mercredi 17 juin 2009
The Call Of Cthulhu (Andrew Leman, 2005)
L'histoire écrite par Lovecraft en 1926 est présentée ici sous la forme d'un film muet, avec le souci de coller formellement à l'époque durant laquelle elle a été écrite. (et surtout à laquelle elle prétend avoir été filmée, Note De La Rédaction)
http://films.psychovision.net/critique/call-of-cthulhu-763.php
part 1
part 2
part 3
part 4
part 5
part 6
part 7
mardi 16 juin 2009
Missing Archive : Contrôler les Foules
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http://jesuisunetombe.blogspot.com/2009/05/archive-controlling-crowds-2009.html
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Sincerely,
The Blogger Team
Ouah Pinaise, j'ai reçu un avertoche !
Ironie du sort 1 : le disque visé s'appelle "Contrôler les foules"
Ironie du sort 2 : c'est le seul que j'ai acheté cette année, après l'avoir téléchargé illégalement et aimé !
Bon, je ne confonds pas le droit et l'usage, je sais bien que la mise en ligne de musique partagée sur les blogs ou par torrents ou comme ça vous plait profite rarement aux ayants droits... que Hadopi est une mauvaise réponse à un problème non résolu... autrement que par l'éthique de l'internaute : j'écoute, ça me plait, j'achête... que les mélomanes les plus geekiens se sont engouffrés dans les brêches techniques de Babylone parce que c'est pas tous les jours qu'on peut la niquer et se faire des plaisirs partagés, et que tout cela n'aura qu'un temps...
d'ici là, le dernier Archive, celui qui est déterminé à le tchourer le trouvera à profusion, à perte de vue dans les rayons des cyber-frigos... on retrouve les mêmes produits, manufacturés à l'infini, sur les étals des providers/partageurs.
C'est vrai que j'essaye de ne mettre en ligne que des trucs qu'on ne trouve pas ou plus dans le commerce, et que j'encourage vivement ceux à qui ça plait d'essayer de se le procurer par des moyens légaux... ça me fait penser qu'il faut que j'achète quelques Steve Roach.
Tatatann !
Je rebenne le contenu de l'article éradiqué :
lu et approuvé ici :
(p'tain apparemment y z'ont mis toutes leurs archives en ligne gratosse !)
Ce huitième album studio d’Archive n’est pas un disque, mais un concept, qui accrédite la thèse selon laquelle le progrès est méchant, et vouloir manipuler l’humanité, pas bien. Produit par Jérôme Devoise (bien revenu de ses aventures avec Mylène Farmer), intégrant de nouveau la participation du compositeur de musique de films Graham Preskett (les Britanniques l’avaient croisé à l’occasion de Michel Vaillant), et saluant le retour du rappeur Rosko John (disparu corps et biens depuis Londinium en 1996), les treize thèmes réparties en trois parties accueillent divers vocalistes, ce qui offre une apparence, parfois déroutante, d’auberge espagnole. Ce qui n’est pas bien grave, puisque Archive n’est pas un groupe, mais bien une unité créatrice, articulée autour de Darius Keeler (les claviers et les bidules électroniques, c’est lui), et Danny Griffiths (les bidules, itou). Là où le bât blesse, reste lorsque le duo tente d’apparier Pink Floyd (très séduisants à la manière de en ouverture et conclusion), le trip-hop d’un Massive Attack vintage, electro, et déferlante à la Prodigy : Controlling Crowds s’affale alors dans des approximations emphatiques à la Mike Oldfield, aux couleurs irisées dignes d’Alan Parsons, ce qui ne rend hommage ni aux uns, ni aux autres. Par bonheur, l’utilisation raisonnée des chœurs et section à cordes, et une tension dramatique palpable, accréditent la thèse qu’Archive, après s’être aliéné le public electro (trop commercial) et les audiences rock (trop sophistiqué), peut rallier durablement à lui les laudateurs du rock progressif.
Tu sais ce qu'il te dit le laudateur du rock progressif ? j'ai bien fait de cesser de lire cette revue, bien que pour le reste, il a foutrement raison.
