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jeudi 8 juin 2023

Khan - Les Gros Nichons (2001)

extrait gratuit des paroles envoyées sous pli discret 
sans aucun engagement de votre part
après un premier acompte de $99.99 :
Tu voudrais que j'aie des nichons
Gros comme des ballons
Une bouche pulpeuse
De pipeuse, d'allumeuse
Des lèvres peintes en rose
Pleines de silicone
Que je me ballade nue
Du matin jusqu'au soir
Les cheveux jusqu'au cul
Blonds, ça va de soi
Tu voudrais que je t'appelle
Mon gros Daddy
Mon gros Daddy!

Je suis plate plate plate
Et tu m'ennuies
Je suis plate plate plate
Tu ne m'épates pas
Je suis plate plate plate
Et je te dis:
A bas les pattes
(...)

Que dire de plus ? c'est en écoutant à moitié intrigué un DJ Set de Morpheus 
pour tout dire un peu suspect à force d'être chelou (oui, le Morpheus anciennement connu sous le nom de Samy Birnbach de chez Minimal Compact, récemment chroniqué) que j'ouïs cette chose rose et molle qui me vit cesser d'installer mon petit tuyau poreux dans le potager afin d'hydrater mes tomates au goutte-à-goutte. 
Je rentras alors dans ma maison pour tapoter sur mon clavier bien tempéré afin de m'y enquérir de ce que j'acoustiquais en dansant avec les poules, car quand je ne ferme pas la barrière du potager, je les ai aux basques, elles adorent faire du jardin avec moi, malheureusement leur approche tractopelle manque de subtilité.
cette image est truquée
car le lettrage n'est pas incurvé
comme l'est la surface du cylindre
qui constitue le meug
Et je tapotis sans doute un peu vite sur mon clavier, car je tombis d'abord sur un site frauduleux qui attribuait la chanson à Stereototal, 
un groupe franco-allemand (il y a bien des restaurants gréco-turcs) de manière impropre vouare erronée, ce qui me permissit nonobstant de me rapprocher de la vérité véridique, car je comprendis en un instant que c'était bien Françoise Cactus, la chanteuse de Stereototal qui était dans le coup, et j'avançis promptement vers le vrai sachoir, qui est une arme contre ceux qui croivent, car en réalité factuelle non alternative le titre réside sur un album de Khan
https://www.discogs.com/fr/master/76769-Khan-No-Comprendo
qui, si je no comprendo muy bien n'a rien à voir avec le No Comprendo des Rita MitsoukoOn peut lire par ici ce qu'on s'autorise à penser de l'album dans le Landerneau de la rondelle passée sous les radars :
enfin, vous faites bien comme vous voulez, moi je vais aller acheter le disque.

liens liés qu'il me faudra un jour expliciter plus lyriquement :
- nichon-chaton
- les nichons juvéniles
- les gros nichons version Camping Orchestra, mais c'est pas des gens comme nous
les Musclés en ont certainement fait aussi quelque chose quand je bossais au Club Dorothée, mais pour l'instant je ne retrouve que "t'es trop moche", pas mal dans le genre et  pour l'époque
...c'est quand même mal barré pour faire un album entier sur ce thème roboratif, sauf à glisser du côté obscur de Youtube, et en tout cas tant que Jean-Louis Murat reste mort ça n'offre pas l'attrait du pittoresque de la bourrée auvergnate, avec ou sans érotomanes branchés grosses poitrines. 
Je pourrais m'engouffrer dans le trou béant laissé par son décès, mais je risquerais de sombrer dans un éloge des mamelles voluptueuses en tant qu'anxyolitiques de classe A, louange propre à troubler l'ordre public, et les drones de Darmanin auraient vite fait de me repérer.

que seraient les gros seins sans les grosses fesses ?
la semaine prochaine, nous tenterons sans succès
de disparaitre dans le triangle des Bermudas.
Etant entendu qu'un hommage aux gros seins, qui se fait passer pour transgressif alors qu'il vante l'opium du peuple, fait en vérité le jeu de la droite en confortant les rapports d'aliénation capitaliste entre petites et fortes poitrines. Sans parler du parfum de masculinité toxique qui s'en dégage.

