Pour améliorer un peu la moyenne de tous les petits Warseniens en décrochage scolaire qui redoublent leur classe de maternelle funéraire & tombale (enseignement en distanciel) pour la onzième année consécutive, voici un devoir de vacances en télétravail, à rendre après les vacances de Noël :
1/ écoute cette chanson.
2/ pleure à chaudes larmes.
Si tu n'y parviens pas à la première écoute, lis les paroles.
3/ mouche ton nez.
On n'est pas bien, là ?
Bien au chaud dans nos alvéoles,
avec l'amère (bitter) Dinah Washington ?
4/ écoute ce qu'en a fait Max Richter dans la bande-son de Shutter Island.
5/ Hein ? quoi ? on ne reconnait plus rien, et en plus c'est pas Max Richter qui a fait le coup ?
attends, je relis mes notes... ventrebleu, mes chères têtes blog_ondes, vous avez émile fois raison. "On the Nature of Daylight" a été composé et enregistré par Max Richter pour la bande-son du film Disconnect de Henry Alex Rubin (2012), une chronique sur les moeurs modernes, dans un environnement où la technologie prend tellement d'ampleur dans la vie des individus qu'elle les éloigne les uns des autres et accroît le sentiment de solitude de chacun.
Je vois pas du tout de quoi ça peut parler.
D'autant plus que le petit bonhomme de Télérama ne sait pas quoi m'en donner à penser,
puisqu'il ne l'a pas vu non plus.
Illustration trouvée sur le blog de Chris Walker. Il se fait pas chier avec les droits d'auteur des proverbes japonais, le mec. |
Et ce n'est qu'en 2010, soit deux ans avant, ce qui n'est pas si improbable que ça si le mec avait vu Tenet et appris à se déplacer à l'envers dans le temps, que Chris Walker mélangea (sans trop s'embarrasser ni de remords, ni de regrets, et encore moins de principes d'éthique à la con vu qu'il avait anticipé en allant se balader préalablement dans le futur qu'en 2020 tous les artistes allaient crever la dalle avec le Covid_19 et seraient occupés à bien autre chose qu'à lui chercher des poux dans la tête et des morpions dans le slip pour de sombres histoires d'ayants-droits), que Chris mélangea sans vergogne, disais-je, Dinah Washington et Max Richter, pour créer non pas Dinax Richton mais un bien chouette morceau de la bande-son de Shutter Island, comme c'est un peu mieux expliqué ici :
6/ explique sans faire appel à tes connaissances en complotisme comment une chanteuse de jazz née en 1924 et morte en 1963 d'une overdose de somnifères et d'alcool au sommet de sa gloire aurait pu être sauvée par Didier Raoult s'il avait réparé à temps les bougies de sa mobylette quantique.
Défense de tricher sur Wikipédia ou sur (Tépa) Trénette, le film de Christopher NoLife.
7/ question subsidiaire pour les surdoués qui ont déjà fini : apprends à bien distinguer les remords et les regrets, tant qu'il en est encore temps, car s'il n'est jamais trop tard, des fois quand même il est bien tard, comme disait Dinah Washington en reprenant du sécobarbital.
Et pas de proverbe pour les mecs infidèles ? Ces Nippons sont d’un machisme insondable.
RépondreSupprimerC’est chouette la version mélangée - bon, ça me rappelle aussi le film qui est déchirant dans son genre.
RépondreSupprimerLe problème des films à chute, c'est qu'à un moment donné, ils tombent. Mais tout ce qui précède, dans celui-ci, est à la fois obèse et quand même aimable. Comme ça on ne pourra plus m'accuser de grossophobie.
RépondreSupprimerEn parlant de flims...
RépondreSupprimerEst-ce qu'elle un lien de parenté avec le “meilleur acteur du XXIe siècle” ? Au moins.
Tante, arrière-petite cousine, ça suffirait.