jeudi 7 mai 2015
Jessica Pratt - Night Faces (2014)
Mots-clés : néo-hippie, San Francisco, melancholic, fingerpicked folk, with a milk-eyed meandering voice wrapped in the hiss and overall aura of a mystic sylvan setting.
mercredi 6 mai 2015
Patrick Watson – Love Songs for Robots (2015)
Aaah, Le bon Docteur Watson...
ça m'étonne de n'en avoir jamais parlé ici.
Il guérit pourtant des peines de coeur les plus coriaces les robots trans(dans mon)genre comme personne.
Avec l'élégance mélancolique et aérienne qui n'appartient qu'à lui (et qu'à moi quand je l'écoute)
Close to paradise et Wooden Arms font également preuve de beaucoup de douceur dans ce monde de brutes.
http://exystence.net/blog/2015/05/03/patrick-watson-love-songs-for-robots-2015/
ça m'étonne de n'en avoir jamais parlé ici.
Il guérit pourtant des peines de coeur les plus coriaces les robots trans(dans mon)genre comme personne.
Avec l'élégance mélancolique et aérienne qui n'appartient qu'à lui (et qu'à moi quand je l'écoute)
Close to paradise et Wooden Arms font également preuve de beaucoup de douceur dans ce monde de brutes.
http://exystence.net/blog/2015/05/03/patrick-watson-love-songs-for-robots-2015/
lundi 4 mai 2015
Sweet Back – Amok (2000)
Sweetback, c'était une sorte de Morphine à la Française, et sans paroles.
http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2009/10/sucre-derriere.html
http://www.discogs.com/Sweet-Back-Amok/release/4222436
http://www.mediafire.com/download/do6idunaywidaos/SB_A.zip
samedi 2 mai 2015
Steven Wilson - Perfect Life (2015)
En tant que femme, j'assume mon côté pop 80's.
sur son récent album
http://exystence.net/blog/2015/02/26/steven-wilson-hand-cannot-erase-2015/
pas mal dans le genre revival without mausoléum.
Et au vu du clip, j'assume aussi mon lesbianisme rampant avec ma soeur : tant qu'à être venu faire mon coming out, autant que ça soit pas pour rien.
sur son récent album
http://exystence.net/blog/2015/02/26/steven-wilson-hand-cannot-erase-2015/
pas mal dans le genre revival without mausoléum.
Et au vu du clip, j'assume aussi mon lesbianisme rampant avec ma soeur : tant qu'à être venu faire mon coming out, autant que ça soit pas pour rien.
Hier soir j'ai bien flashé sur la blondasse qui chante du Sardou dans la famille Bélier, aussi.
Ci-joint sa prestation perçue par ses parents sourds-muets, les plus à même d'apprécier ce Mozart de la variété.
Bref, tout va bien.
S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y avait pas de problème.
vendredi 1 mai 2015
Monty Python – Monty Python’s Total Rubbish (2014)
No comment.
Il ne manque que les images.
http://exystence.net/blog/2015/04/28/monty-python-monty-pythons-total-rubbish-2014/#more-34980
jeudi 30 avril 2015
Trentemøller : Hazed (2013)
L'ami des dentistes dont la détartreuse couine un peu.
C'est sur l'album Lost.
Me too.
C'est sur l'album Lost.
Me too.
mercredi 29 avril 2015
Aidan Baker - Already Drowning (2013)
http://www.gizehrecords.com/gzh43.html

Extraordinaire.
Je veux dire, sans commune mesure avec l'opus suivant antérieurement exhumé, qui resplendissait pourtant au milieu de mes divergences acouphèniques ta mère dans mon âge d’or mythique à jamais englouti dans les sables du début du mois d’avril 2015, tel le Patrick Juvénile (Jivénul marche aussi) en proie à une fureur préado dont j’aurais souhaité que jamais elle ne me quittât.
Bon, il n'avait qu'à pas intituler un de ses morceaux "Tout Juste Sous la Surface, Je Guette (feat. Geneviève Castrée)", aussi.
C'est pas moi qui ai commencé.
mardi 28 avril 2015
[JW] Juif et Chauve - 2010
Je ne sais pas pourquoi j'ai appelé cette compilation "Juif et Chauve" en 2010.
Je n'étais ni l'un ni l'autre.
Mais ça pourrait.
A force d'improbablologie.
J'ai sans doute été souterrainement contaminé par la chanson "Seul et chauve" de Gérard Manchié, trop écoutée quand j'étais p'tit.
Bref.
Les notes de pochette sont en vrac, mais ça se laisse écouter.
et
lundi 27 avril 2015
La compile de Soeur Emmanuelle
Quelle n’est pas notre déception lorsque nous croyons avoir capturé un spécimen unique de l’espèce et qu’ensuite, avec la connaissance approfondie que nous avons de lui, nous nous apercevons qu’en réalité nous avons bel et bien affaire à ce qu’il y a de plus commun dans le genre.