- sans oublier le déroulé des prémisses Morpheus-iennes par lesquelles j'y suis parviendu, au détour d'un virage maniaque des andouilles que jamais je ne ratas aussi bien :


sur lesquels vous n'oserez pas cliquer, sauf peut-être sur cette archive flambant neuve de chez Crammed Discs


car on y ouït distinctement, entre autres pépites électronica rétro-futuristes des années 90 le bien connu de nos services et désormais célèbre jusque dans les territoires occupés DJ Morpheus (formerly known as Samy Birnbach avant qu'il refasse sa vie à Tel-Aviv) qui sample et resample sans vergogne Jon Hassell dans son duo mythique avec Brian Eno  Fourth World Vol 1 Possible Musics (1980) disque dont l'effet notoirement connu est qu'il donne envie de tout plaquer, y compris son blog, sa femme et son chat ( qui souffre pourtant de biais cognitifs préoccupants), et de partir vivre en Malaisie péninsulaire ou occidentale, pour ceux qui connaissent.
Si je dis "repompe éhontément" au lieu de resample, va-t-on me taxer d'antisémitisme, comme la femme de David Gilmour qui cause mal à Roger Waters alors qu'elle ne fait que critiquer la politique d'Israël ? j'aimerais bien qu'on m'intente un procès d'intention aussi nauséabond que cette polémique entre vieillards maniaques, mais j'aurais peine à en croire mes yeux, les bras m'en tomberaient et j'aurais alors bien du mal à répondre.
Souvenons-nous plutôt avec émotion, à chaque instant de la life qu'il nous reste à vivre, que ni les gros nichons ni les Bermudas XXL ne nous sauveront du nuage d'inconnaissance tel qu'il est décrit par Malka Spigel, la copine du rabbin anciennement connu sous le nom de DJ Morpheus (aka Samy Birnbach quand il était chanteur de Minimal Compact) dans la magnifique complainte "Not Knowing" (littéralement "Sans sachoir", mais je préfère le traduire par "Ne connaissant pas", plus élégant) qu'on peut aller psalmodier face au mur des lamentations en prenant un air offusqué et pro-palestinien tous les matins que Dieu fait, car rien d'aussi juste n'avait encore été écrit sur le sentiment d'épouvante métaphysique, suscitant le besoin de consolation par les Gros Nichons et l'espoir d'atteindre un jour cette Terre Promise, et c'est ainsi qu'Allah est grand.


Watching different roads and wonder where my own is rolling

Waiting all day long for a change and it's not showing

All those moments days and years

Left me standing here not knowing

All these people everywhere

Kept me waiting and not knowing

Holding to myself fear is all that kept me going

Waiting all day long for a change and it's not showing

All those moments days and years

Left me standing here not knowing

All these people everywhere


Traduction warsenienne sans trace de Chat-GPT_3 dedans :


Regardant différentes routes et m'interrogeant sur où me conduit la mienne

Attendant toute la journée un changement qui ne se montre pas

Tous ces moments, ces jours et ces années

M'ont laissé ici Inconnaissant

Tous ces gens partout

M'ont laissé ici dans l’attente et Inconnaissant

Ne serrant que mes bras la peur est tout ce qui m'a permis de continuer

Attendant toute la journée un changement qui ne se montre pas

Tous ces moments jours et années

M'ont laissé ici Inconnaissant

Tous ces gens partout


lundi 14 décembre 2020

Mort à 2020 !

Dernier jour du confinement strict. 
En principe. 
Il est temps que ça se termine, moi je vous le dis.
J'ai choisi un fusil d'assaut à répétition qui tire plus de 400 coups/minute sur le site click and collect de la Manufacture des Armes et Cycles de Saint-Etienne, pour aider l'industrie française à redémarrer. 
Quoique la filière armement n'ait pas trop souffert. 
Les Saoudiens ont joué la carte de la solidarité.
Demain, j'irai l'essayer en ville. 
Si j'arrive à le dissimuler sous mon manteau, et à passer les vigiles de la FNAC, je vais faire un carton au rayon spiritualité vivante. 
J'en peux plus, de tous ces connards qui me disent de savourer l'instant présent avant le couvre-feu.
Enfin disons qu'entre le confinement, le chômage, la bipolarité active et mon affection de longue durée, je suis sur la jante.
Mort à 2020.
Bien que ça soit sans doute pas une façon très maligne d'accueillir 2021.

