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jeudi 12 mars 2020

David Byrne - The Complete Score From The Catherine Wheel (1981)

Je fus jadis initié aux Mystères de cet album obscur - je ne voyais vraiment pas pourquoi il eut fallu se réjouir d'écouter la musique composée pour un spectacle de danse moderne, fût-elle écrite par David Byrne, et je ne le compris que lorsque je l'entendis, résolvant ainsi  sans le savoir l'équation d'un célèbre koan zen par ma seule perception musicale, car je fus mis en présence de la petite soeur maudite et voilée de "My life in the Bush of Ghosts"(1), album composé par David avec enthousiasme et Brian Eno dans l'effervescence créative qui suivit la sortie de "Remain in Light", l'album des Talking Heads dont nous nous sommes récemment re-repus dans ces colonnes et re-saoulés dans le salon. 

Les musiciens impliqués dans l'affaire :
https://www.progarchives.com/album.asp?id=29033
La Roue de Catherine, la Vraie Histoire :
https://www.youtube.com/watch?v=ghbOcEZV64c
L'avis de Jacques Boudinot, spécialiste autoproclamé de la chose :
https://www.allmusic.com/album/the-catherine-wheel-mw0000196850
Le lien vers le disque, dans sa radicale altérité :
https://www.mediafire.com/file/k79g4fbuinifb0m/DB_TCW.zip/file

____________

(1) à ne pas confondre avec "My wife in the Bush of Georges", film polisson-politique de Avide Burne sur la politique étrangère un peu ollé-ollé du 43ème président des Etats-unis, réservé à un public un peu plus mature que je ne le suis.

samedi 12 décembre 2015

Buenas Noches Jo ! (Fais-moi une place dans ton linceul, je suis en Trans Mmmusicales 2015...)



Et voilà.
Tout ça, c'est de ma votre faute.
Avec mes vos conneries, je suis en train de louper l'horaire de diffusion de la programmation méga-concoctée avant-hier et pas de main morte, je peux vous l'assurer, et d'ailleurs veuillez excuser mon écriture saccadée, qui devait  précautionneusement miraculeusement couillincider avec l'ouverture du Festival des Trans Musicales Rennes 2015®.
Qui a lieu en ce moment même, et où donc ?
Ben à Rennes, si vous étiez un peu moins borgnés plus attentifs vous auriez déduit vous-même la prémisse du fait désincarcéré de la phrase précédente, de même nature ontologiquement votre que quand il pleut, ben les rues elles sont mouillées.
Rirabbin qui tirera le dernier, comme disent les Palestiniens de Jérusalem-Est.
D'ailleurs, par un fait étrange que je ne m'explique point encore et sur lequel j'ai dépêche les plus fins limiers du Landerneau de la correction orthographique ottomatik, lorsque cette blague m'est venue sous mes doigts gourds de frappe hier ô soir, Jérusalem s'est transformé sous mes yeux en "J'ruisselle salement", ce qui est un peu troublant comme trou noir, parce que je n'ai pas installé de correcteur orthographique sur ma mitraillette à mots.

J'aime bien les homos Trans.
Le festival est un radar à trouvailles, programmant contre vents et marées (à Perros Guirec mais aussi, faut-il le rappeler, à Rennes, dans le 35, où ils sont souvent contraires autant qu'elles restent basses), des groupes d'avant-garde, arty, noisy, trashy ou flashy, qui font ensuite carrière, ou pas, mais les concerts s'envolent et les compiles restent, et je me régale ensuite à me délecter de redécouvrir tous ces nouveaux talents du rire peer-to-peer que je ne suis pas allé voir en concert parce que j'étais sans doute en transs d'écrire des articles alakon sur mon blog minable, que je suis un putain d'évitant sociable, talents dont les chansons de saillies égayeront nonobstant mes mornes séances de repassage quand ma femme, excédée par mon incessant verbiage, mon parler haut et mes actes bas, m'enfermera avec une pile de linge sale dans la buanderie avec son fer à friser et trois litres d'eau déminéralisée à faire glisser dans le jerricane bêtement.

D'ailleurs, je vous prie de m'excuser, c'est déjà l'heure.

Pas grave : vous trouverez ci-dessous des concerts et des vidéos comme s'il pleuvait de l'eau écarlate.
Edit :
Comme au Bataclan le 13/11/2015.
L'injonction permanente à la joie est ce que notre société produit de plus troublant, à l'exception de tout le reste.



http://lestrans.com

http://culturebox.francetvinfo.fr/festivals/trans-musicales-de-rennes/trans-musicales-2014-huit-groupes-a-ne-pas-louper-206834

dimanche 16 février 2014

Tribute to Bourgeois Rebel



Quand il était petit, Nicolas Cellier interprétait des reprises endiablées dans son garage.
Quand il était grand, il est devenu Nick Cave dans un univers parallèle dirigé d'une main de fer par Palmer Eldritch, le dieu à peine revenu du Centaure du roman à peu près éponyme de Phil K. Dick.
Putain, j'adore ce mec.
D'ailleurs, y'a pas de putains, y'a que des femmes qui travaillent.