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mercredi 19 septembre 2018

[Repost] Amon Tobin - Taxidermia Soundtrack (2008)



18 juin 2009

il fut un temps où amon tobin était un novateur génial. De 1997 à 2002, as far as I am concerned.
Et puis, fatalement, quand il s'en est rendu compte, il a fini par se copier lui-même.
Il avait beaucoup trop d'avance sur ses poursuivants pour être rattrapé.
Là c'est juste la bande, originale, d'un film qui a l'air bien taré et qu'il faut que je trouve le temps de mater.
(lien megaupload périmé de chez périmé)




19 septembre 2018

J'ai vu le film il y a longtemps, je n'en garde aucun souvenir, à part que c'était vaguement outrancier.
Par contre, la bande-son, c'est toujours quelque chose, eu égard à la faible productivité actuelle de mon ancienne idole.

https://music.amontobin.com/album/taxidermia

vendredi 2 septembre 2016

Amon Tobin : Dark Jovian (2015)

Amon Tobin fut un génie de l'électro drum'n'bass quand je n'y connaissais rien.
Dans ses albums des années 90 (Bricolage, Permutation, Supermodified) je comprenais qu'il avait emprunté des parties de batterie jazz, de basse ralentie, qu'il avait samplé des tas d'instruments et qu'il triturait tout cela pour en faire quelque chose de radicalement nouveau.
Il a ensuite obliqué vers la recherche sonore fondamentale, j'étais moins preneur.
Là il est allé très loin.
Dans l'espace.
Près de Jupiter.
Comme Dave Bowman dans 2001, l'Odyssée de mes spasmes, je ne pense pas qu'il revienne.
Ca frise le dark ambient.


Amon Tobin - Dark Jovian from Misha Shyukin on Vimeo.

C'est étonnant.
Ce gars qui a jadis bâti sa réputation sur la fractalisation du tempo et la nucléarisation du beat percussif, qui se ballade maintenant dans les espaces infinis, dont la musique évoque irrésistiblement des images spatiales (2001, Solaris)...
Qu'est-ce qu'on va s'autoriser à être en écoutant une telle musique, si on prend le temps de l'écouter ?

https://amontobinmusic.bandcamp.com/album/dark-jovian

vendredi 23 octobre 2015

Access To Arasaka - Oppidan (2009)



Ma grand-mère écoutait ça en fumant du hasch et en relisant Philip K. Dick.
Je ne peux pas lui donner tort sur ce coup-là.

http://chroniques-electroniques.over-blog.com/article-35944350.html

samedi 6 décembre 2014

Nightlife : révélations tardives



Les premiers albums d'Amon Tobin étaient terriblement novateurs, dans le genre cyber-bricolage musical à base de greffes biotechnologique sur d'infortunés jazzmen des années 50 condamnés à des travaux d'intérêt généreux au sein d'un laboratoire d'expérimentation animale.
J'ai longtemps suspecté que sur l'album "Permutation", le jeune prodige brésilien avait emprunté le thème principal de son morceau "Nightlife" à quelque vendeur de casse-noisettes à la sauvette.
J'ai mis 15 ans à me donner les moyens d'apporter la réponse à la question, et à faire aboutir ce projet  de recherche afin de pouvoir permettre que ce projet de recherche aboutisse.
Aujourd'hui la preuve est faite, la vérité éclate à la face des puissants de ce monde, même chez Mediapart y z'ont pas tous les jours des scoops comme ça, et personne ne ricane plus de mes hypothèses de travail.



mercredi 23 décembre 2009

le grenier de mamie Ninja


Mamie Ninja (tune) fait des yaourts qui piquent les yeux, bien plus que ceux de mamie Nova (tunes).
Passque c'est déjà l'heure d'avoir la nostalgie des bons produits qu'elle mettait dedans, et qui faisaient tousser.
"I remember this CD was given to me by Ollie Teeba of The Herbaliser while we were smoking black hash on the staircase of Prague's Roxy before their gig."
Great blog, and great stuff, comme on dit dans l'Aveyron.
N'oublions pas que la nostalgie n'a qu'un seul argument, qu'elle nous ressasse inlassablement : c'était bien parce qu'on était jeunes !
sous-entendu plus jeunes que maintenant.
De demain elle ne veut rien savoir, et pour cause.