La seule bonne nouvelle de la journée,
c'est l'imminence de la sortie de la saison 5 de The Expanse,
quoique la 4 ne m'ait pas laissé un souvenir impérissable.

samedi 28 mars 2020

Various Artists - Macron Dub Infection, Volume 2 (1996)

RIRES ET TOUSSOTEMENTS
-------------
(Le clown entre en scène. Il a l'air habillé par Stephen King.) 
- Bonjour les petits enfants. 
Vous savez quoi ? 
La planète nous a pris en grippe.
(rires enfantins)
- Mais le capitalisme financier nous tient en otages.
(rires adultes, un peu gênés)
- Les négociations seront tendues.
(toussotements)
- Nous risquons d'en sortir abattus.
(toussotements gênés)
- Sans parler du syndrome de Stockholm.
(toussotements gênés, puis étranglés. Une maman au premier rang vomit,
puis fond en larmes.)





Macron Dub Infection, Volume 2
(je voulais prendre le Volume 1, mais y'en avait plus)

=> la panacée universelle, l'élixir de longue vie et le remède auditif à tous les maux du monde moderne, car on n'attrape pas les mélomanes avec des acouphènes.
Attention : ce médicament contient de la chloroquine.
Il est donc déconseillé à l'homme de peu de foi.
Et je retire tout ce que j'ai pu penser de Roselyne Bachelot.
Roselyne, si tu reviens, j'annule tout.

samedi 3 décembre 2016

Sabled Sun – 2148 (2016)


J’étais un rat normal, je craignais la lumière. 
J’écoutais Sabled Sun, tapi dans ma tanière.
(putains d’alexandrins, je devrais écrire des tragédies en vers)
Je me suis fait choper par un biologiste nommé Georges Ungar, désireux de tester ses hypothèses sur la transmission d'information culturelle par ingestion orale (non, pas tout à fait comme quand on se refile l’adresse de sites de download par la bouche ou sous le manteau)
A coups de décharges électriques, il a traité mon aversion pour la lumière, et m’a dressé à craindre l’obscurité, ce qui n’est pas très sympa et plutôt(1) contre-nature, mais bon, en tant que rat de labo, j’ai quand même la bouffe gratos, vaut mieux pas cracher dans la soupe quand on la reboit après.
Le résultat de cet apprentissage fut la production d’un peptide spécifique dans mon cerveau, qu’il appela scotophobine, (de skotos : obscurité et phobos : peur)…
Hé ouais, j’en connais des mots compliqués maintenant que j’ai été rééduqué, hein ?
Contraint à accueillir dans mes acides nucléiques une information opposée à celle que j’avais héritée de mes pères, je viole maintenant mes instincts de noctambule comme David Hamilton dérapait dans ses modèles prépubères au Cap d’Agde.
Et le plus fort de café, c’est que la scotophobine extraite de mon cerveau et injectée à des rats naïfs suscite les mêmes comportements, fait que eux aussi se mettent à fuir l'ombre, se plaire au grand jour et s'exposer idiotement aux initiatives de leurs prédateurs.
L'asservissement biochimique qui en résulte se nourrit en cercle fermé de sa propre substance : la crainte de l'obscurité produit la scotophobine qui engendre la crainte de l'obscurité.
Le résultat du conditionnement produit la substance qui renforçe le conditionnement.
Voilà pourquoi je ne peux plus écouter Sabled Sun.
Dommage pour moi.

https://cryochamber.bandcamp.com/album/2148

(1) le chien de mickey

mardi 19 janvier 2016

HFT_Mélange perso (1979 - 2015)



Je n'avais absolument pas prévu de poster ça.
Mais comme ses albums studio me lassent, j'ai trouvé des versions alternatives de mes titres préférés sur des concerts existants ou ayant existé.
Pourtant, je l'avais vu à Montpellier en 82, et j'avais été assez déçu : pas de voix, présence scénique laissant à désirer, plus un bon paquet de dingues et de paumés dans la salle, qui sifflaient de la colle dans des sacs plastique.
Comme quoi...

https://www.mediafire.com/?op8hnr5iuxfnu22










On a les prophètes qu'on peut.


samedi 9 janvier 2016

Présence du malin (3) : BlasphemaToraH sms Blues



Finalement, FCPX c'est pas mal non plus  pour passer le mur du çon.
Mon micro est pourri, mais c'est le mien.
Et il n'y a plus d'entrée son sur les iMac, c'est la mémèrde, et c'est un scandale !
Merci au capitaine Kraddick, au râteau guitaristique (qui garde toujours son pyjama même pendant les quarts de nouit).

mardi 10 novembre 2015

Good Hearted woman - Hank Williams III




Putain, j'adore cette chanson.

