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dimanche 6 avril 2014

John Mellencamp, T-Bone Burnett, Stephen King – Ghost Brothers of Darkland County (2013)

Quand j'étais petit, j'écoutais avec ferveur le disque 25 cm du Livre de la Jungle raconté par Serge Reggiani. 
Dans la cire vierge de mon cerveau d'enfant, la mise en ondes flamboyante creusait ses sillons tonitruants. 
La jungle était beaucoup plus inquiétante et les animaux beaucoup moins nunuches que dans la version Disney.
Il n'y avait pas toutes ces merveilleuses chansons à la con style "il en faut peu pour être heureux", ode typiquement anglo-saxon à une frugalité qu'ils sont bien infoutus de pratiquer.
Et puis quand on est petit, on n'a pas l'imaginaire saturé par tous les livres et les films qu'on découvrira plus tard.
A partir d'une histoire interprétée par des récitants convaincus et de quelques bruitages idoines, on part en live comme qui rigole.
Ô temps bénis du Disque d'Aventure, quand reviendrez-vous ?
Sans doute jamais.
Il faudrait d'abord vider le disque mou du cortex pour se remettre dans l'état d'innocence et d'attention pure qui furent les miens lors de l'écoute religieuse de cette dramatique télé sans images.

Je crois que c'est au même genre d'expérience version adulte que nous convie le trio John Mellencamp, T-Bone Burnett, Stephen King.
A eux trois, ils nous content une petite histoire d'horreur sous la forme d'une comédie musicale qui se laisse écouter.
Ca ne veut pas dire que ça soit aussi chouette que le T-Bone Burnett d'hier ou que le Steve Earle de demain.

John Mellencamp est un rockeur émérite dont j'ignore tout.
T-Bone Burnett n'a jamais récolté la gloire méritée comme artiste de variété et idole des jeunes, mais comme illustrateur sonore de True Detective, il s'y entend.
Stephen King n'a pas écrit que des conneries, il en a aussi filmé.
Mais son "Echiquier du Mal", sous le pseudonyme de Dan Simmons, force l'admiration des Ennemis de la Joie.
Bien sûr, je plaisante et je désinforme : tout le monde sait que c'est Dan Simmons qui a écrit des romans de gare sous le pseudonyme de Stephen King.

Surprise : sur le disque, il y a plein d'invités, comme Elvis Costello, Marc Ribot, Taj Mahal, Kris Kristofferson, Sheryl Crow.




http://exystence.net/blog/2013/06/04/john-mellencamp-t-bone-burnett-stephen-king-ghost-brothers-of-darkland-county-2013/

mardi 1 avril 2014

[Repost] Lutin Bleu - Leur Bonheur est total (2002)


A l'occasion de la renégociation du régime d'assurance chômage, en particulier les annexes 8 et 10, il faut prendre le temps de réécouter "Ernest Antoine"(et Ségolène !!!).

A l'occasion de la nomination de Manuel Valls au poste de premier Sinistre, il faut prendre le temps de réécouter "T'sais quoi".

Honteusement méconnus, ces trois schtroumpfs ont enregistré quelques albums inspirés, dans la tradition du rock bruyant et rigolo.

Celui-ci, à l'époque je l'ai commandé chez eux, à Grenoble, et j'ai attendu trois semaines avant de recevoir une galette enveloppée dans du papier kraft taché de gras, comme si son contenu était plus que douteux, alors qu'au final c'était une bonne surprise, dans la lignée d'Odeurs pour les meilleurs titres et des Fatals Picards pour les moins bons.

Comme le groupe s'est auto-dissous après le relatif insuccès de leur épuisante formule albums autoproduits / tournées dans les MJC, et que les disques ne sont plus en vente nulle part, je m'autorise le postage de leur album studio le plus réussi sur le plan musical et textuel.

Ce qui les a tués, c'est peut-être la tentation rock fm, qui avait déjà bien amoché Raoul Petite (dont nous reparlerons) et d'autres...

