Voici un bel exemple de dialogue interculturel entre un guitariste américain et un joueur de duduk arménien.
Comme quoi la musique adoucit les meurtres, ce dont j'ai bien besoin en ce moment.
Malgré son titre, l'album de Michael Brook et Djivan Gasparyan ne nous invite pas forcément à vivre dans un crépuscule perpétuel, pour faire mentir la prophétie auto-réalisatrice de Charb : "le pire, ce n'est pas que les meilleures choses ont une fin, c'est que les pires ont un début."
Comme quoi la musique adoucit les meurtres, ce dont j'ai bien besoin en ce moment.
Malgré son titre, l'album de Michael Brook et Djivan Gasparyan ne nous invite pas forcément à vivre dans un crépuscule perpétuel, pour faire mentir la prophétie auto-réalisatrice de Charb : "le pire, ce n'est pas que les meilleures choses ont une fin, c'est que les pires ont un début."
Bien que pour mes oreilles indigènes, ça démarre par l'adagio d'Albinoni massacré au Bouzouki, et qu'on puisse quand même en nourrir quelques légitimes inquiétudes sur la tournure que va prendre l'affaire.
Puis ça devient étonnamment musical, çe qui tombe plutôt bien, lol.
Tout aussi étonnant tellement ça n'a presque rien à voir : le fait que Michael Brook propose en téléchargement gratuit sur son site la plupart des B.O. qu'il a signées ces dernières années (sa carrière solo semble un peu mise entre parenthèses, au profit de l'illustration musicale de films documentaires)
Bel exemple de partage et de gratuité.
Pour reprendre l'opinion d'un collègue qui préfère la fermer avant de l'ouvrir, Penumbra invite au silence, j'espère qu'il sera entendu.
Bel exemple de partage et de gratuité.
Pour reprendre l'opinion d'un collègue qui préfère la fermer avant de l'ouvrir, Penumbra invite au silence, j'espère qu'il sera entendu.
Le crépuscule de l'intelligence (allégorie)