Affichage des articles dont le libellé est sentiment indicible. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est sentiment indicible. Afficher tous les articles

lundi 29 juin 2020

Phoebe Bridgers ‎- Punisher (2020)

Vous pourrez dire "c'est chez Warsen que j'en ai entendu parler la première fois". Sauf que Warsen en avait entendu parler sur discogs et pitchfork. Chez les oreilles curieuses. Le canal auditif. Et prochainement à n'en pas douter, dans télérama, dans l'odyssée d'homère dans play-boy dans france-soir, dans les pièces de shakespeare les manuels d'histoire dans le journal de mickey dans les modes & travelots
dans vélo-magazine dans " mets-la-moi-rocco "
dans le petit albert dans le livre des morts
dans le coran dans l'argus dans le journal des sports dans batman aristote bukowski ou schiller van gogh warhol pollock debussy ou mahler dans fustel de coulanges notorious big aussi & puis dans la naissance de la tragédie & dans winnie oui dans winnie (merci Thiéfaine)


https://phoebebridgers.bandcamp.com/album/punisher
Joli disque, et jolie frimousse.
Mais quand c'est une fille on n'a plus le droit de dire ça, c'est sexiste.
Et fuck you, c'est sexiste ?

mardi 31 mai 2016

Brian Eno - Jon Hassell : Fourth World Vol 1 Possible Musics (1980)

Mon internet est toujours pété.
Je suis obligé d'uploader du bureau.
Un ami m'appelle pour me dire qu'il a retrouvé ce CD chez lui et qu'il manque un morceau.
C'est scandaleux.
Ce disque est la mère de tous les bons disques d'ambient. Ansi que son père et sa grand-tante par alliance, comme dans Prédestinations, ce film de SF un peu barré où à force de voyager dans le temps, tous les personnages sont la même personne à différents âges de la vie, avec des intérêts très souvent antagonistes.
Bref.
Ce disque vous transporte dans un ailleurs musical à nul autre pareil, il y a la mousson, des palmiers qui se balancent dans le vent, de grandes étendues poussièreuses, on cherche vainement un griot pour se délivrer d'une ancienne malédiction. On trouvera quand même un semblant de sérénité dans la trompinette sacrée de Jon Hassell.
J'ignore ce qu'a fait Brian Eno sur le disque, à part ravitailler la petite troupe en sandwichs au jambon végétarien, et pourtant j'ai les notes de pochette sous les yeux; mais n'oublions pas que je suis au bureau, et que j'ai du boulot.


























"One of the finest ambient albums, not only from the early days, but generally speaking. Hassell's otherworldly trumpet sounds like a spirit flying over an ancient landscape. Deep, organic ambient that I played on repeat while studying."
Gérard Manchié, étudiant.

jeudi 17 décembre 2015

[ Repost v2 : Réup total recall ] Liévaux-transfo : passage public + porte 50 (1979/81)


Rajout tardif et antidaté de ces deux indispensables de ma musicothèque d'éternel adulescent, pierres glandulaires de mes 18 ans que je réécoute parfois la nuit quand tout le monde dort.
Je ne vais pas vous faire l'article, il y en a de forts bien faits.
Vynils rippés à la main et à la louche, arrangements rococo... pour amateurs avertis, accompagnés de leurs parents.
Y'a même une étonnante "mauvaise graine" sur la prostitution enfantine, thème pas facile pour un chanteur de variétoche.
Point Barre.

