vendredi 26 juin 2009

Black Summer #05 (Warren Ellis /Juan Jose Ryp 2007)


pinaise çui-là c'est le premier que j'ai acheté à San Francisco l'été dernier chez http://comixexperience.com/
et je peux dire que j'ai vraiment rien compris, mais sur le plan religieux j'étais aux anges d'avoir trouvé le lieu culte, le saint des Saints.

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jeudi 25 juin 2009

Black Summer #04 (Warren Ellis /Juan Jose Ryp 2007)

Warren Ellis est une sorte de Jean-Michel Charlier un peu porté sur la bouteille et la provoc, mais qu'aurait écrit Charlier dans les années 2000 ?

http://www.megaupload.com/?d=RZCETROQ

mercredi 24 juin 2009

Black Summer #03 (Warren Ellis /Juan Jose Ryp 2007)


C'est sîr qué autant on apprécie les thêmes traitis par Warren Ellis, autant des fouas on aimerait qu'ils le soient de façon moins cavalière mais bon on n'a qu'à en écrire des bidis...

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mardi 23 juin 2009

Black Summer #02 (Warren Ellis /Juan Jose Ryp 2007)

On aimerait avoir à nouveau 15 ans et partager la jubilation de Warren Ellis quand il a écrit cette histoire de super-héros qui combattent le pouvoir et le gouvernement américain parce qu'il trouvent que globalement, depuis la guerre d'Irak, le pays s'enfonce dans la dictature et les mauvais choix. Une dystopie pré-Obama, quoi.
Malheureusement, on en a 46, on a besoin de lunettes pour apprécier tous les détails de ce bargeot de Ryp, et on se demande pourquoi Cassaday traîne tellement pour conclure Planetary.
C'est la vie.

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lundi 22 juin 2009

Black Summer #01 (Warren Ellis /Juan Jose Ryp 2007)

En attendant que Panini Comics - who else ? - acquière les droits et traduise ce que Ellis produit pour Avatar Press, je remets le nez dans ce one-shot plutôt destroy, aux tournures stylisées tant au niveau du graphisme que du texte.
C'est un peu comme si Tarantino faisait un film de super-héros au lendemain d'une soirée chili con carne un peu trop spicy.

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dimanche 21 juin 2009

Black Summer #00 (Warren Ellis /Juan Jose Ryp 2007)


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charlélie couture - art et scalp (1984)

Un copain m'a dit qu'il avait rêvé qu'il ratait un concert d'Imago (suite au fait qu'on en avait parlé ensemble et que je l'avais posté sur mon blog) ben moi cette nuit j'ai rêvé que je discutais le coup avec charlélie, et comment tu faisais pour être si inspiré fin 70's début 80's, mais je t'ai vu en concert à Castelnau-le-Lez en 83 et j'ai jamais vu quelqu'un massacrer un piano comme ça, quelle usine à pains... art et scalp, je crois que c'est le dernier album que j'ai écouté avant de laisser tomber la couture. 

mercredi 17 juin 2009

The Call Of Cthulhu (Andrew Leman, 2005)


L'histoire écrite par Lovecraft en 1926 est présentée ici sous la forme d'un film muet, avec le souci de coller formellement à l'époque durant laquelle elle a été écrite. (et surtout à laquelle elle prétend avoir été filmée, Note De La Rédaction)

