Je ne sais plus du tout où on est avec Guy Béart. S'il est mort, s'il est vivant, si c'est le chat de Schrödinger de la chanson française et qu'il faut ouvrir le panier à double entrée pour savoir de quel côté il est parti, ou bien s'il vit encore à travers son oeuvre, si le disque de reprises se vend bien, si l'article du Monde s'est lu, si l'intégrale en 180 CD va bientôt sortir, pourquoi certains de mes ups ont été frappés d'anathème, pourquoi d'autres ont été épargnés par la maréchaussée, comment se fait-il qu'il écrivait si bien des chansons alors qu'il n'a jamais su y faire avec la lumière. Du coup, je mets en ligne une compilation dont j'ai trouvé la trace ici : http://jack200.free.fr/beart/ et qui est l'oeuvre d'un amateur passionné, donc c'est forcément mieux fait que si c'était un professionnel, et on se revoit plus tard pour un premier bilan, et pourtant, je sais, la pochette est affreuse, ce n'est pas très engageant.
Tout finit à St Tropez ? Ça c’est du titre.
RépondreSupprimerGoût de la provocation, atténuation acouphénique dans les aigus, on ne connait pas les causes, mais ce blog est de plus en plus consacré aux musiques extrêmes, et c'est vrai que je n'ai pas encore osé l'écouter, celle-là.
RépondreSupprimerC'est quand même le Bernard Lavilliers de sa génération : il était pote avec Pompidou, et il passait à la fête de l'Huma.