Et les paroles !!
Les paroles !!

Il faut toujours se méfier des paroles, quand il y a trop de sucre dans la musique.

Country music at its finest :
En voilà une chouette chanson apte à donner bonne conscience à tous ces bâtards du MidWest et d'ailleurs pour continuer à se comporter comme des trous de balles avec leur femme en se disant qu'elle a le dos large.
Good hearted woman, c'est comme les doubitchous dans le Père Noël est un scumbag :
sous le nappage onctueux et entraînant en diable (en tant que femme, j'ai un faible pour la pedalsteel guitare et les violons campagnards quand ils sont déchainés comme ici), un coeur ranci et phallocrate, l'hypocrisie masculine conçue comme un hommage du Vice à la Vertu.
Yippie yeah, les amincies.

Pourtant, comme le disait en d'autres temps le Schtroumpf à lunettes, "c’est très simple d’ouvrir le cœur, pas besoin du kamasutra. Il suffit de regarder l’autre comme une fin en soi, et non comme un moyen (pour reprendre l’expression de Kant). De le voir comme un individu, comme une totalité, au lieu de le voir comme le moyen d’obtenir quelque chose pour soi (de la reconnaissance, des sous, du plaisir…). C’est d’ailleurs pour cette raison que les nanas sont frustrées. Elle sont là comme des huîtres et c’est les mecs qui doivent les ouvrir. Dès ce moment, le mec est considéré comme un moyen (le couteau qui va ouvrir l’huître), donc ça ne risque pas de marcher. D’où la frustration. On a juste pété le bord de la coquille, mais l’huître est toujours fermée. Si l’huître pouvait voir qu’elle a en face d’elle un individu, un vrai, ça irait beaucoup mieux. Et vice-versa. Si les mecs arrêtaient de voir les nanas comme des poubelles où déverser leur frustration, ça irait mieux aussi.
Les centres énergétiques s’ouvriraient naturellement si on arrêtait de les fermer et de les verrouiller comme les coffres-forts de la Banque de France. "

Allez, redonnez-moi un morceau de cette chose longue et molle.

lundi 9 novembre 2015

Tribute to ma femme - [JW Team] (2015)

Quoi ?
Qu'acousticai-je ?
Encore une compile pour ma femme ?
Je dois vraiment avoir quelque chose à me faire pardonner.
Mais quoi ?
La photo de sa vieille chatte pleine de poussière ?
Bon, d'accord, j'avoue que c'était assez malvenu, mais à part les couillons qui s'égarent sur mon blog au lieu d'élever leurs gosses dans le respect des enseignements du Bouddha, who gives a fuck ?
Ma compile lui a plu, je suis content.


samedi 7 novembre 2015

I shall be no more - Coph Nia (2003)




Les mystères de la foi...
Repéré il y a quelques mois sur novaexpress, I Shall be no More m'a bien fait marrer.
La chanson aurait pu être écrite par le Cioran de "De l'inconvénient d'être né".
Mais j'ai mis quelques temps à fouiner plus avant, et à être un peu déçu ...



J'ai trouvé Tree of Life and Death assez ennuyant, pour du dark ambient.
Notre nouvel ami Coph Nia prétend avoir foi dans les Ténèbres.
C'est son choix.
Je trouve dommage de ne pas avoir toujours les moyens de sa prétention :
on voit vite les ficelles de sa petite tambouille.






samedi 31 octobre 2015

Hashtag #Jesus#Christ - [JW Team] (2015)


Osons.
En tout cas, moi j'ai osé.


