Du Warren Ellis rigolo.
Un peu de light dans son lourd.
No kidding.
Plus ça va, plus on dirait que le Philippe Manoeuvre early 80's (le rédac-chef de Metal Hurlant qui signait ses éditos au chalumeau et qui critiquait les albums de Motorhead comme personne dans Rock et Folk ) qui sommeillait en Warren Ellis prend la place du fin lettré qui brocardait naguère la mythologie des super-héros.
Enfin, Warren Ellis n'a jamais été un fin lettré (quoique, en lisant son blog, on trouve des traces de culture autre que geekienne) mais vous voyez l'idée.
Bon, enfin, en anglais ça conserve un certain charme, surtout avec tous les mots qu'on comprend de travers. Un peu comme quand on écoutait Genesis en 73, quoi.
No kidding.
Plus ça va, plus on dirait que le Philippe Manoeuvre early 80's (le rédac-chef de Metal Hurlant qui signait ses éditos au chalumeau et qui critiquait les albums de Motorhead comme personne dans Rock et Folk ) qui sommeillait en Warren Ellis prend la place du fin lettré qui brocardait naguère la mythologie des super-héros.
Enfin, Warren Ellis n'a jamais été un fin lettré (quoique, en lisant son blog, on trouve des traces de culture autre que geekienne) mais vous voyez l'idée.
Bon, enfin, en anglais ça conserve un certain charme, surtout avec tous les mots qu'on comprend de travers. Un peu comme quand on écoutait Genesis en 73, quoi.