C'est toujours aussi âpre : 9 ans après "Amok", le trio d'instrumentistes plus ou moins angevins qui font du jazzcore sous l'appellation de Sweetback remettent le couvert pour un deuxième opus.
On pense à Morphine, à Ornette Coleman et à la collection de disques de jazz de son petit frêre revisités au Fringanor ou au diéthylamide de l'acide lysergique.
Tout l'album est en écoute sur leur site.
On y trouve aussi l'album précédent pour 6 €, ce qui n'est vraiment pas cher pour se faire arracher toute la moquette gingivale par un personnel compétent et raffiné.
Voilà des gens qui n'ont pas attendu Hadopi pour s'adapter aux nouvelles contraintes et séductions du marché moderne.
Joie.
Merci pour le tuyaux...
RépondreSupprimerEt voilà, on cause de Sweet Back sur Duclock aujourd'hui même.
RépondreSupprimerYep de Yes.
C'est dingue !
RépondreSupprimeril ne te reste plus qu'à m'expliquer pourquoi le concert du Kilimandjaro Darkjazz Orchestra au VIP de saint nazaire du 27 novembre a été annulé, et nous serons quittes ;-)))