http://films.psychovision.net/critique/call-of-cthulhu-763.php

part 1

part 2
part 3
part 4
part 5
part 6
part 7

mardi 16 juin 2009

Missing Archive : Contrôler les Foules


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Ouah Pinaise, j'ai reçu un avertoche !
Ironie du sort 1 : le disque visé s'appelle "Contrôler les foules"
Ironie du sort 2 : c'est le seul que j'ai acheté cette année, après l'avoir téléchargé illégalement et aimé !
Bon, je ne confonds pas le droit et l'usage, je sais bien que la mise en ligne de musique partagée sur les blogs ou par torrents ou comme ça vous plait profite rarement aux ayants droits... que Hadopi est une mauvaise réponse à un problème non résolu... autrement que par l'éthique de l'internaute : j'écoute, ça me plait, j'achête... que les mélomanes les plus geekiens se sont engouffrés dans les brêches techniques de Babylone parce que c'est pas tous les jours qu'on peut la niquer et se faire des plaisirs partagés, et que tout cela n'aura qu'un temps...
d'ici là, le dernier Archive, celui qui est déterminé à le tchourer le trouvera à profusion, à perte de vue dans les rayons des cyber-frigos... on retrouve les mêmes produits, manufacturés à l'infini, sur les étals des providers/partageurs.
C'est vrai que j'essaye de ne mettre en ligne que des trucs qu'on ne trouve pas ou plus dans le commerce, et que j'encourage vivement ceux à qui ça plait d'essayer de se le procurer par des moyens légaux... ça me fait penser qu'il faut que j'achète quelques Steve Roach.
Tatatann !

Je rebenne le contenu de l'article éradiqué :
lu et approuvé ici :
(p'tain apparemment y z'ont mis toutes leurs archives en ligne gratosse !)

Ce huitième album studio d’Archive n’est pas un disque, mais un concept, qui accrédite la thèse selon laquelle le progrès est méchant, et vouloir manipuler l’humanité, pas bien. Produit par Jérôme Devoise (bien revenu de ses aventures avec Mylène Farmer), intégrant de nouveau la participation du compositeur de musique de films Graham Preskett (les Britanniques l’avaient croisé à l’occasion de Michel Vaillant), et saluant le retour du rappeur Rosko John (disparu corps et biens depuis Londinium en 1996), les treize thèmes réparties en trois parties accueillent divers vocalistes, ce qui offre une apparence, parfois déroutante, d’auberge espagnole. Ce qui n’est pas bien grave, puisque Archive n’est pas un groupe, mais bien une unité créatrice, articulée autour de Darius Keeler (les claviers et les bidules électroniques, c’est lui), et Danny Griffiths (les bidules, itou). Là où le bât blesse, reste lorsque le duo tente d’apparier Pink Floyd (très séduisants à la manière de en ouverture et conclusion), le trip-hop d’un Massive Attack vintage, electro, et déferlante à la Prodigy : Controlling Crowds s’affale alors dans des approximations emphatiques à la Mike Oldfield, aux couleurs irisées dignes d’Alan Parsons, ce qui ne rend hommage ni aux uns, ni aux autres. Par bonheur, l’utilisation raisonnée des chœurs et section à cordes, et une tension dramatique palpable, accréditent la thèse qu’Archive, après s’être aliéné le public electro (trop commercial) et les audiences rock (trop sophistiqué), peut rallier durablement à lui les laudateurs du rock progressif.

Tu sais ce qu'il te dit le laudateur du rock progressif ? j'ai bien fait de cesser de lire cette revue, bien que pour le reste, il a foutrement raison.
Pour résumer, je l'ai fait écouter à ma fille de 9 ans, et elle me dit que ce disque c'est comme si quelqu'un te creuse le cerveau avec une petite cuiller, ben à la fin, t'as plus de cerveau.
J'avais qu'à pas lui offrir le coup du lapin (tomes 1 et 2) pour son anniversaire, ça a aiguisé son esprit critique au delà de toute mesure.
En plus elle était ravie de comprendre ce que c'était que l'humour noir.

Et puis je rêvais de retrouver le feeling de Londinium.
Snif.

maxime le forestier - mon frêre (1972)

Il y a des problèmes de trafic pour téléverser sur Grosse mise en ligne en ce moment, il vaut mieux s'y prendre le matin.
En écoutant un vieux machin un peu triste, histoire de partir au travail avec quelque chose de froid dans le ventre.
De toute façon, Grosse mise en ligne n'aura qu'un temps, alors que Maxime est éternel.

http://www.megaupload.com/?d=TXTD3L82