Ah non, flûte, c'est ici :





et comme en France tout finit par des chansons, reprenons en choeur :

The Ballad of Boogie Christ

Christ would wear cowboy boots
Christ would have sex
Christ would eat pizza
And cut black jack decks
Christ would be sober
But christ would be fun
Christ would get over
On those trying to run
Christ would love hip hop
Metal and soul
Christ would bring chaos
The breath of control
Christ would be rocking
Christ would be free
He'd say there’s no difference
Between you and me
I'm always on the run and I hate copy paste for god's sake
This is the ballad
Of boogie christ
Toss my salad
And feed me rice...


lundi 23 mars 2015

Angel/Maimone : Faux-semblants (1983)

Encore un disque qui a contribué à l’épanouissement de ma féminité.
Nul n’ignore encore, du moins je l’espère, que John Warsen se prénomme en vérité Jeannette, et que je ne me travestis en homme que pour ne pas attirer ici tous les relous turgescents du Net, il y en a déjà assez pour reluquer mes formes oblongues sur la ligne 4 du Busway, de ces déshérités de l’âme qui oublient de remonter de la créature au Créateur quand ils s’égarent en regards hagards et égrillards à mon endroit comme à mon envers, révélant leurs béances intérieures tout en feignant d’ignorer que le lien de l’attachement pend dans le vide. 
Les pauvres bougres.

Bref.
En 1982 Olivier Angèle et Gérard Maimone fondent Angel-Maimone Entreprise, un étrange mélange de pop, d'opéra et d'électronique.
Je vois passer un clip farfelu aux Enfants du Rock.
J’achète le disque.
Je l’apprécie.
Trente ans ont passé, et je n’en sais guère plus sur le duo d’élégantes tafioles à l’origine de l’opus, ni sur cet impérieux besoin qui m’a poussé hier à ressortir le vynile du placard et à le ripper en contournant à la main les beugs rencontrés avec la platine Sony PSLX300 USB prétendument étudiée pour, et qui avale toujours le premier morceau de chaque façe avant de le recracher façon puzzle.
la Sony PSLX300 USB : 
que le cul lui pèle, que le bras lui tombe.


Sinon que Psychological Lover ou Sentimentale Journée sonnent toujours agréablement pop vintage, alors que je n’apprécie plus trop la pop, et que je jaunis halliday d’être en passe de devenir vintage moi-même.



mercredi 25 février 2015

Graisse : les tas de grasses (pour 100 jours seulement !)

Enfin une bonne nouvelle propre à me sortir du bourbier spirituel post-Charlie :
Mélenchonpoulos vient d'être élu à la tête de la dette grecque.
Il envisage de proposer à Angela Merkel le remboursement de celle-ci en TEF (Tonnes Equivalent Féta), sous réserve d'un rééchelonnement sur 100 millions d'années.


Ouééé !

Blasphémator® est ravi de pouvoir se réjouir de cet heureux évènement, en compagnie de son vieux pote Paul, aka Jean-Marie dépasse les borgnes, aka Zorbec le Grave.


Mélenchon, le vrai, a  lui aussi retrouvé la foi.

mardi 24 février 2015

Le Charlithon : un succès en demi-teintes

Je ne sais pas si Reporters sans frontières a demandé son avis à Maxime Le Forestier avant de recycler sa reprise de Brassens de "Quand les cons sont braves".
Le clip a manifestement été monté à la hache par le Boucher de Varsovie, mais c'est efficace.
Mais la chanson intégrale et sans images est encore plus chouette, il faudra que je la reprenne en doom metal et en arabe.

54 000 vues, c'est peu, comparé aux 133 000 récoltées par Francis Lalanne, qui s'autoparodie une fois de plus sans complaisance aucune. 
Mais quand il écrit ces rimes riches :
"La vraie victoire du Barbare, c'est de me transformer en Barbare (...) Que font parmi ceux qui défilent / Et tout en tête de la file / Ceux qui dans le cul nous l'ont mis ?", Blasphemator® ne peut pas s'inscrire en faux. 
Le reste de sa complainte n'est malheureusement pas du même tonneau, tonneau qui, de plus, souffre chroniquement d'un défaut de joint d'étanchéité émotionnelle.



Candidat rêvé du Charliton (Grand prix du Jury Au cul Monique pour la qualité blasphématoire de l'ensemble de son oeuvre), Hubert-Félix Thiéfaine, lui, s'est contenté de s'en aller ce soir, paisible et silencieux, au bras de la première beauté vierge tombée des cieux, et il plafonne à 88 vues.
A vous les studios.