LIEVAUX-TRANSFO : PASSAGE PUBLIC
Le sauras-tu un jour (version courte) (Jean-Yves Lievaux / P. Dattas)
Le téléphone (Jean-Yves Lievaux / Y. Marquette)
 Jefferson (Jean-Yves Lievaux)
Je jette dans la vie (Jean-Yves Lievaux / P. Jutteau)
Passage public (J.C. Touzet)
 J’ai mis pour moi (Jean-Yves Lievaux / J.C. Touzet)
 Marcher tout seul (Jean-Yves Lievaux / J.C. Touzet)
 Le sauras-tu un jour (version longue) (Jean-Yves Lievaux / P. Dattas)
 Quand j’y pense (Jean-Yves Lievaux)
 Petite soeur (Jean-Yves Lievaux / Y. Marquette)

LIEVAUX-TRANSFO : PORTE 50
Mauvaise graine (Jean-Yves Lievaux / J.C. Touzet)
 Gamin tirelire (Jean-Claude Collo / Jean-Yves Lievaux)
 Cellule 317 (Jean-Claude Collo / Jean-Yves Lievaux)
 Porte 50 (Jean-Yves Lievaux / J.C. Touzet)
 Le théatre millénaire (Christian Hee / J.C. Touzet)
 Je suis fêlé (Jean-Yves Lievaux / P. Jutteau)
 [Edit ]novembre 2012 : Aux environs d'étoiles (j'ai pas les crédits, mais j'ai réparé mon CD)


http://www.mediafire.com/download/pcbu2pxagpby13m/LTransf-_la_compile_a%CC%80_Warsen.zip

Enjoy !

15/12/2015 à Marignan, ou presque


mardi 11 février 2014

[Repost] Steve Roach & Vidna Obmana - Well of Souls (1995)






Vous l'attendiez tous sans oser y croire...
il est là, tout darkounet, glougloutant et froufroutant !
Si j'avais une queue, je la remuerais sans fin dans le puits des âmes en écoutant cette galette sépulcrale.

https://drive.google.com/file/d/0BzhLl_h0jOHvZ3hYN0dYWTZsUkk/edit?usp=sharing

dimanche 15 décembre 2013

Torsion métaphysique

Lu ici :

Je suis effaré de voir mes propres carences, et ma propre incapacité à ne pas sombrer dans des trous noirs liés aux besoins de base, à certains moments ponctuels, c'est comme si Dieu ça n'avait plus aucun sens. Mais comment pourrait-il en être autrement, puisqu'il y a des trous dans le véhicule ? Et ça c'est pas de la théologie, c'est parfois le "quotidien", l'assaut donné par les besoins primordiaux qui réclament leur pitance...
>
Il me semble que c'est parce que tu juges, ce qui crée une sorte d'effet larsen de retour sur soi qui est précisément le truc tordu. Quelque part, il faut renoncer à se regarder soi-même, ce qui n'empêche pas de constater les effets de sa connerie. D'après mon expérience, la bonne direction c'est de se regarder en tant que reflet dans le monde et jamais directement, c'est sans doute l'histoire de la Méduse qu'on n'a pas le droit de regarder en face. Par exemple si on se demande comment les autres nous perçoivent, on est foutu, car on est en train d'essayer de se voir directement (l'oeil qui essaie de se voir), et ça crée une horrible torsion métaphysique. Par contre, si on définit que soi, c'est son regard sur le monde, là ça marche : tel que je vois le monde, c'est ce que je suis. Les soufis diraient aussi : tel qu'on conçoit Dieu, c'est ce qui nous révèle.
Les gens se trompent presque tous de direction, mais une fois qu'on a compris le truc, cette horrible sensation de péché originel disparaît, parce qu'on fait disparaître l'effet larsen gravitationnel qui crée le trou noir. Il faut totalement renoncer à se regarder soi-même, accepter d'être pour soi-même un parfait inconnaissable. 



Une solution élégante au problème cité qui permet en plus de passer l'hiver au chaud


jeudi 30 mai 2013

Bobby McFerrin - Spirityouall (2013)

Un peu de négro, et beaucoup de spirituel.
Un vrai plaisir, quoi.
Et du miel aux oreilles, qui s'accroche un peu dans les touffes de poils depuis que les piles de mon épilateur sont à plat.

http://laspikedelycmusic.bloguez.com/laspikedelycmusic/5893370/Bobby_McFerrin_-_Spirityouall_2013320

samedi 2 juin 2012

[ Repost ] Gérard Delahaye - Le Grand Cerf-Volant (1976)


Très grosse claque prise à la fin des années 70, dans ma période François Béranger.
Un folk-blues acoustique tantôt âpre, tantôt bucolique, de la critique sociale en veux-tu en voilà, du mal-être d'humain en quête de son humanité comme s'il en pleuvait, des bluettes hypostasiées, et au final un univers très intime avec autant d'espoir que de noirceur.
Inégal mais inégalé.
Ensuite, il a surtout chanté pour les enfants, donc il ne peut être fondamentalement mauvais.