Par exemple, ça pour moi c'était moins probant, bien qu'énergique.
Ils ont dû se dire que ça ouvrirait les portes vers le grand public.
Et ils ont plié les gols juste après.

Je ne vise pas à l'encyclopédisme du rock parodique, mais je pense qu'avec celui-ci, on commence à avoir fait le tour.

samedi 23 février 2013

Mariee Sioux - Gift for the End (2012)

Hier, le mangeur de disques nous a transportés en 69 dans sa grosse machine temporelle qui ne marche que dans un sens : en avant toute vers le passé.
Béni soit-il, encore qu'il me fallait réagir sans délai afin que ce forfait réactionnaire ne reste pas impuni.
Je ne prétends pas en avoir une plus grosse que lui (une machine temporelle, hein) mais des fois je tombe sur des contemporains qui m'évoquent irrésistiblement cette époque bénie de l'amour libre, du fromage de chèvre dans les cheveux et du patchouli en intraveineuse, en compagnie de filles qui ne s'embarrassaient guère de soutien-gorge et ne stressaient pas pour leur plan de carrière, alanguies sur les galets de la rivière glougloutante.
 Mariee Sioux n'est ni mariée, ni sioux, mais chante les paradis hippies mieux que je ne saurais le faire.
La musique, ce voyage merveilleux vers un pays où l'on n'arrive jamais.

Comme le dit Greil Marcus dans le Believer #2, Sioux, née dans la campagne californienne, chante doucement, murmure et piaille, et il est impossible de lui mettre la main dessus, littéralement. Même lorsqu'elle semble se diriger droit sur vous, vous savez qu'il existe une distance que vous ne saurez jamais franchir.

http://www.israbox.com/1146403302-mariee-sioux-gift-for-the-end-2012.html


samedi 30 juin 2012

True Blood, la bande son de la saison 4



Y'a des malades qui ont répertorié et mis en ligne sur un serveur russe toutes les musiques utilisées dans la saison 4 de True Blood, et y'en a d'autres, sans doute encore plus gravement atteints, qui l'ont téléchargée et appréciée.
La BO me semble plus réussie que la série, mais c'est parce que j'ai trop maté de séries réalistes ces derniers temps (Treme, Luther) et que ce défilé de vampires, loup-garous et shapeshifters de tous poils comme métaphore un peu lourdingue du combat des minorités ethniques et sexuelles de l'Amérique m'a l'air un peu artificiel et choque-bourgeois. Ou alors ça parle de la lutte inter-espèces, entre clans interdépendants mais irréconciliables.
Mais il faut croire que sur place, la provocation reste légitime et nécessaire.

VA - True Blood S4E1 - S4E6 OST (2011)

s4e1 - She’s Not There
1. Joan Jett and the Blackhearts - Real Wild Child (1:34)
2. Soda Jerk - What's On Your Mind (3:15)
3. Misisipi Mike Wolf - Calling the Shots (2:56)
4. Blakroc - What You Do To Me (Feat. Billy Danze, Jim Jones & Nicole Wray) (5:14)
5. El Camino - Dues (3:50)
6. Slick Idiot - Xcess (Remixed by Schneider) (4:16)
7. Neko Case & Nick Cave - She's Not There (2:30)

s4e2 - You Smell Like Dinner
1. Flying Lotus - ...and The World Laughs With You Feat. Thom Yorke (2:55)
2. Eric Corne - Trampolines (4:56)
3. Craig Campbell - Family Man (3:39)
4. Acumen Nation - Coming Down (DJ? Acucrack) (6:32)
5. Jenny O. - Well Ok Honey (2:52)
6. Jinx Titanic & Super 8 Cum Shot - You Smell Like Dinner (4:37)

s4e3 - If You Love Me, Why Am I Dyin’
1. Boxing Gandhis - If You Love Me (Why Am I Dyin') (3:30)
2. Michelle Malone - Restraining Order Blues (4:08)
3. G. DaPonte - Nowhere (True Blood Mix) (4:37)
4. Astrud Gilberto - Who Needs Forever (Thievery Corporation Remix) (4:13)
5. Karen Elson - Season Of The Witch (3:21)

