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jeudi 23 mai 2013

L'auto-fictif

Ca faisait des siècles que je n'étais pas allé voir le blog d'Eric Chevillard.

C’est incontestable, on a parfois besoin d’autrui. Je n’aurais jamais réussi à m’ennuyer comme ça tout seul.

Je suis évidemment favorable au don d’organes et tout à fait disposé, quand je mourrai, à recevoir d’autrui un cœur battant et un cerveau bien irrigué.

Tandis qu’une méchante petite pluie grise déprime notre printemps, une formidable tornade dévaste l’Oklahoma. Que peut décidément le cinéma français contre les blockbusters américains ?

La brute sanguinaire n’attend qu’une chose pour assouvir ses pulsions sadiques : que tu te moques de sa religion d’amour.

Au terme de ses jours, quelqu’un lui demanda ce qu’il changerait à sa vie si c’était à refaire. – Peu de choses, répondit le vieil écrivain, mais j’éviterais cette fâcheuse répétition du mot tabouret à la page 3 de mon premier livre qui m’a complètement pourri l’existence.

Voilà, c'est peu et c'est déjà beaucoup pour aujourd'hui.

vendredi 29 mars 2013

L'éditorial du vendredi soir

J'ai lu un article affreux et très documenté de Courrier International sur les exactions en Syrie.

J'ai entendu des histoires atroces sur France Inter à propos de narcotrafiquants au Mexique.

La jeune Léa, 11 ans, m'a écrit une lettre déchirante du fond de son fauteuil roulant, me demandant gentiment d'envoyer des sous à l'Association des Paralysés de France, me faisant clairement comprendre que si je ne le fais pas je renie toutes les valeurs humaines; par contre, si je le fais, il est clair que l'APF me poursuivra de ses mailings personnaisés dans les siècles des siècles.

Pour résister aux frimas printaniers, j'ai mis une veste polaire par dessus un pull polaire, et quand je me suis rendu compte que ça me rendait d'une certaine façon bi-polaire, comme si la prédiction de mon psy s'était auto-réalisée, je me suis tout de suite changé.

Mais j'ai lu un article cocasse, et j'ai passé un bon moment.

mardi 26 février 2013

les Fils de Teuhpu - Bogdanov (2001)




les Fils de Teuhpu, depuis longtemps engagés contre le nucléaire, ont raconté leur rencontre (fictive ?) avec la jeune Natacha sur les rives du lac Baïkal.

"En vacances au lac Baïkal
Sur la plage de la centrale
Sous un soleil hivernal
J'ai rencontré une fille bicéphale
Elle s'appelle Natacha 
Une oreille, deux nez, trois doigts, 
elle est née dans la misère, 
près de la centrale nucléaire..."

J'ai acheté le titre de bon coeur sur iTunes.
On n'a pas tant que ça l'occasion de se marrer dans le rock français.
International non plus, d'ailleurs.

lundi 30 avril 2012

Georges Cloné - Raoul Petite (2008)


Dans le paysage peu encombré du rock parodique du début des années 80, Raoul Petite fut une excellente surprise, surtout en concert.
Mais plusieurs tendances s'affrontaient au sein du groupe : il y avait des zappatistes, des gotlibiens, mais aussi des RockFMeux. Sur scène, les premiers avaient le dessus, mais en studio, cruelos déceptioning, les derniers l'emportaient, et peu de chansons comportaient un thème ou un traitement digne d'être signalés aux zygomatiques, hormis sur le premier album "c'est sur si t'assures c'est pas dur", dont la production platounette ne rendait guère hommage à l'énergie du collectif.
Quinze ans plus tard, je travaillai un moment aux côtés de l'ingénieur du son qui avait produit leur premier album studio, et je compris pourquoi c'était difficile de concilier les antagonismes qui bridaient le rendu global du groupe. Le mec en question c'était pareil, un ramassis de déterminismes mal accordés, certains brillants, d'autres complètement cata.
Par acquit de conscience, je m'enfilai toute la discographie de Raoul, mais peu de pièces emportèrent mon adhésion, excepté deux ou trois morceaux sur "Dans ton kulte", dont cet excellent Georges Cloné, où il y a bien 1 thème, 1 traitement, et 1 résultat.

vendredi 6 avril 2012

La Murge - Person/Ptiluc sans Ptiluc (1986-93)



Au fil des Zans, tout en m'enfonçant dans la nuit obscure de l'alcool comme un clou dans la fesse gauche, j'ai grabouillé des crobards pour la Murge, que Luc n'a pas repris dans l'album.
Je ne sais pas si on peut parler de bon et de moins bon dans ce qui m'apparait aujourd'hui assez loin de moi, toutes tendances confondues (à part la clope et l'ordi...), mais si je peux pas publier ici mes fonds de tiroir, je sais pas qui c'est qui va s'y coller.

