lundi 24 février 2014

Brassens - Echos d'aujourd'hui (2013)



J'ai un copain qui m'en veut un peu d'avoir selon lui assassiné Brassens le lendemain d'un concert de Motörhead.
Que dirait-il de ce palimpseste ?
Je ne parviens même pas à reconnaitre certains titres, tant le matériau d'origine a été raclé et repeint.
Et pourtant, en Brassens j'ai bac + 12 facile.
Nonobstant, it's alive, et la plupart de ces interprétations, en javanais, en ourdou, en wollof ou en portugais, prolongent la vie et le rayonnement artistique et spirituel du père Georges, qui n'eut pas d'autre descendance connue que les Brassens not Dead, finalement aussi scolaires que moi dans leur approche du monument aux mots.
Mention spécial au "Roi des Cons" en mongol, celui-là même qui vient d'être détrôné en Ukraine, comme quoi tout arrive, et même parfois des trucs bien.

4 commentaires:

  1. Ben tu peux aller remercier http://laspikedelycmusic.bloguez.com/, l'Arsène Lupin du 33 tours qui poste à une allure échevelée depuis des siècles, moi je ne fais qu'un peu de veille technologique...

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  2. Merci pour le lien ! Hier comme un couillon j'ai récupéré l'album Brassens en moldave sans avoir la curiosité de jeter un oeil au site en entier. Me voilà forcé à ajouter une nouvelle source dans mon lecteur RSS qui ne devrait pas tarder à craquer ....

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