s4e4 - I’m Alive and on Fire
1. Misisipi Mike Wolf - Calling the Shots (2:56)
2. La Luna - Do You Remember (3:06)
3. The Watson Twins - Tighten Up (3:39)
4. Helen Henderson - Twisting Wind (3:56)
5. Danko Jones - I'm Alive And On Fire (1:16)

s4e5 - Me and the Devil
1. Steve Earle - Waitin On The Sky (3:29)
2. Steve Earle - Meet Me In The Alleyway (4:25)
3. Gil Scott-Heron - Me And The Devil (3:34)

s4e6 - I Wish I Was The Moon
1. El Son Que Faltaba - Las Olas del Mar (3:12)
2. Lance Miller - What'd I Do (3:16)
3. Brooks & Dunn - Brand New Man (3:00)
4. Hayes Caryll - Hide Me (3:17)
5. Johnny Hatton - Soul of a Man Never Dies (2:01)
6. The Spares - Mexico (3:38)
7. Neko Case - I Wish I Was The Moon (3:34)

http://goo.gl/LYXgB


VA - True Blood S4E7 - S4E12 OST (2011)

s4e7 - Cold Grey Light of Dawn
1. The Black Angels - Yellow Elevator #2 (4:56)
2. Patti Scialfa - Town Called Heartbreak (5:28)
3. Alejandro Escovedo - Always A Friend (3:37)
4. The Shake - Dyin' Ain't The End Of The World (3:17)
5. Nick Lowe - Cold Grey Light Of Dawn (2:56)
6. Steven Casper - Where You Are (3:40)

s4e8 - Spellbound
1. Black Rebel Motorcycle Club - Shuffle Your Feet (2:53)
2. Slim Harpo - Te-Ni-Nee-Ni-Nu 1968 (2:06)
3. Jace Everett - No Place to Hide (3:02)
4. The Boswell Sisters - Heebie jeebies (2:35)
5. Siouxsie And The Banshees - Spellbound (3:17)

s4e9 - Let’s Get Out of Here
1. Henri Rene & His Orchestra - Sleep Walk (2:35)
2. Terry Snyder - Theme From Picnic (2:12)
3. Taylor Swift - Haunted (4:02)
4. Les Savy Fav - Let's Get Out of Here (3:33)

s4e10 - Burning Down the House
1. The Kills - Superstition (4:40)
2. El Camino - Lawd Have Mercy (3:09)
3. The Used - Burning Down The House (3:39)

s4e11 - Soul of Fire
1. Muddy Waters - You Need Love (2:44)
2. Witch - Soul Of Fire (3:37)

s4e12 - And When I Die
1. Ronnie Dawson - Rockin' Bones (1:54)
2. Bobby "Boris" Pickett - Monster Mash (3:12)
3. The Great Crusades - On A Fast Moving Train (3:18)
4. The Great Crusades - The Bucket Of Blood (6:54)
5. Jim Oblon - Where Did You Sleep Last Night (3:30)
6. The Raveonettes - Aly, Walk With Me (4:58)
7. The Heavy - And When I Die (4:43)

http://goo.gl/czEoo



samedi 17 mars 2012

mercredi 29 février 2012

Tommy

Je ne vous ferai pas l'insulte de vous rappeler qui était ce Tommy, qui à l'estomac frappa les ados pompidoliens.
Mais à l'écoute des instrumentaux du CD 2, moi je dis que pour faire du neuf avec du vieux, quand même, ils sont forts ces japonais.
Et pendant que j'y suis à vous tenir la jambe, je trouve la bande-son moins kitch que le film.
Empreinte d'une certaine pureté, même.
Rappelons aussi que Keith Moon, selon les dires non avérés de mon ancien rédacteur en chef quand je bossais à Culture Rock sur M6, a eu la mort la plus con du rock'n'roll par overdose de cachets pour arrêter de boire.
Paix à son âme.