 Comme j'ai réussi à redémarrer mon scanner à partir d'un disque externe sous Mac Os X.5.3, je vouas pas pourquoi je me gênerais.
Qui c'est qui commande, ici ?
Le même qui payait jadis des tournées...




jeudi 5 avril 2012

[ Repost ] La Murge - Person/Ptiluc (1993)


Problèmes :

-Si je me pirate, est-ce que je m'inculpe ?
-Pour complicité de recel d'abus de boisson ?
-Est-ce que Ptiluc va se porter partie civile ?

Ah là là, c'est compliqué, la vie.
D'autant plus que cette édition est augmentée d'inédits que Luc n'a jamais voulu dessiner...
mais ils ne seront en ligne que demain.
Dans cette attente, si l'album vous plait, je ne saurais trop vous suggérer de l'acheter, ça se trouve encore en magasin, et à l'époque de la sortie, on n'en a vendu que 7000, ce qui était un petit tirage pour l'époque, même si maintenant, ça serait un méga-succès de librairies (tant qu'il en reste)
Scans réalisés par SkandeuTravioll®

http://www.mediafire.com/?ihuvb18i5b2to7j

lundi 26 mars 2012

Rien n'a vraiment changé depuis le commencement de la faim

http://www.ina.fr/divertissement/humour/video/I07079339/guy-bedos-le-commencement-de-la-faim.fr.html


Bon, Guy, déconne pas, c'est pas passke Moebius est mouru 3 jours après être passé dans mon émission qu'il faut te sentir obligé de faire pareil, hein...
J'ai trouvé tout plein de tes archives en accès gratuit sur le site de l'ina, c'est bon de te revoir jeune...et beau... et en Caustique sous Giscard, comme d'autres sont Bernadettes sous Bayrou.

samedi 24 mars 2012

Les beaux livres de la vache qui lit : Ashe Barrett # 1



Tiens, puisqu'on en est à parler d'actualisation de potentiel, évoquons le cas Vincent Hardy.
Vincent Hardy ne finira sans doute jamais d'écrire la véritable histoire de Ashe Barrett.
Nous voilà donc éternels orphelins, on s'en doutait un peu, mais c'est l'occasion de se rappeler que le lien de l'attachement pend dans le vide.
C'est dommage, ça partait bien.
Vincent Hardy bénéficie de circonstances exténuantes, mais c'est pas une excuse.
Il vaut mieux faire envie que pitié, et à tout prendre, ne pas se préoccuper du regard des autres, à moins qu'on soit un tueur psychopathe dans le viseur d'un tireur d'élite du GIGN, mais il est alors bien tard pour refaire ses choix.
Les rares éléments biographiques collectés auprès de sources plus que douteuses ne permettent pas de reconstituer un parcours erratique, rendu d'autant plus malaisé que les vents karmiques soufflent assez fort à cette altitude où l'on tutoie les Géants de la Pensée Humaine.

Pour commencer, Vincent Hardy naît difficilement chez sa tante de Bujumbura, au Burundi, car sa mère avait dû s'absenter, prétextant des courses à faire, parce que ça mange beaucoup à cet âge-là.

Une des rares photos de Vincent Hardy bébé, entre son oncle et sa tante.

Plus tard, il est asséché émotionnellement sur le rivage de cette mère morte à marée basse, dont il apprend accidentellement qu'elle est décédée avant sa naissance, bien qu'elle ait tout fait pour lui cacher ce secret de famille.
Il est élevé à la force du poignet par un oncle incarné, rendu tétraplégique à la suite d'un bête saut dans une piscine vide, comme dans une célèbre chanson de Raoul Pitètre, oncle à qui il obéit dorénavrant au doigt, et surtout à l'oeil.



Quelques ouvrages écrits par son oncle, 
manifestement sous l'influence d'anti-inflammatoires périmés,
mais qu'est-ce que vous voulez, en Afrique on fait avec ce qu'on a, 
qui exerceront une forte influence sur le développement ultérieur de l'adolescent tourmenté.

