmé.

et bien sûr, sanzoublié la gadget du pif qu'on parlait hier ancor :

http://bayfiles.com/file/6v2l/bGmAZv/maudite_cassette.zip

 J'espère que vous prenez des notes, parce que demain y'a interro surprise.

jeudi 8 mars 2012

[ Repost ] Les Sax Pustuls : l'avis des animaux (1982)


Originalité, musicalité, radicalité.
Jazz-Rock rennais du début des 80's.
Inédit sur internet, issu de la collection privée d'un prince de Bretagne qui n'a pas les oreilles en chou-fleur.
Nécessaire et indispensable, et forcément introuvable.
Mais retrouvé.

[ MàJ ] 
samedi 11 mars 2023

vendredi 3 février 2012

Cap Tv - John Warsen (1988-89)

On commence à rentrer dans le dur, avec une inattendue série d'exhumations posthumes que j'essaierai de dater au carbone 14 dès que j'aurai remis la main sur mes pilules contre les pertes de mémoier.
Par "inattendue" je veux dire par là que je suis aussi surpris que vous, mais c'est pas désagréable.
Evidemment, il vaut mieux y avoir été pour apprécier tout le sel de la chose.
Ca tombe bien, j'y étais... et des fois j'avais une caméra à la main.


Ce fut une époque à nulle autre pareille,
J'en profite pour saluer mon Dédé, ma Mireille.
Qui me le rendent bien, surtout en ce moment.
Au plaisir !

mardi 17 janvier 2012

Michel Benita & Manu Codjia -Ramblin' (2008)

 J'aime bien ce que fait Michel Benita en electro-jazz (Drastic, Ethics)



Mais là, il me coupe la chique en faisant un pas de côté vers le folk atmosphérique.
Cette année, j'achète des disques, vous faites ce que vous voulez :

 on peut l'écouter ici,

et l'acheter .

Nous vivons une époque moderne.

Sont-y pas beaux ?
On s'en fout, du moment qu'y jouent bien.


dimanche 3 janvier 2010

La fin de tous les disques de rock : Trio - Da da da (1981)


Avec une économie de moyens qui 30 ans plus tard force toujours le respect, ces boches issus de la mouvance new wave ont poussé leur petite chansonnette tristouille, à la fois dépressive et sarcastique, sur trois notes de farfisa et une caisse claire. Alors que les teutons n'étaient connus que pour l'invention de la bière et les groupes pénibles de métal lourd, les 3 membres du Trio (ach ach) connurent avec leurs minimalistes ritournelles un succès planétaire, fredonnant leur constat terrifiant du désarroi occidental sur de petites mélopées entêtantes et décomplexées ("Ich lieb dich nicht du liebst mich nicht, Da da da", punaise c'est dur à taper)
Un peu comme si le Godard première manière avait vendu sa caméra contre un micro pour des comptines acides et existentialistes, mais tout cela ne vous sera accessible qu'à condition d'entraver un peu la langue de Goethe (niveau débutants, quand même)
L'autre jour j'ai voulu réécouter l'album original, qui est resté affreusement collusionné dans le réduit de mon esprit à des amourettes déglinguées et cendreuses, et pas moyen de remettre la main dessus sur le web, qui n'en offrait que d'infâmes remixes.
Heureusement, il y a quelques années à Stuttgart un mien ami m'avait recraché le vynile vintage sur 2 galettes qu'il me gravait à la main avec son casque à pointe et sur lesquelles il restait de la place, un Raoul Petite et un Zebda. Quand de ceux-là il ne restera rien, on fredonnera toujours Da da da d'un air idiot et compassé.
Ne me restait plus qu'à tronçonner et renommer les fichiers, armés de soundtrack pro, de l'érudition de Discogs et de la légendaire patience de ma moitié quand j'ai dit que j'allais faire du repassage un samedi matin.
Un mot encore sur l'adjectif minimaliste, qui pour moi désigne inconsciemment des artistes qui auraient les moyens d'écrire des symphonies mais réduisent tout à feu doux jusqu'à obtenir des bonsaïs de chansons, c'est un terme un peu impropre car ici on sent bien que l'ambition ne va guère plus loin que les trois accords jetés en vrac dans la cire chaude.
J'ai titré l'article "La fin de tous les disques de rock" parce que c'est grâce à celui-ci que j'ai compris qu'il était vain d'enjoliver ma vie intérieure des dérisoires enluminures que les petits bougnats de la musique anglo-saxonne me proposaient. Grâce à Trio, on voyait l'os, et il n'était plus temps de tergiverser.