dimanche 22 janvier 2012

Alabama 3 - Exile on Coldharbour Lane (1997)

Alabama 3 are a British band mixing rock, electronic, blues, country, gospel, and spoken word styles, founded in Brixton, London in 1995.In the American deep south during the 1930s, two black men were hung for allegedly raping a white woman. Their case becomes a symbol for miscarriages of justice and they went down in history as the Alabama 2.
Over half a century later in South London, the son of a Welsh Mormon preacher meets the offspring of a Glaswegian trades unionist at an underground acid house party and they embark upon the mischievous miscegenation of Hank Williams, gospel and acid house.
Expanding in the mid '90s into a Brixton based collective, they called themselves Alabama 3 and continue to be one of the most joyous, righteous, provocative and inspirationally delinquent bands Britain has ever spawned.

Mon opinion à moi que j'ai :
Disciples rosbifs & zarbis d'Odeurs qui font une fixette sur la dope, les prédicateurs, les losers pas magnifiques pour un sou, les abus de boisson et leurs conséquences sociales, les groupes de rétablissement spirituel en 12 étapes, en les passant à la moulinette d'hymnes rudement entraînants qu'on croirait concoctés par des fondamentalistes chrétiens borderline, voici leur premier et meilleur album à mon goût, accessible anglicistes chevronnés. Les autres n'y entendront
Une fois qu'on a les titres des songs, on trouve les lyrics un peu partout sur le net et on se poile encore plus passque des fois c'est dur à entraver, la langue de J'expire.
Alabama 3 est surtout passé à la postérité pour la chanson du générique des Sopranos, l'interminable série quasi-entomologique sur une famille italo-américaine de mafieux, présente sur le skeud dans une version plus longue et assez enjouée.
Après cette rudement bath galette, ils ont un peu perdu la niaque au fil des ans, mais il faut bien naître quand on a tété. Et il parait qu'en concert, c'est formidable.

“The thought of not knowing Alabama 3 fills me with horror”
Stephen King

“A monumental waste of time”
NME

"I don't need no freaky, deeky, fractal geometry, crystal silicon chip. 
 I ain't walking on lay lines, reading no High Times put me on another bad trip. 
 Timothy Leary, just check out this theory, he sold acid for the F.B.I.  
Well, he ain't no website wonder, the guru just went under, you can keep your California Sunshine.
'Cos the righteous truth is, there ain't nothing worse than some fool lying on some Third World beach wearing spandex, psychedelic trousers, smoking damn dope pretending he gettin' consciousness expansion. 
I want consciousness expansion, I go to my local tabernacle an' I sing with the brothers and sisters"

http://www.mediafire.com/file/0zvgosjsrjx0w0a/A3-EOCL.zip/file

Leur site 

Allez en paix. Et sinon, foutez-la moi.

mercredi 27 janvier 2010

la folie du jour


http://01fragments.blogspot.com/2008/12/made-to-measure-volume-one.html


C'était au temps où la musique était expérimentale. Mais si la pochette ne vous évoque rien, c'est pas la peine d'insister, ça vous ramènera pas votre jeunesse arty.

samedi 9 janvier 2010

Moore vivant

On va encore me reprocher de ne penser qu'au passé et de casser du zombie gratuitement.
C'est vrai qu'hier soir j'ai regardé Dead and Buried et Stand by me, où abondent les spectres, sinon les cadavres. L'un aborde crûment le problème de dissonance cognitive chez les zombies, l'autre évoque sans ambages la fin de l'enfance.
Mais c'est que j'ai un blog spécialisé, moi : sur Je suis une tombe, on ne perd pas son temps en fredaines et fanfreluches avant le coup de sifflet final.
Pour passer un moment aussi sépulcral que revival d'une certaine presse alternative :
http://www.dodgemlogic.com/
le magazine underground d'Alan Moore !
car je viens de survivre à l'intégrale de Promethea en V.O., lecture d'une inanité titanesque, dans la mesure où Moore parvient à faire passer l'importance d'acquérir un petit bagage en spiritualité pour l'après-vie qui semble très peuplée d'entités diverses et de mondes innombrables, tout en dégoutant à jamais le néophyte moyen des symboles et du symbolisme.
Par ailleurs, j'ai dégoté une version craquée de Comic Book Lover pour lire les bédés au format .cbr et .cbz sur Mac sans avoir le petit logo qui s'affiche en bas à gauche quand on n'a pas la licence.
Que ma joie 2 meure.
autoportrait de Richard Corben, qui sentant la fin proche, se décide enfin à bosser pour de bon.

