vendredi 29 janvier 2016

Jono McCleery - Pagodes (2015)



Emouvant.
Trouvé par télérama.
Et puis, une chronique m'apprend que sourd de naissance, McCleery n’acquiert l’audition qu’à l’âge de 5 ans. 
Vaut mieux lire ça que d’être aveugle.

jeudi 28 janvier 2016

Äl Jawala : Voodoo Rag feat. Rukie (2016)



http://www.jawala.de/de/home.html

Les immigrés qui tentent d'échapper à la misère et à la terreur qui règnent au Bougnoulistan ne font pas que pincer les fesses des dames en gare de Cologne.
En plus, ils leur cassent les oreilles.
Bon, je rigole, en fait le groupe est franco-allemand.
Die deutsche französische Freundschaft n'est pas un mythe.

http://jawala.de/presskit/#about




mercredi 27 janvier 2016

King Crimson - Frame By Frame (1982)

J'aurais donné cher pour voir ça.
Bon, ben je le vois.
Et en plus, c'est gratuit.
A part pour les enculés de Youtune et de Caca colé qui font qu'il faut recliquer sur la vidéo pour échapper à la pube.



Allez, encore un petit coup avant d'aller bosser.



Presque les mêmes, 30 ans plus tard :




mardi 26 janvier 2016

Voix off tombale

Au bureau, je reçois une proposition de voix off.



Soit je vois le mal partout, soit cette jeune personne met autre chose que sa voix en avant.
C'est la contamination.
Ou alors, elle a un torticolis.


"Ce n'est plus la salle du trône.
C'est déjà notre tombe, la votre et la mienne.
A quoi bon se proclamer roi une fois que votre royaume est anéanti ?
Je ne vous donnerai pas la pierre magique, et vous mourrez ici."

Qui l'a mise au courant ?

lundi 25 janvier 2016

Aidan Baker - Dualism (2016)

Dualisme : 

 1/ Disque de Aidan Baker normal

 

 2/ Disque de Aidan Baker anormal

 


 Y'en a qui se sont retrouvés en camp pour moins que ça.

samedi 23 janvier 2016

SUNN O))) : Monoliths & Dimensions (2009)



J'en connais au moins un à qui ça va plaire.

vendredi 22 janvier 2016

Marka - Accouplés (2008)




Ca m'est revenu ce matin, chaipa pourquoi...
et Internet (mon dongle de mémoire externe) m'a permis de le retrouver.
Merci Internet !

lyrics : 

Hissène Habré / Ukulélé
Le Prince Farouk / Norodom Sihanouk
Benazir Bhutto / Cory Aquino
Fujimori / Khadafi
Chou En Lai / Rika Zaraï
Yitzhak Shamir / Golda Meïr
Jacques Chirac / Rascar Capak
Nadjid Mahfuz / Abdou Diouf
Vaclav Havel / Castro Fidel
Charles Pasqua / Fabiola

Accouplés, accouplés, accouplés
Sans fin, sans fin …

Balladur Édouard / Sharif Omar
Saddam Hussein / Kurt Waldheim
George Bush / Jim Jarmusch
Kalachnikov / Esdanitoff
Arafat / Walid Joumblatt
Bettelheim / Giscard d'Estein
Chevernadze / Rachid Karame
Deng Xiaoping / Lionel Josping
Amin Dada / Bokassa
Haroun Tazieff / Gorbatchev

C'est la saison des amours
Accouplez-vous pour toujours
C'est la saison des amours
Le monde entier se fait la cour

Je signale que la version disponible sur l'album "c'est tout moi" a été mise à jour :

Hissène Habré / Ukulélé
Yvette Horner / Bernard Kouchner
Kofi Annan / Zineddine Zidane
Candeloro / Brigitte Bardot
Chou En Lai / Rika Zaraï
Noël Godin / Justine Hénin
Jacques Chirac / Rascar Capak
Annie Cordy / Buck Danny
Michel Sardou / Pikachu
Ardisson / Winnie l’Ourson

Accouplés, accouplés, accouplés
Sans fin, sans fin …

Rendez-vous en 2024 pour un nouveau rafraichissant name dropping


jeudi 21 janvier 2016

SEXY SUSHI - J'aime Mon Pays (2013)




Je remercie France Culture d'avoir diffusé ce morceau dans une émission consacrée à la fachosphère, elle m'a redonné foi dans le pouvoir décapant du rock parodique.
Néanmoins, je dois dire que j'ai un peu écouté le reste de leur production, et que ça baigne dans un nihilisme qui n'est plus de mon âge.
Les Inrocks les qualifient de décapants, libertaires et vivifiants, et je ressens exactement l'inverse.