vendredi 25 septembre 2009

Lucienne Vernay et les Quatre Barbus - Rondes et chansons de France n°1 à 10 (1958)



Je me régale avec ces versions originales entendues jusqu'à plus soif dans mon âge tendre et miraculeusement retrouvées sur le net.
Warning : explicit lyrics !
Aaah, l'innocence et la cruauté des chansons enfantines...
Rosebud ! Rosebud !
contient les pochettes originales, mais pour sangloter dessus il faudra incliner votre écran, sinon ça humectera vos pieds.
Quelques dizaines d'heures passées sous "Adobe Audition" pour réparer des ans .....
En fait, un Papy qui a fait un cadeau à sa petite fille !

Profitez-en.

http://www.megaupload.com/?d=RPJ0W4I1


Nota benèt : depuis le 20 janvier 2012, Megaupload a fermé ses portes, et il est inutile de me demander un re-upload, je n'ai plus les fichiers. C'est ballot...
Sic transit gloria mundi !

mercredi 16 septembre 2009

Ramon Pipin's Odeurs : 1980 : No sex !


Les vrais punks c'était eux : une dérision nihiliste qui s'appliquait à tous les thèmes et à tous les genres musicaux, et la puissance de feu de la crème des musiciens de studio de l'époque.

J'ai trouvé sur Amazon les quatre premiers cédés pour 20 euros, et mon fils me réveille tous les matins avec ça en admirant avec moi les lignes mélodico-parodiques.
Dieu les bénisse tous.


http://www.megaupload.com/?d=6ZZWRU7J



samedi 29 août 2009

CARLOS CASTANEDA, LA VERITE DU MENSONGE: l'émission radio


J'ai un pote qui avait écrit une bédé qui s'appelait "quelques vérités sur le mensonge".
Ca me faisait penser à du Cioran light.
Là, y'a les oeuvres quasi-complètes de Castaneda qui me sont retombées sur le coin de la figure après 20 ans d'absence, et tout de suite j'ai cherché à en savoir plus.
Pas envie de me retrouver à révasser ou fantasmer dans des limbes à la Lobsang Rampa.
Y'a le wiki, y'a ce qu'en dit Osho, et plus près de nous et plus concret, y'a le livre de christophe bourseiller... et j'ai trouvé l'interview qu'il a donnée en 2005 sur Radio Ici et Maintenant, comme ça chacun pourra se faire son idée.

http://www.megaupload.com/?d=OHS9SW3M

lundi 11 mai 2009

Starshooter - "Starshooter" (1978)


oooh fane de chichourle, que de souvenirs...
de les avoir vus en concert à la fète des Jeunesses Communistes au printemps 78, en compagnie de téléphone et d'higelin, reste un souvenir lumineux, malgré la vigoureuse négativité du disque.
J'ai emprunté le vynil rip, mais j'ai inclus "get baque" que le producteur n'avait pas osé sortir sur l'album, craignant l'ire des fans des Beatles.
Alors qu'aujourd'hui, que faudrait-il pour les réunir ?
deux balles de plus.
J'ignore combien de balles il faudrait pour réunir les membres de starshooter, mais sans doute autant que ceux de téléphone.
Méditons sur l'impermanence.

http://www.megaupload.com/?d=OE7JAJHO