Pour résumer, je l'ai fait écouter à ma fille de 9 ans, et elle me dit que ce disque c'est comme si quelqu'un te creuse le cerveau avec une petite cuiller, ben à la fin, t'as plus de cerveau.
J'avais qu'à pas lui offrir le coup du lapin (tomes 1 et 2) pour son anniversaire, ça a aiguisé son esprit critique au delà de toute mesure.
En plus elle était ravie de comprendre ce que c'était que l'humour noir.
Et puis je rêvais de retrouver le feeling de Londinium.
Snif.
maxime le forestier - mon frêre (1972)
Il y a des problèmes de trafic pour téléverser sur Grosse mise en ligne en ce moment, il vaut mieux s'y prendre le matin.
En écoutant un vieux machin un peu triste, histoire de partir au travail avec quelque chose de froid dans le ventre.
De toute façon, Grosse mise en ligne n'aura qu'un temps, alors que Maxime est éternel.
http://www.megaupload.com/?d=TXTD3L82
En écoutant un vieux machin un peu triste, histoire de partir au travail avec quelque chose de froid dans le ventre.
De toute façon, Grosse mise en ligne n'aura qu'un temps, alors que Maxime est éternel.
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vendredi 12 juin 2009
Johnny Hallyday - Retiens La Nuit (1961-62)
Ma fille de 9 ans m'a demandé à réentendre "Jésus-Christ est un hippie" qu'elle avait vu dans une émission sur les années 60 (en fait le titre, plutôt inspiré, date de 71 et a été écrit par Lanzmann, parolier de Dutronc)
du coup j'ai mis le doigt dans la discographie de Johnny, aux antipodes de mon imaginaire musical.
Le temps que je me rende compte de ce que je faisais, j'étais pris jusqu'au coude.
http://www.megaupload.com/?d=75O9HTD4
du coup j'ai mis le doigt dans la discographie de Johnny, aux antipodes de mon imaginaire musical.
Le temps que je me rende compte de ce que je faisais, j'étais pris jusqu'au coude.
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jeudi 11 juin 2009
Henri Salvador - alias Henry Cording (1956)
Je n'en finis pas de redécouvrir cet auteur majeur et visionnaire.
http://www.megaupload.com/?d=JT0V7H1F
lundi 8 juin 2009
La boite noire (1959)
liste des titres :
http://www.novaplanet.com/coffrets/1959/
Fidel – pas encore en survêtement - et ses barbudos prennent Cuba, Hawaï et l’Alaska ont désormais leur étoile sur le drapeau américain. Le Dalaï Lama fuit le Tibet, et Jean XXIII annonce le Concile Vatican 2, Mattel crée Barbie, le Guggenheim ouvre à New York, on écoute « Salut les Copains », « Orfeo Negro » est palmée d’or à Cannes.
Et Ben Hur n’arrête pas son char.
http://www.megaupload.com/?d=FRSX4WDN
Et Ben Hur n’arrête pas son char.
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samedi 6 juin 2009
Eric Loonis - la gestion hédonique + egosexualités
deux bouquins qui m'ont bien aidé à me réconcilier avec ma sexualité... je les ai e-achetés sur le site de l'auteur, s'ils vous plaisent n'hésitez pas à faire pareil !
http://www.polycopenligne.com/pages/eloonis-livres/index.html
vendredi 5 juin 2009
Earth - The Bees Made Honey In The Lion's Skull (2008)
un copain qui n'ignorait pas que je trippais sur des nappes m'avait orienté vers ce groupe, mais las, je n'ouïssais que du métal mou et dépressif.
Puis un jour j'entendis cet album, qui n'était pas pareil et me mit la puce à l'oreille. J'appris alors que c'était du drone doom metal, ce qui n'explique pas tout, mais ensuite je lus ici car on en apprend tous les jours pour peu qu'on garde l'esprit ouvert et un peu de temps pour écouter des trucs nouvös :
"Le doom metal pour les consanguins I/ Définition L’essence du doom metal se retrouve dans une certaine conception pessimiste voire tragique de l’existence, en effet la plupart des thèmes abordés tournent autour de la misanthropie, de la mélancolie, de la souffrance, de la mort, de la religion, du suicide, de la dépression et autres joyeusetés (contrairement au stoner qui, lui, est profondément ancrée dans l’esprit des seventies). Disons qu’en général le doom metal (et dans ce cas le mot « heavy metal » prend tout son sens) se doit d’être lourd (autant musicalement que textuellement parlant). Drone doom : Créé par Earth, disciples des mythiques Melvins, le drone est un metal lent, dissonant dont la particularité est de jouer avec les effets de distorsion et de réverb."