http://www.lesinrocks.com/musique/critique-album/sexy-sushi-decapants-libertaires-et-vivifiants/

http://www.lesinrocks.com/musique/critique-album/tu-las-bien-merite/

http://www.lesinrocks.com/musique/critique-album/sexy-sushi-inde-bandant/

mardi 19 janvier 2016

HFT_Mélange perso (1979 - 2015)



Je n'avais absolument pas prévu de poster ça.
Mais comme ses albums studio me lassent, j'ai trouvé des versions alternatives de mes titres préférés sur des concerts existants ou ayant existé.
Pourtant, je l'avais vu à Montpellier en 82, et j'avais été assez déçu : pas de voix, présence scénique laissant à désirer, plus un bon paquet de dingues et de paumés dans la salle, qui sifflaient de la colle dans des sacs plastique.
Comme quoi...

https://www.mediafire.com/?op8hnr5iuxfnu22










On a les prophètes qu'on peut.


jeudi 14 janvier 2016

SOFT presents DISCOVERY 1



Déjà annoncée sur mon autre blog, avec un rédactionnel un peu différent.
Je n'ai pas encore écouté tout l'album, mais c'est assez obvious qu'à part mes relents de Tuxedomoon, c'est la fête du sleep.

https://softrecords.bandcamp.com/album/discovery-1

mercredi 13 janvier 2016

Deradoorian - The Expanding Flower Planet (2015)







The Expanding Flower Planet is an album, a song, a cosmic ideal, a form of psychic expansion and expanded capability. It’s original and personal. It transmutes ethereal abstractions into crystalline harmonies and sinuous grooves. It’s music nurtured with the idea of healing, exciting, inspiring, enlightening. Drones, dissonance, warmth, and love.

Even if you’re unfamiliar with Angel Deradoorian’s name, you’re likely familiar with her voice. As the former bassist and vocalist for Dirty Projectors, her lepidopteran flights helped buoy the Brooklyn-based group. She’s been a member of Avey Tare’s Slasher Flicks and sang on Flying Lotus’ “Siren Song.” Her fist song collection, 2009’s Mind Raft EP elicited praise from Pitchfork for being “passionate and lovingly crafted.” The Fader hailed her “zen weed energy” and “moody dervish spirals.

But her debut LP, The Expanding Flower Planet reflects a remarkable creative journey. The title came from a tapestry hanging on the wall in front of Deradoorian’s workstation—a Chinese embroidered image of a flower mandala.

“It started to represent to me the growing consciousness of the human mind in the world today,” Deradoorian says. “So the first song I wrote, which I felt appropriate for the album, was called Expanding Flower Planet and represents this desire to broaden the mind and it's capabilities beyond what we are told it can do.

Others imitate the past and others divine inspiration and transmit it elsewhere. This is the latter instance. If you listen close enough, you can detect faint hints of Alice Coltrane and Can, Terry Riley, and Dorothy Ashby. A new world springs from ancient traditions—with East Indian, Middle Eastern, traditional Japanese musical inspiration aligned with Deradoorian’s singular orbit.

Recorded in various locales over a period of several years, sessions began from scratch in Baltimore, 2011, before moving to her studio in LA. Some tracking was done in a church. Extra tracks were recorded at The Topaz Chamber, which belongs to Deradoorian’s friend, Kenny Gilmore. This is an album so refulgent that it actually sounds like it was made in a Topaz chamber.

Roughly 90 percent was written and performed solely by Deradoorian, with assists from drummers Jeremy Hyman and Michael Lockwood, guest vocalist Niki Randa, Arlene Deradoorian and Gilmore, who helped the songs breathe. It’s essentially the offspring of a labyrinthine odyssey of self-exploration. In the course of cutting it, Deradoorian realized a more profound communion with music than she’d ever experienced. It’s salient in the songs, which glow and warp, burn brightly and float gracefully past sun and assorted stars.

“It seemed endless, but eventually the shift occurred and it was like a revelation,” Deradoorian describes the epiphany. “I was incredibly grateful for when that day came. It was the first time I really had to force myself to be patient and understand that good things will take time. It won't all happen when you want it to. It'll happen when it's supposed to—when you're truly ready.”


Style over substance : 
This is super beautiful.








mardi 12 janvier 2016

Various ‎– Ghosts Of Christmas Past (1981)

(écrit avant la fusion de Bowie avec le Grand Tout)

Et voilà...
Comme Guy Béart et Michou Delpech,
Noël 2015 est dans le tiroir.
J'espère que vous en avez bien profité.
J'ai découvert cette vieille compile, pas moisie du tout, sous le sapinou.
Dire qu'il m'aura fallu 35 ans pour découvrir le "Weihnachtrap" de Tuxedomoon, et tous les autres titres neurasthéniques qui hantent cet album malade, qui me consolent un peu de cette période où l'ordre de jouir retentit tragiquement entre les oreilles de ceux qui sont nés sans aptitudes particulières.
Je n'aurai donc pas vécu en vain.






