jeudi 10 mai 2012
mercredi 9 mai 2012
mardi 8 mai 2012
lundi 7 mai 2012
dimanche 6 mai 2012
No Banker left behind - Ry Cooder, 2011
On dirait Jacky Belle Guitt', mais finalement non.
http://www.deezer.com/fr/search/ry%20cooder%20no%20banker
"No bankers (will be) left behind" :
d'abord, j'ai cru que c'était une chanson douce-amère sur les banquiers, qui sont des êtres humains qu'on ne doit pas abandonner à notre mépris ou un truc du genre, comme dit mon fiston, et je trouvais ça élégant, original et jubilatoire.
Comme à 14 ans, quand sous la pression du chantage hormonal on écoute sa première chanson d'amour en anglais et qu'on la trouve géniale, alors que Gogol Traduction nous en révèlerait la nature intrinsèquement niaiseuse en trois cliks, mais la Beauté est dans l'Oreille d'un Sourd qui découvre en lui les pulsions sexuelles.
Bref.
Comme à 14 ans, quand sous la pression du chantage hormonal on écoute sa première chanson d'amour en anglais et qu'on la trouve géniale, alors que Gogol Traduction nous en révèlerait la nature intrinsèquement niaiseuse en trois cliks, mais la Beauté est dans l'Oreille d'un Sourd qui découvre en lui les pulsions sexuelles.
Bref.
Comme No Bankers c'est quand même une ritournelle entrainante, vive la mandoline, et que certains titres de l'album sonnent vraiment bastringue, je me suis dit "tiens, Ry Cooder est revenu de tout, et à l'approche de la vieillesse il se lâche, il n'a plus rien à prouver, il fait ce qu'il lui plait."
Et plus plus je l'écoutais, en croyant capter des phrases qui accréditaient ma vision, plus mon imaginaire partait dans cette interprétation erronée : en fait, en lisant les paroles, je me rends compte que c'est une protest-song classique sur le fait que les banquiers se barrent avec notre pognon et nous précipitent vers l'abîme, comme Bernard Maris le serine dans Charlie Hebdo.
D'ailleurs, depuis la mort de François Béranger, où est le Ry Cooder français qui chantera les copinages entre gouvernants et banquiers ?
Je n'ai pas fait exprès, mais cet article est finalement furieusement d'actualité.
"Inspired by a news headline about the Wall Street bailout, Ry Cooder began work on Pull Up Some Dust and Sit Down with the track “No Banker Left Behind,” an ode to the corrupt few spared from the financial crisis while most were left to fend for themselves. Uncut calls this "one of his best albums ever ... an impassioned portrait of 21st century America and its injustices" in which Cooder is "remade as a modern-day Woody Guthrie, fearless and funny, for like Guthrie he nails his targets with droll humour while empathising with society's underdogs." The BBC calls it "essential listening."
A part ça, comme le planning de Je suis une tombe est bouclé pour un moment,
il ne faut pas hésiter à m'aider à éponger l'excédent sur mon blog hyper-secret.
samedi 5 mai 2012
Inédits Goossens 5
Nota Benêt :
Il faut cliquer sur les images pour les voir en grand ou les télécharger.
Je l'avais oubliée, celle-là.
Druillet a dû bien se marrer.
La dernière case de la dernière planche :
"Démons de l'au-delà, faites que la prochaine récréation soit éternelle" :
C'est un hasard de la programmation,
mais j'en connais un qui va être exaucé dès demain, soir du 2ème tour.
Rien que de se dire qu'il va dormir à l'auberge du cul tourné dès dimanche, c'est trop bon.
vendredi 4 mai 2012
jeudi 3 mai 2012
mercredi 2 mai 2012
mardi 1 mai 2012
Inédits Goossens 1
Les livres de la vache qui ouit, le retour :
J'entreprends la publication de travaux de Daniel Goossens, qui est un génie, restés inédits en albums, ou alors que je n'ai pas relus depuis longtemps, pour l'essentiel des histoires courtes que j'ai retrouvées dans des vieux Fluide Glacial à l'époque où je l'achetais, d'ailleurs rien que pour Goossens, qui est un génie.
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