Alors j'ai été assez étonné de découvrir cette musique apparemment à destination d'insectes nocturnes en mal de frissonnements d'élytres, au début j'ai trouvé ça méga-ennuyeux et répétitif, et puis finalement j'aime bien, on dirait un croisement entre Kat Onoma sous Prozac et Motorhead sous Steve Roach.
D'ailleurs ceux qui trouvent l'ambient music chiante et répétitive devraient essayer çui-là pour repousser les bornes de leur compassion pour les mecs pénibles sans pour autant s'en aller enfermer dans un monastère où d'austères et cryptiques enseignements leur seront transmis par des maitres cacochymes avec un bol de riz pour manger avec pour des tarifs très modiques.
Sinon, l'album de Earth, il parait que bill laswell, heu non, l'autre, bill frisell, joue dessus.
http://www.megaupload.com/?d=7IZO416Q
mon fils me signale également cette page pour une meilleure connaissance des sous-produits métalliques :
http://desencyclopedie.wikia.com/wiki/Metal
Puis un jour j'entendis cet album, qui n'était pas pareil et me mit la puce à l'oreille. J'appris alors que c'était du drone doom metal, ce qui n'explique pas tout, mais ensuite je lus ici car on en apprend tous les jours pour peu qu'on garde l'esprit ouvert et un peu de temps pour écouter des trucs nouvös :
"Le doom metal pour les consanguins I/ Définition L’essence du doom metal se retrouve dans une certaine conception pessimiste voire tragique de l’existence, en effet la plupart des thèmes abordés tournent autour de la misanthropie, de la mélancolie, de la souffrance, de la mort, de la religion, du suicide, de la dépression et autres joyeusetés (contrairement au stoner qui, lui, est profondément ancrée dans l’esprit des seventies). Disons qu’en général le doom metal (et dans ce cas le mot « heavy metal » prend tout son sens) se doit d’être lourd (autant musicalement que textuellement parlant). Drone doom : Créé par Earth, disciples des mythiques Melvins, le drone est un metal lent, dissonant dont la particularité est de jouer avec les effets de distorsion et de réverb."
Alors j'ai été assez étonné de découvrir cette musique apparemment à destination d'insectes nocturnes en mal de frissonnements d'élytres, au début j'ai trouvé ça méga-ennuyeux et répétitif, et puis finalement j'aime bien, on dirait un croisement entre Kat Onoma sous Prozac et Motorhead sous Steve Roach.
D'ailleurs ceux qui trouvent l'ambient music chiante et répétitive devraient essayer çui-là pour repousser les bornes de leur compassion pour les mecs pénibles sans pour autant s'en aller enfermer dans un monastère où d'austères et cryptiques enseignements leur seront transmis par des maitres cacochymes avec un bol de riz pour manger avec pour des tarifs très modiques.
Sinon, l'album de Earth, il parait que bill laswell, heu non, l'autre, bill frisell, joue dessus.
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mon fils me signale également cette page pour une meilleure connaissance des sous-produits métalliques :
http://desencyclopedie.wikia.com/wiki/Metal
jeudi 4 juin 2009
Entre les jambes (1999)
Je ne l'ai pas revu depuis longtemps, et ne sais pas c'que ça vaut
(mais ça vaut c'que ça vaut)
http://www.megaupload.com/?d=UJJ6XJE7
(mais ça vaut c'que ça vaut)
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mercredi 3 juin 2009
I am a sex addict (2005)
This is a philosophical film about addiction.
Et je rigole pas du tout, mais l'auteur a pas mal d'humour.
en vostvo
pour travailler vos langues
arf !
bon apparemment y'a quelques scènes explicites, aussi.
Je n'ai regardé que le début, pour tout vous dire, pour l'instant, j'ai mieux à faire.
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