http://magickrew.magicrpm.com/325508/Chantons-Noel/

http://www.discogs.com/Various-Chantons-Noël-Ghosts-Of-Christmas-Past/release/1180824


http://www.mediafire.com/download/nqrah2q2876tmuz/CH_GOCP.zip

Complément de programme :

Evil twin brother of Father Christmas

samedi 9 janvier 2016

Présence du malin (3) : BlasphemaToraH sms Blues



Finalement, FCPX c'est pas mal non plus  pour passer le mur du çon.
Mon micro est pourri, mais c'est le mien.
Et il n'y a plus d'entrée son sur les iMac, c'est la mémèrde, et c'est un scandale !
Merci au capitaine Kraddick, au râteau guitaristique (qui garde toujours son pyjama même pendant les quarts de nouit).

jeudi 7 janvier 2016

Présence du malin (2) : une vidéo exclusive avec effet Kirlian


Petits démonneaux de nos countries ( révélés par effet Kirlian) from john warsen on Vimeo.

L'effet Kirlian, pour les petits curieux et les Gros Malins des films d'incultes.

Edit :

J'ai trouvé un clip bien ravagé, un peu dans le même esprit (?)



Tout cela me ramène aux constatations d'un ami marin, qui m'écrivait récemment à propos d'autre chose :

" Toutes ces merveilleuses inventions ont ceci de commun (au sens fort) de nous entretenir dans notre illusion : tout peut continuer à l'identique puisque les progrès de la technologie résolvent les problèmes posés par les progrès de la technologie. (...) Finalement, tout se passe comme si, au cœur de notre pensée, agissait un moteur qui est celui de notre destin, le destin d'une petite bande de grecs en jupette, sur l'agora d'une cité provinciale, qui commencent à tenir un discours d'un nouveau genre.
2500 ans plus tard, ce discours a parcouru un chemin extraordinaire.
Son efficience a transformé l'homme et le monde au delà de tous les rêves de ses fondateurs.
Jamais nous n'avons disposé de tels moyens pour nous nourrir, nous soigner, pour démultiplier notre force de travail à travers des énergies surpuissantes, pour nous protéger des catastrophes, pour communiquer, pour développer nos connaissances, percer les mystère de la matière, retrouver les chemins oubliés de l'histoire, nous déplacer à l'autre bout de la planète voire plus loin, faire des images, inventer des sons, nous divertir.
Comment renoncer à cette prodigieuse efficacité ?"

mercredi 6 janvier 2016

Jon Hassell : Dressing for Pleasure (1994)




http://www.discogs.com/Jon-Hassell-Bluescreen-Dressing-For-Pleasure/release/40868

"Genre: Experimental Electronic, Future Jazz, Acid Jazz, Trip Hop "


Two of the most memorable albums from the trip-hop and acid jazz era are by cornettist Graham Haynes (Transition) and trumpeter Ben Neill (Goldbug. Dressing for Pleasure preceeded them both. Usually, an adjective like "suave" doesn't sit easily on an ethnomusicologist whose knack for directness is grounded by his sense of beauty; neither does a label like "acid jazz." But this is Hassell's only album to fit its musical moment, following his appearance on the soundtrack of the crime film Trespass. The feel of a fully committed band is especially amazing – Hassell and drummer Brain work with an army of bassists (six, including Flea of the Red Hot Chili Peppers) and enough programmers (three) to field a dot com startup on a coffee break. Hassell's horn flits through a sexy blend of trip-hop's hard drum programs topped with soft, impassive electronic textures like a bird circling over a crowded intersection. Woodwind player Kenny Garrett and guitarist Gregg Arreguin provide thematic voices, too, but melody is rarely enough in this genre. As always, the real fun lies in how these instruments are broken up by the programmers, led by Jamie Muhoberec, a Hassell associate on Trespass and Fascinoma. Their work helps a trumpet melody, suave enough for Herb Alpert, sound like that artist playing through the blades of an electric fan. The sample of Duke Ellington's "Bakliff," laminated into "Destination: Bakliff"'s rhythms, prefigures the jazz covers on Fascinoma. And when that horn moans from between a camera shutter and Leslie Winn's coo-oohing in the sultry "Sex Goddess." Dressing for Pleasure is all that – an ethnomusicologist suavely dipping into a trip-hop trust fund. Old Morcheeba fans should duck into pawn shops to hunt for a copy.


Review by John Young, Allmusic.com


http://avxhome.se/music/electronica/JonHassellDressingforPleasure.html



vendredi 1 janvier 2016

Steve Roach - Live In Tucson 02​-​14​-​2015 - Pinnacle Moments

Pour bien commencer l'année, dans l'étrange ivresse des lenteurs.




http://steveroach.bandcamp.com/album/live-in-tucson-pinnacle-moments-02-14-2015-name-your-price