vendredi 20 mars 2015

Alain Bashung : Duos, Reprises, Raretés [Recompilationem Profondikoum]


Billet d'humeur n° 794 :

"Nous sommes ici.
Nous sommes ici chez nous dans Bashung levé, debout pour se libérer et qui a su le faire de ses mains.
Non, nous ne dissimulerons pas cette émotion profonde et sacrée.
Il y a là des minutes, nous le sentons tous, qui dépassent chacune de nos pauvres vies. Bashung, Bashung outragé, Bashung brisé, Bashung martyrisé mais Bashung libéré !
Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l'appui et le concours de la France tout entière : c'est-à-dire de la France qui se bat.
C'est-à-dire de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle."


Blasphémator®, discours de l'Hôtel de Ville de Paris à la Chambre des Lords, 25 août 1944

"Tu nous aurais pas déjà fait le coup ici ?"
                  un internaute doué de mémoire


mercredi 18 mars 2015

Radiant Mind : Strands (2015) + Sense (2012)

https://steveroach.bandcamp.com/album/strands

http://steveroach.bandcamp.com/album/sense

Il y en a un peu plus, je vous le mets quand même ?


Steve Roach aidant la Vérité 
à sortir du puits du dark ambient
(vue d'artiste)

Commentaire anonyme et inspiré :
L'art classique est là pour incarner les lois de l'harmonie universelle, alors que l'art moderne manifeste les disharmonies individuelles. C'est malheureusement très clair.
Quand on regarde les peintures dans les églises italiennes, on se dit que même si l'artiste avait des problèmes persos, ça ne transparaît pas dans ses toiles, s'il peint la vie de Jesus, il fait de son mieux pour s'effacer. Dans l'art moderne, c'est le contraire, on ne peint que soi-même, c'est à dire qu'on ne représente que l'erreur. Peut-être que ça peut inspirer des sentiments à ceux qui sont aussi déséquilibrés, mais c'est sûr qu'il manque une porte de sortie puisque l'absolu est écarté de facto.  

mardi 17 mars 2015

dimanche 15 mars 2015

Robin Trower – Something’s About to Change (2015)

Salut ma vieille. 
Tu les fais pas.
Ce qui me pousse à t’écrire, c’est que à 70 ans passés, Robin Trower vient de sortir un nouveau disque, rudement épatant.
Tu m’avais fait découvrir ce gentleman hendrixien en 83, dans ton gourbi montpelliérain de la rue des écoles Laïques, on faisait l’amour là-dessus et ton caniche trop excité par nos ébats se faisait les coussins.
C'était le bon temps.
Après t'avoir retrouvée en 2010 divorcée d'un californien qui t'avait fait trois beaux enfants, on avait échangé quelques fragments de souvenirs, disséminés façon puzzle.
Tu allais épouser un homme de 60 ans qui t’aimait.
Ma dernière lettre m'est renvoyée par Monsieur Mail Delivery System, tu as encore disparu des écrans.
Robin Trower, lui, reste constant. 




samedi 14 mars 2015

Jean-Michel Jarre - Zoolook (1984)

Souvenez-vous, c'est théière.
Jean-Michel Jarre était quasiment le seul auteur connu de science-fiction sonore d'expression française.
30 ans après, que reste-t'il de nos z'amours ?
Les claquements de langue de Laurie Anderson, quelques guitares inspirées d'Adrian Belew, et des nappes de synthé pompières qu'on dirait échappées de la B.O. du Blade Runner de Vangelis.
Le reste ?
Un bouillon kub et de la sciure.

http://exystence.net/blog/2015/01/29/jean-michel-jarre-zoolook-1984-remastered-2015/

vendredi 13 mars 2015