Acheté chez l'auteur.

lundi 16 avril 2012

The secret knots

Je n'aime pas trop les blogs BD, parce que j'y lis trop souvent des scènes de figuration narrative de médiocre facture, un peu comme ces types qui se prennent pour des critiques de rock et qui mettent des albums en partage pour faire leur intéressant, genre moi.
Mais là, on est bien, enfin moi je trouve ça chouette.

http://www.thesecretknots.com/

dimanche 18 mars 2012

Herbert Schönheit von Vogelsang, le retour

Hier matin en vaquant ici et là à bord de mon véhicule carburant aux fossiles, j'ai ouï la voix grave que même John Warsen quand y se bitume la trachée n'y arrive pas à la cheville ouvrière question timbral, et même Hervé Morzadec quand il enregistrait les Très Riches Heures de JW jivépa c'était un Garden Nabbott de l'infra basse, et qu'en plus au niveau contenu l'émission accapare tellement le nez au cortex qu'il ne reste plus beaucoup d'attention lucide et consciente pour éviter les accidents de la circulation, et d'autant pluche que hier matin il était question de la beauté du son des oiseaux et du Sens Profond de Toute Chose Qui se Fond et se Défont fonfon à l'instar des maris honnêtes ou pas de la chanson et ponyme à la plage mais on va attendre un peu pour ressortir les mayos parce que le redoux s'est fait piquer toutes ses couvertures par l'Heureux dur, à la surprise génitale de ceux qui pensaient pouvoir se l'aérer un pneu.
Brèfle, soyez gentils, allez écouter le podcast de Sur les épaules de Darwin, moi qui suis de par ma constitution chétive et maladive un chantre mou de la contre-culture et qui n'ai pas d'habitude ma langue dans ta poche, j'y découvre chaque samedi où j'y panse des rézons d'en rabattre mon caquet et de démonter mon bourrichon.
Un peu comme si le Jacques Dartan du cours d'orthologique avait couché avec un ornithologue pour nous faire voir mais à la radio ça s'appelle entendre, la beauté de ce monde dans lequel nous sommes des guerriers de lumière, mais j'ai laissé mon pyjama au pressing alors il faudra repasser pour que je l'endosse.

Pour les non-germanistes, et parce que la Conne Essence ne vaut que si elle est partagée par touffes, je rajoutardif et scrupuleux que Herbert Schönheit von Vogelsang veut dire Herbert Beauté du Chant des Oiseaux, que ce n'est pas un patronyme apache, et qu'il vit sa vie littéraire immortelle et à jamais sous la plume du bec acéré de feu Phil Dick dans le roman Ubik.

jeudi 8 mars 2012

[ Repost ] Les Sax Pustuls : l'avis des animaux (1982)


Originalité, musicalité, radicalité.
Jazz-Rock rennais du début des 80's.
Inédit sur internet, issu de la collection privée d'un prince de Bretagne qui n'a pas les oreilles en chou-fleur.
Nécessaire et indispensable, et forcément introuvable.
Mais retrouvé.

[ MàJ ] 
samedi 11 mars 2023

dimanche 12 février 2012

Un dimanche sous la neige - John Warsen, 2012


A force de déterrer toutes ces archives vidéo issues d'un autre âge, on pourrait me meuh prendre pour un passéiste engoncé dans l'informe pardessus de la nauséabonde nostalgie, ce qui ne serait pas très hygiénique.
Il fallait réagir.
5 heures de tournage le ouïkende dernier,
1 heure de rushes,
2 grosses journées de montage
grappillées au Pan qui Tasse.