Pouvons-nous nous expliquer ce qui a provoqué pareille erreur ?
Serait-ce par exemple, le charme envoûtant d’un sourire, des lèvres doucement sensuelles écartées sur deux belles rangées de dents joliment plantées, ou l’innocence du regard, sa transparence liquide qui nous portait sans autre question au ravissement chaque fois qu’il se posait sur nous ou, peut-être, l’expression enfantine émanant de cette présence désirable que depuis nombre d’années on se languissait de s’approprier, promesse d’une félicité dont nous espérions les plus délicats émois, les épanchements les plus raffinés, quelque chose d’une indéfinissable séduction qui eût avec bonheur agrémenté nos derniers jours.
Enfin, la pièce a pris place dans nos boites de collectionneur, celles réservées aux trouvailles secondaires, de la catégorie vulgaire dans l’ordre qui est le sien.
Pour mille raisons, nous préférons bien souvent même n’en pas faire état auprès des amis que nous avions naguère entretenus de nos recherches ou auxquels, dans notre enthousiasme passionné, nous avions eu la légèreté d’annoncer que nous avions réussi à mettre la main sur un exemplaire de choix.
Sans doute notre aspiration à un ultime bouleversement que nous eût causé une rencontre exceptionnelle est-elle à incriminer ; nous avons cru de bonne foi que l’émotion qu’il nous a été donné d’éprouver à une ou deux occasions dans le passé pouvait miraculeusement se reproduire au terme d’une existence d’une certaine manière vouée aux éblouissements de la rareté.
Contentons-nous des richesses que le hasard nous a allouées et, pour le reste, faisons en sorte d’oublier.
Pouvons-nous nous expliquer ce qui a provoqué pareille erreur ?
Serait-ce par exemple, le charme envoûtant d’un sourire, des lèvres doucement sensuelles écartées sur deux belles rangées de dents joliment plantées, ou l’innocence du regard, sa transparence liquide qui nous portait sans autre question au ravissement chaque fois qu’il se posait sur nous ou, peut-être, l’expression enfantine émanant de cette présence désirable que depuis nombre d’années on se languissait de s’approprier, promesse d’une félicité dont nous espérions les plus délicats émois, les épanchements les plus raffinés, quelque chose d’une indéfinissable séduction qui eût avec bonheur agrémenté nos derniers jours.
Enfin, la pièce a pris place dans nos boites de collectionneur, celles réservées aux trouvailles secondaires, de la catégorie vulgaire dans l’ordre qui est le sien.
Pour mille raisons, nous préférons bien souvent même n’en pas faire état auprès des amis que nous avions naguère entretenus de nos recherches ou auxquels, dans notre enthousiasme passionné, nous avions eu la légèreté d’annoncer que nous avions réussi à mettre la main sur un exemplaire de choix.
Sans doute notre aspiration à un ultime bouleversement que nous eût causé une rencontre exceptionnelle est-elle à incriminer ; nous avons cru de bonne foi que l’émotion qu’il nous a été donné d’éprouver à une ou deux occasions dans le passé pouvait miraculeusement se reproduire au terme d’une existence d’une certaine manière vouée aux éblouissements de la rareté.
Contentons-nous des richesses que le hasard nous a allouées et, pour le reste, faisons en sorte d’oublier.
Louis Calaferte, Memento Mori.
Certaines des pistes rassemblées ici font doublon avec d'autres, récemment présentées là.
Et en plus, j'avais dit que j'arrêtais les compiles.
Pardon pour le parjure et les redites.
Pardon pour le parjure et les redites.
Et puis, il y a quand même de l’inédit.
Comme ça, par exemple !
Little Village (with Ry Cooder and John Hiatt) - Do You Want My Job?
As-tu déjà ouï complainte plus élégante ?
Quand tu sauras que la chanson parle d'un lumpen prolétariat qu'on devine océanien, condamné à l’alcoolisme, l'acculturation et l'empoisonnement radioactif pour $ 2,40 par jour, pleureras-tu comme moi à chaudes larmes en remettant le disque ?
mercredi 15 avril 2015
Des mondes à l'intérieur du monde
On reconnait bien le stylo à bille de Charb à 6'02"
Comment produire sa propre musique ambiente pour pas cher
Et deux articles que j'ai trouvés pas mal :
- Une brève histoire du cannibalisme au cinéma
http://www.vice.com/fr/read/une-breve-histoire-du-cannibalisme-au-cinema-923?utm_source=vicefbfr
- Le déclin de l'empire contre-attaque
Inscription à :
Commentaires (Atom)








