Que Bill Laswell soit un stakhanoviste du dub capable de s'impliquer dans trente-douze projets à la fois et de sortir quelques vingtaines d'albums par an, ça tout le monde le sait, la cause est entendue depuis Gai-luron et Belle Lurette.
Mais qu'il soit encore capable à son âge de faire sonner un quatuor de jazzrock suisse comme si c'était la reformation de King Crimson dans son incarnation des années 2000, j'avoue que je suis impressionné par le bonhomme.
Mille putois ! A son âge, y'a longtemps que j'aurai besoin d'un bâtonnet d'esquimau dans le zguègue pour mimer une telle verdeur.
Et on pourrait se dire, avec Georges Cloné :
Et on pourrait se dire, avec Georges Cloné :