C'est le métier qui rentre.

Le tout pour un budget légèrement inférieur à celui de Van Gogh sous Séroplex®.

Edit du 18/02/12 : j'ai ré-uploadé le clip en HD.

samedi 4 février 2012

Internénette : des clips à tumbler par terre (2012)



Souvent, en consultant le Staff Picks sur Vimeo, je tombe sur par hasard sur des petits films extraordinaires réalisés avec ces appareils photo caméra syle l'EOS 5D.
Celui-là, plein d'émotion et de dépaysement pour pas un rond.

Ah oui, sinon pendant que je vous tiens, j'ai aussi un tumblr, mais il est moins bien que d'autres, bien qu'il soit vain et symptomatique de rogatons d'auto-dévalorisation (Mon Dieu, préservez-moi de me prendre pour un minable) d'essayer d'être meilleur en tout et de se la mesurer sans rime ni raison.

Surtout qu'en ce moment, à l'instant T de l'heure H du jour JE, il est clair que c'est moué qui ait la plus grosse, si l'on exclut les 3 Poutres de Bamako du pissing contest.

mercredi 25 janvier 2012

On n'est pas de bois


8 heures 45 du matin.
Dès la sortie du tramway, mes organes internes m'envoyent un mail de confirmation de l'extrême utilité de vidanger les ballasts avant de rejoindre le bureau, pourtant à portée du biniou de Guillaume, mais le mien est nettement plus court.
Je m'engouffre en feignant la décontraction dans un estaminet du bas-Nantes idéalement situé sur mon parcours.
 Les ballasts une fois vidangés, je sirote un petit black au zinc, moment de bonheur inattendu autant qu'appréciable, en attendant que la vague d'optimisme, qui ne saurait tarder, fidèle au rendez vous que l'almanach des marées de Perros Guirec lui a implacablement fixé il y a longtemps puisque c'était écrit dans le journal, me permette de remonter la rue avec aisance, entrain et à pied pour respecter les préceptes écologiques du déplacement du râble que je me suis fixés dans mon Fjord intérieur, puis de laisser la journée filer, à l'instar du maquereau au bout de son hameçon de 12,  sous le poids des dossiers à boucler pour hier qui s'entassent sur le coin de mon établi comme des mouches sodomites dès que j'ai le dos tourné, en rêvant d'attraper un bon petit coup de mou à la Steve Roach, un qu'est pus étanche depuis longtemps si vous voulez mon navire, prenez-le et bon vent.
 Pour l'heure je chancelle, et jerricane (petit réservoir) d'haut perché sur un tabouret de bar (poisson délictueux quand il est assez zôné), qui semble encore plus branlant que moi.
 Caisse je fais ? je sudjère au barremane de le faire réparer, ou pas ?
 Chez moi la fêlure est à l'irrémédiable ce qu'un coëfficient de 125 est à l'Equinoxe, qui laisse le bigorneau assoiffé sur la grève dans l'angoissante attente du flux salvateur qui doit prendre dans la conscience rudimentaire du bigorneau une forme peu conceptuelle, et pour ma part je l'accepte, c'est d'ailleurs à ce prix (c'est pas très cher au kilo, le bigorneau, surtout à la morte saison) que je puits asséché devenir abstinent, et perdurer, et merdurer aussi des fois, alors que ce pauvre tabouret de bar n'a d'autre liberté que d’accueillir vingt culs les séants qui s'offrent à lui toute la sainte nitouche journée.
Mais d'autres clients, moins avertis et plus imbibés que moi (surtout que depuis que j'ai fait pipi, c'est à dire il y a peu, remonte d'un paragraphe si ça t'est sorti de l'esprit mais ce n'est pas très bon signe, fidèle lecteur à la mémoire traitresse, j'ai atteint une côte de non-imbibation presque inédite dans les annales de ce débit de boisson) pourraient choir d'icelui (le tabouret, remonte d'un paragraphe si ça t'est sorti de l'esprit mais ce n'est guère encourageant pour la suite, fidèle lecteur à la mémoire qui tourne vin aigre) se fissurer la margoulette au point d'en attraper des contusions internes indétectables à l'oeil nu, et si mon silence en est co-responsable, en sera-t-il déclaré coupable au Tribunal de ma Conscience qui se réunit derrière l'église tous les 36 du mois des années bissectrices sauf les wouikendes, les veilles de wouikendes et les jours qui précèdent les veilles de wouikendes ?
D'un autre côté, si j'en cause au garçon de café, qui masque actuellement, et non sans un zeste de sournoiserie, avec toute l'énergie dont la jeunesse insouciante est chargée à bloc sans même lever le petit orteil du pied gauche, sa stupéfiante ressemblance avec Donald Sutherland sous une somnolence revêche en astiquant un pichet de rosé de calibre prêt à gaver, et qu'il entrepred de le réparer, ce fichu tabouret cessera de branler, et un tabouret abstinent dans un bar à pochtrons ne risque-t-il pas de faire fuir la clientèle et de réduire notre ami Donald à la mendicité, le précipitant ainsi dans l'alcoolisme sous l’œil vitreux et compatissant de l'invincible armada de travailleurs sociaux contractuellement contraints par l'Etat de l'aider à modérer sa consommation, même si au fond d'eux-mêmes ils sont impuissants devant l'alcool de l'Autre et que le tabouret n'est pas très haut ? il parait que ça fait quand même moins mal.
Encore une journée compliquée qui s'annonce.