Plus tard, il s'engage dans les commandos parachutistes, ce qui forgera sa personnalité de grand solitaire paranoïde, et donnera à son alter héros ce caractère décidé et risque-tout, surtout quand il s'agit de faire un choix erroné en situation d'urgence, don qui s'acquiert précocement et ne se perd que difficilement et presque par inadvertance, parce que même si on le laisse sur le siège à côté dans l'autobus 28 et qu'on fait mine de descendre à l'arrêt suivant, il se trouve toujours un Bon Samaritain pour vous faire remarquer que vous oubliez votre paquet, et tout est à refaire.
Plus tard encore on le retrouve inscrit à l’Institut Saint–Luc de Mons en section Arts Graphiques, et c'est difficile de comprendre pourquoi et comment, mais avec un coco comme ça vous imaginez bien que les contradictions inhérentes à l'être humain sont poussées dans leurs ultimes retranchements.
A la suite de quoi, et sans autre forme de procès, cette édition inédite dans le monde mondial, antérieure à l'album paru sous le titre "les 12 travaux d'Ashe Barrett" dans les années 8o chez Vents d'Ouest, est vendue à la main et sous le manteau sur le campus de Louvain-la-Neuve, ce qui n'est guère pratique, surtout quand la froidure condamne aux moufles pour éviter les engelures de poitrine, et on se l'arrache sans doute fort peu, vu sa teneur hermético-déroutante, pourtant indéniablement innovante et originale dans le domaine de la figuration narrative.
Encore plus tard  mais pas tout à fait le demain d'hier, une si belle aventure s'évanouit au milieu de nulle part comme le mirage d'un désert peut apparaitre au soiffard sur le plafond d'une oasis, alors que je ferais mieux de balayer la poutre que j'ai présentement empalée dans l'oeil de boeuf de ma porte.
L'Homme et Son Oeuvre inachevée retombent alors dans un oubli prématuré, et même Vincent Hardy a totalement perdu la mémoire de qui il était du temps d'Ashe Barrett, sauf s'il a revu entretemps le Angel Heart avec Mickey Rourke et que ça lui a provoqué une anamnèse (= amnésie de l'oubli), mais c'est statistiquement improbable.
Aujourd'hui, qui est enfin le demain d'hier et le hier de demain, il est illustrateur de livres pour enfants.

Voilà, vous savez tout ce que j'en sais, c'est à dire pas grand chose.
On peut redécouvrir avec une incrédulité croissante et une stupéfaction sur laquelle le temps n'a pas prise, l'enculé de sa race, le début de l'Oeuvre d'Ashe Barrett, sorte d'Homme Sans Qualités à la Robert Musil qui aurait fumé la moquette plus que de raison, et qui en subirait les conséquences dans un univers légèrement gauchi mais à forte présence policière, ce qui n'est pas plus paradoxal que le reste, tout en restant très attaché à sa crispation identitaire d'antihéros post-moderne rêvant d'aventure dans un monde où il est né un peu trop tard pour ça, bien qu'il soit doté d'une très riche vie intérieure, alors ça compense un peu.
http://bayfiles.com/file/4Y5t/NwG7f8/ashe_barrett_1.zip

http://bayfiles.com/file/5cnR/BEwPKY/AB2.zip

Qu'est-ce que j'oublie? ben de saluer dans l'allégresse et la dignité retrouvées là où on les avait laissées, la naissance de ce nouveau babylabel littéraire autoproduit, en souvenir des Editions Nallet-Boisrunvert, fruit d'une initiative privée de moyens mais dotée d'une mémoire de pachyderme et des clés du bureau pour pouvoir scanner sans nuire à la productivité de l'entreprise, alors que tant d'éditeurs indépendants et de libraires émérites ferment leurs portes après avoir mangé toute leur poussière.



jeudi 15 mars 2012

Dans les Bardos, sans Brigitte...



Voyage avec Blueberry :

Quand Collin et Mauduit deviennent des personnages de Blueberry, la mythique BD de Jean Giraud, alias Moebius. 

 C'est une chouette idée que de tenter de pénétrer dans les albums de Blueberry pour essayer d'y prévenir ce pauvre Lieutenant Myrtille qu'il est désormais orphelin de père.
Il avait déjà perdu sa mère spirituelle Jean-Michel Charlier en 1989, d'ailleurs assez peu féminine au vu de sa production, et ne s'en était jamais vraiment remis sur le plan scénaristique, errant depuis lors dans des états proches de l'Ohio, dans l'attente d'une hypothétique et énième rédemption, depuis son renvoi de l'armée à la suite du complot pré-conspirationniste qui court de Chihuahua Pearl à Angel Face, pour moi le plus bel arc de la série même s'il manque singulièrement de flèches, qui n'arriveront que plus tard, bien que certaines se soient plantées plus tôt dans nos héros, mais chaque chose en son temps.

De plus, le procédé Collin-Mauduit® lorgne ostensiblement vers les très riches heures de la Production Radiophonique Farfelue & De Qualité, évoquant aux plus dinosauriens de nos auditeurs, au rang desquels j'ai le regret impavide de me compter, les aventures d'Adolf, le petit peintre viennois...
... avec lesquelles il tente de renouer, et y parvient parfois.
En fait assez peu, dans l'ensemble, mais si je disais cela, je leur ferais le procès inconscient de n'être pas capable de regagner mon Enfance à pied d'oreilles radiophoniquement aimantées vers des cieux plus cléments, idéalisés dans un âge d'or révolu où les aventures du Lieutenant Blueberry représentaient ma nourriture spirituelle favorite et unique, autour de l'arc "La mine de l'allemand perdu / Le spectre aux balles d'or".
Et ça, moi vivant, jamais.
Laissons les procès d'intention aux Inquisiteurs Espagnols, eux qui ne se gènent guère pour surgir providentiellement au coeur des sketches du Monty Python Flying Circus quand ils ne savent pas comment finir .
Mais pas de ça chez moi, dans mon Sublimatorium®.

