vendredi 9 janvier 2015

Charb : Maurice et Patapon (1999)

On dit qu'on meurt deux fois. 
Une fois quand notre cœur cesse de battre et la seconde, un peu plus tard, 
lorsque notre nom est prononcé pour la dernière fois.










17 commentaires:

  1. Putain, il va nous manquer Charb...

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  2. Même mort, son oeuvre sera éternelle. Mais ce sont de jolies mots car putain, qu'est-ce que c'est dur !!
    Vous avez raison, il va nous manquer Charb, comme Cabu, Honoré, Tignous, Wolinski....et Bernard Maris, iconoclaste économiste dit "de gauche" mais tout simplement humaniste et libre penseur, à mille lieux des discours habituels. Un talentueux "vulgarisateur" de cette science parfois opaque et complexe qu'il savait rendre si juste et humaine !!! Qu'est-ce que j'adorais l'écouter sur France Inter ou le lire sur Charlie Hebdo. Autant en dessin, il y a encore beaucoup de talentueux et irrévérencieux dessinateurs, mais dans son domaine, j'attend vivement la relève......
    Merci !!!

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  3. Oncle Bernard n'avait pas son pareil pour rétablir quelques vérités sur le mensonge propagé par beaucoup d'illusionnistes de l'économie (Abracadabra ! Tu vois mes mains, tu sens mon doigt !)
    Récemment, il voulait sortir de l'euro
    http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2014/12/sortie-de-leuro-bernard-maris-vire-sa.html
    L'euro a été le plus fort : il a sorti Bernard Maris.
    Snif.

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  4. J'espère quand même qu'ils n'oublieront pas de dire dans les livres d'Histoire que leurs blagues ne valaient pas deux balles et que sans le djihad Charlie Hebdo auraient probablement été asphyxié financièrement et rapidement oublié faute de lecteurs. Comme quoi on peut toujours compter sur ses pires ennemis.

    Je m'en vais de ce pas troller un site djihadiste histoire de faire bonne mesure.

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  5. C'est vrai que Maurice et Patagon, c'est assez spécial comme humour... mais les djihadistes aussi.

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    1. Y en a un qui m'a presque fait rire c'est celui qui dit "ben quoi on répond à votre liberté d'expression par notre liberté d'action" manquerait plus qu'ils citent John Langshaw Austin "Quand dire, c'est faire"... ben ouais la performativité du langage quoi...

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    2. Je m'objecterais bien à moi-même, si tu n'y vois pas d'inconvénient, qu'il est un peu facile après coup de dire qu'il n'était peut-être pas très judicieux de jouer à "je te tiens par la barbichette..." avec des djihadistes armées de lance roquettes.
      Surtout quand on n'a pas soi-même de barbichette.

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    3. Et encore moins de lance-roquettes.

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  6. Oh putain je viens de trouver une blague pour djihadistes (si tu fais ce que tu dis que tu allais faire) : tu les bombardes de " Houellebecq Akbar ! "

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    1. Pas sûr qu'ils comprennent... Moi même... j'ai un peu de mal.
      Son plan com est sacrément tombé à l'eau...

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    2. Finalement j'ai plutôt opté pour Anonymaous costaud

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  7. http://www.lesinrocks.com/2015/01/10/actualite/luz-tout-le-monde-nous-regarde-est-devenu-des-symboles-11545315/
    bien vu l'artRiste !

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    1. C'est le syndrome de celui qui est encore en vie et qui regretterais presque de ne pas être avec les autres tellement la responsabilité est lourde.
      C'est le risque quand on joue au con et qu'à force on finit par être prit au sérieux.

      Je trouve ça terrible de voir tous ces gens embourbés dans des logiques qui les dépassent...
      Marine Le Pen défendre Charlie... On aura tout vu...

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  8. Peut-être a-t-elle confondu Charlie-Hebdo et Charlie Chapllin quand il incarnait Le Dictateur ?

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  9. Ne pas oublier...
    Merci pour ces extraits (même monochromes!).

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  10. ahhh ça fait du bien je viens de découvrir votre blog ! merci !!!!

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  11. Il n'y a pas de quoi... Les extraits monochromes bercent mon coeur d'une langueur blasphémante... "I'll be back", il a dit.

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