samedi 16 janvier 2010

des comics pour ne pas trouver ça drôle

J'ai découvert par accident trois blogs de comics US en VO à rafraichissement incessant (les comics en VO c'est aussi charmant que les chansons des Beatles avant de comprendre vraiment l'anglais chanté : on comble les trous de compréhension par son imagination, et c'est souvent mieux qu'une traduction)

http://comics-release.blogspot.com/
http://comicsinvasion.blogspot.com/
http://zeegi-comix.blogspot.com/
et le prescripteur qui va bien :
http://goodcomics.comicbookresources.com/category/what-i-bought/

Seigneur tout puissant ! Puisses-tu me venir en aide !

vendredi 25 septembre 2009

Lucienne Vernay et les Quatre Barbus - Rondes et chansons de France n°1 à 10 (1958)



Je me régale avec ces versions originales entendues jusqu'à plus soif dans mon âge tendre et miraculeusement retrouvées sur le net.
Warning : explicit lyrics !
Aaah, l'innocence et la cruauté des chansons enfantines...
Rosebud ! Rosebud !
contient les pochettes originales, mais pour sangloter dessus il faudra incliner votre écran, sinon ça humectera vos pieds.
Quelques dizaines d'heures passées sous "Adobe Audition" pour réparer des ans .....
En fait, un Papy qui a fait un cadeau à sa petite fille !

Profitez-en.

http://www.megaupload.com/?d=RPJ0W4I1


Nota benèt : depuis le 20 janvier 2012, Megaupload a fermé ses portes, et il est inutile de me demander un re-upload, je n'ai plus les fichiers. C'est ballot...
Sic transit gloria mundi !

samedi 29 août 2009

CARLOS CASTANEDA, LA VERITE DU MENSONGE: l'émission radio


J'ai un pote qui avait écrit une bédé qui s'appelait "quelques vérités sur le mensonge".
Ca me faisait penser à du Cioran light.
Là, y'a les oeuvres quasi-complètes de Castaneda qui me sont retombées sur le coin de la figure après 20 ans d'absence, et tout de suite j'ai cherché à en savoir plus.
Pas envie de me retrouver à révasser ou fantasmer dans des limbes à la Lobsang Rampa.
Y'a le wiki, y'a ce qu'en dit Osho, et plus près de nous et plus concret, y'a le livre de christophe bourseiller... et j'ai trouvé l'interview qu'il a donnée en 2005 sur Radio Ici et Maintenant, comme ça chacun pourra se faire son idée.

http://www.megaupload.com/?d=OHS9SW3M