Comme la radio est un média chaud, et l'on ne saurait honnêtement lui reprocher de ne produire que des sons, elle laisse l'auditeur sécréter ses propres images, dans ce siècle qui en surconsomme jusqu'à vomir, et là bon ben moi  tout de suite j'imaginais des choses un peu plus dramatiques et velues, à la Cronenberg ou Philip Dick : le cowboy inoxydable se rend compte que son univers se décompose lentement tandis que son démiurge fraîchement décédé s'éloigne dans les Bardos... c'est l'occasion salutaire mais toujours remise à demain d'une saine prise de conscience de sa mortalité, à l'instar de la décrépitude qui s'abat sur les personnages littéraires quand plus personne ne les lit…
mais ce n'est pas trop le ton de l'émission, et puis dans un format de 2 minutes, même l'immense John Warsen, du temps où il se murgeait à la 3D, ne saurait synthétiser ses obsessions mortifères au point de les rendre sensibles en 120 secondes krono, faut pas rêver.

Et puis de toute façon, il y a longtemps que Moebius avait contaminé Giraud, des pages entières de Blueberry basculent dans un univers plus proche de Castaneda que de John Ford, sans atteindre aux outrances de l'accident industriel cinématographique (je dis ça rapport aux investissement non rentabilisés, puisque ce fut le plus gros bide Gaumont de l'an 2002) qu'en avait tiré Jan Kounen, lui aussi grand amateur de psychotropes.

C'est ben ça le problème avec les tord-boyaux de la tête, c'est qu'après on n'est plus étanche, et si on est créateur de mondes, ben ça diffuse à travers les strates de l'imaginaire personnel, jusqu'au jour où on se retrouve l'otage de Palmer Eldritch.
Et il est alors bien tard pour chercher la marche arrière, qui n'est d'ailleurs pas fournie, même en option, dans ce type de véhicule.

Les Hollandais, non contents de cultiver des fromages sans trous et sans goût, et de professer autant que de pratiquer un libertarisme douteux depuis 5 décennies, se sont lancés dans la production à grand échelle d'Herbe Transgénique il y a déjà un moment, produisant une plante à la teneur inédite en THC, et quand tu tires trois taffes de skunk et qu'ensuite tu passes 4 ans à regarder tes pompes, merci bien, j'ai autre chose à faire de ma vie, si elle est d'accord.

Déjà que  j'arrive même pas à trouver une plage horaire psychologiquement idoine pour fumer celle que j'ai achetée le mois dernier, tellement que mon cerveau est le hall de gare de trains d'idées que je ne voyais plus guère s'arrêter devant chez moi avant ma cure de Fringanor®, bref et pour conclure, tant pis-tant mieux, ces 2 minutes de déconnade bouche-trou avant le journal de 8 heures de France Inter m'arrachent un pauvre sourire à l'heure où je dépose mon fils au lycée, et lui aussi.

Et j'allais oublier de faire le joint avec une aventure littéraire nettement plus ambitieuse et carrément  jubilatoire, sur le même thème de la littérature contaminée par le réel et vice-versa, dans ce roman de Jjasper Fforde, qui gagne au passage le jambonneau offert au lauréat du concours du patronyme ressemblant à s'y méprendre aux mots de passe générés aléatoirement par les petits frères et soeurs du défunt Megaupload au moment de télécharger les fichiers convoités, ouvrage si réussi que je n'ai pas lu les autres de peur d'être déçu, un peu comme les Japonais qui se font hara-kiri quand ils pensent qu'ils sont au top et que maintenant, ça ne peut que redescendre.




Ah ça, pour fumer des clopos en salle de rédaction
à l'heure où nous mettons sous stress, 
alors que frémissent les rotatives et que nous n'avons plus rien à nous mettre,
hormis une robe de chanvre en pilou cotonneux,
à la faveur de ces insomnies où d'autres en profiteraient 
pour rompre le pacte de Varsovit 
et tenter d'envahir la Pologne de leurs femme,
si elle ne dormait du sommeil du travailleur social épuisé, 
ah ça, on est .

Merci à Plouf pour le titre et à Wikipedia pour les infos pertinentes, surtout depuis que je sais ce que je cherche.
J'ignorais la teneur réelle du projet bloqué par les héritiers de Charlier "Bloub 1900", où la teneur en peyotl semblait définitivement l'emporter sur les cruchons de Jack Daniels, et finalement il vaut peut-être mieux qu'il reste dans les limbes, comme le Dune de Jodorowski.