mercredi 29 mars 2017

Matthew Collings et Dag Rosenqvist - Hello Darkness (2017)

Faut se lever tôt pour trouver une image de Matthew Collings sur Internet, parce qu'on le confond souvent avec Matthew Collings.
Mais ce serait mal connaitre Matthew Collings que de réduire son travail (textural, melodic and often sonically overwhelming) à celui de Matthew Collings, le critique d'art.
Qui s'essaye parfois à la peinture.
Il parait que si on écoute les disques de Matthew Collings en s'absorbant dans la contemplation des peintures de Matthew Collings, on peut avoir des visions de Thögal, mais je pense que c'est abusé.



Je découvre en même temps que vous le dernier Matthew Collings, et c'est en direct et en couleurs, messieurs dames.
Son processus créatif est bien explicationné sur la page bandcamp de l'album.
De Matthew Collings j'avais apprécié Guilt Soundtrack, mais j'ignore si j'aurais apprécié le film.
Là, c'est pareil, si c'était la musique d'un film, j'hésiterais avant de le voir.
Mais comme je me le fais dans ma tête, ça va.
L'enfer, c'est les films des autres.
Ca fait juste stresser mon nouveau chat alangui sur le bureau, qui n'aime pas les sons saturés, et qui se casse en courant.
So long, Migou.

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