dimanche 27 décembre 2009

The the - Infected : the videos (1986)

En 1986, l'album de The The marqua l'apogée de la carrière de Matt Johnson.
La remarque "Many of the tracks carried on with Johnson's main topics of his feeling of alienation from society as all whole and the melancholy that this generates in young males." concourt pour le prix de l'euphémisme 2012.
Non seulement la bande de tarés avec qui je faisais de la vidéo dans les combles d'une école maternelle de la banlieue parisienne écoutait le disque en boucle en buvant sec et en fumant la chandelle par les deux trous, mais j'avais acheté la VHS des vidéos de l'album, et puis je l'ai prétée à un gars qui est parti monter Taxi Video Brousse sans me la rendre.

A côté de ces clips, Fellini est un cinéaste d'une rare sobriété.
Et on comprend que Matt se soit brisé les dents et cassé les ailes sur les récifs du business sans devenir ni le Bono bis, ni le Muse pas drôle au titre desquels il avait toutes les aptitudes pour parvenir.

http://en.wikipedia.org/wiki/Infected_(album)

http://en.wikipedia.org/wiki/The_The

samedi 19 décembre 2009

Alan Moore + Juan Jose Ryp : Another suburban romance (2003)


Dans un vieux Métal Hurlant, Joe Staline disait de Manara que c'était un Moebius de Prisunic.
Et encore, c'était du temps de ses premiers albums chez Casterman, largement art et essai par rapport à ce qu'il a fait ensuite.
Bref.
Allez, quand il est en noir et blanc, on voit bien ce que Ryp est à Geoff Darrow ... on se demande comment il fait pour évaluer la profondeur de champ de ses différents plans image tant tout semble au même niveau avant la mise en couleurs.
...et Alan Moore en roue libre, débauché par Warren Ellis pour aller faire du nimporte naouak chez Avatar Press en recyclant ses fonds de tiroir...
heureusement que je suis un archiviste aux idées larges.

mercredi 16 septembre 2009

Ramon Pipin's Odeurs : 1980 : No sex !


Les vrais punks c'était eux : une dérision nihiliste qui s'appliquait à tous les thèmes et à tous les genres musicaux, et la puissance de feu de la crème des musiciens de studio de l'époque.

J'ai trouvé sur Amazon les quatre premiers cédés pour 20 euros, et mon fils me réveille tous les matins avec ça en admirant avec moi les lignes mélodico-parodiques.
Dieu les bénisse tous.


http://www.megaupload.com/?d=6ZZWRU7J



samedi 29 août 2009

CARLOS CASTANEDA, LA VERITE DU MENSONGE: l'émission radio


J'ai un pote qui avait écrit une bédé qui s'appelait "quelques vérités sur le mensonge".
Ca me faisait penser à du Cioran light.
Là, y'a les oeuvres quasi-complètes de Castaneda qui me sont retombées sur le coin de la figure après 20 ans d'absence, et tout de suite j'ai cherché à en savoir plus.
Pas envie de me retrouver à révasser ou fantasmer dans des limbes à la Lobsang Rampa.
Y'a le wiki, y'a ce qu'en dit Osho, et plus près de nous et plus concret, y'a le livre de christophe bourseiller... et j'ai trouvé l'interview qu'il a donnée en 2005 sur Radio Ici et Maintenant, comme ça chacun pourra se faire son idée.

http://www.megaupload.com/?d=OHS9SW3M