https://www.mediafire.com/file/wtq2rdz4pzkfxlt/A-C_C.(2008).zip/file
Attention : cette offre discount post-mortem n'est valable
qu'avec son supplément gratuit, explicatif et illustré.
https://jesuisunetombe.blogspot.com/2021/08/arno-covers-cocktail-2-unreleased-2021.html
Et je recopierai cent fois "Etre en rémission ne me rend pas immortel" sans faire usage du copier-coller.
En fait, il semblerait qu’il n’y ait que sur ton blog que Blogspot n’arrive pas à reconnaître mon compte Google. Et rien ne rend immortel, même pas le succès.
RépondreSupprimerAh si, mossieur Astérix, le succès rend immortel. Mais il faut distinguer l'homme et l'oeuvre, comme chez Polanski. L'oeuvre nous survit.
RépondreSupprimerConcernant ton souci avec blogspot, je te jure que je n'y suis pour rien. Je n'arrive même pas à me rappeler mon mot de passe chez Zamnesia, c'est dire.
Après tests ailleurs, tu n’as pas le seul site impacté. Il semblerait que ce soit lié à la politique de coockie de mon navigateur. Soit j’élargis soit je laisse tel quel - mais je ne suis plus prévenu des réponses :-( Quant à Arno, je ne peux guère en dire plus à part que je suis sûr que sa mise en bière s’est bien passée.
SupprimerVoilà, c’est bien ce que je pensais, il faut accepter de se faire suivre par Gogol pour s’identifier. Quels lourdingues…
RépondreSupprimerc'est pour se préparer à devenir chinois.
RépondreSupprimerTrop tard pour moi.
SupprimerDieu m'est témoin que je n'ai pas voulu faire de discrimination au faciès en maugréant sur la dictature numérique pour abonder dans ton sens. Quand je pense que j'ai passé les meilleures années de ma jeunesse à bosser au club Dorothée avec un chinois de Tahiti dont je me sentais très proche (la régie de montage était exigüe). Ah là là Akbar. Tout est donc lié, dans l'univers. Et pas que par les coukies qui nous cassent les coucouilles.
SupprimerC’est fou les histoires que les gens inventent pour se sortir d’une situation embarrassante.
SupprimerOui, enfin, j'ai quand même anticipé ta remarque désobligeante dans le commentaire ci-dessous hier à 14:17. N'en fais pas des caisses, non plus. Déjà que ma fille me prend pour un gros con de boomer raciste et sexiste, que j'ai tout fait pour provoquer ce meurtre rituel du père avec un torchon symbolique, je vais pas non plus quitter sa mère pour épouser mon infirmière thaïlando-kenyane préférée, ça ne ferait qu'aggraver mon cas en faisant de moi un suppot du post-colonialisme paternaliste et sexuel. Je vais aller décaper ma terrasse en bois exotique à la paille de fer, tiens, ça m'occupera.
SupprimerTu n’as même pas un boy pour ce boulot dégradant ?
SupprimerSi, mais justement, ça le rebute. On a du mal à trouver des jeunes motivés parmi la faune locale, avec toutes les cochonneries qu'ils écoutent sur les radios grandes ondes . Et de toute façon, il est à fond dans son institut d'autistes déficients. Il faut que je lui montre l'exemple, seule stratégie pédagogiquement efficace. De toute façon, c'était difficile d'envisager de le contraindre par la faim, il gagne plus avec ses CDD successifs que moi avec mon CDI à mi-temps.
Supprimerje ne disais pas ça pour toi. Ne prends pas tout perso. Surtout les attaques de Gogol, antibiotique à spectre large.
RépondreSupprimerC'est génial cette petite querelle à deux entre le premier commentateur de ce blog et son créateur...
RépondreSupprimerJe ne sais pas trop où la situer dans le grand écart entre l'infiniment grand et l'infiniment petit, où l'on se sent à la fois à l'étroit et perdu dans l'immensité, mais comme à chaque fois, je trouve sujet à réflexion lors de mes (trop) rares venues sur ce blog, Quant à ce cher Arnold, je me dis que je devrais calmer sur la bière, mais comme je n'y arriverai pas, cela me laisse encore une dizaine d'années à te lire avec bonheur, cher John !
Pardon, j'ai oublié de signer Thierry...
RépondreSupprimerJe t'avais reconnu.
RépondreSupprimerOn est entre habitués.
La maman de Li-An est une Tahitienne d'origine chinoise (je n'invente rien, j'ai lu ça sur son wiki) et il croit parfois que je le taquine à propos de ses origines. Comme la dénonciation du racisme chez l'autre est à la mode sur les réseaux sociaux, je ne le détrompe pas, c'est un petit jeu sans prétention ni malignité que nous poursuivons depuis des années dans notre entre-soi communautariste, sans faire suer personne avec.
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et pendant ce temps on n'est pas au bistrot. De toute façon, il n'aime pas l'alcool, et je suis abstinent depuis 1992.
Chacun des deux fait semblant d'ignorer si c'est du lard ou du cochon, et en rajpoute une couche tout en restant dans le cadre réthorique fixé à l'avance. (enfin, de mon côté je n'ai pas vraiment déliré, tout ce que j'ai avancé est la pure vérité) Notre bisbille est purement virtuelle et fantasmée : en fait, il rêve de me voir reprendre ma veine satiriste acidulée des années Séroplex®, je rêve que sa carrière d'auteur BD reprenne de la hauteur. La mort nous trouvera affairés à nos broutilles.
Tiens l'autre jour j'ai revu Gladiator, vers la fin Russell Crow dit "Je connaissais un homme qui disait :
"La mort sourit à tous."
"Tout ce qu'on peut faire,
c'est sourire à la mort."
J'ai trouvé ça pas mal; concernant la bière, faut voir le pour et le contre. J'ai un pote qui est mort le 31 décembre après 45 ans de picole, il ne souffrait pas, et a dit en partant "je ne regrette rien, j'ai bien vécu". Je ne lui aurais jamais suggéré l'idée d'une sobriété heureuse. Par contre, si on est esclave, ou détruit, ou les deux, faut voir. Un certain nombre de dégâts sont réversibles; ce qui implique que d'autres ne le sont pas. Pour le règlement de la séance, je vous laisse vous diriger vers ma secrétaire, qui va vous raccompagner à la grille du parc.