Les premiers albums d'Amon Tobin étaient terriblement novateurs, dans le genre cyber-bricolage musical à base de greffes biotechnologique sur d'infortunés jazzmen des années 50 condamnés à des travaux d'intérêt généreux au sein d'un laboratoire d'expérimentation animale.
J'ai longtemps suspecté que sur l'album "Permutation", le jeune prodige brésilien avait emprunté le thème principal de son morceau "Nightlife" à quelque vendeur de casse-noisettes à la sauvette.
J'ai mis 15 ans à me donner les moyens d'apporter la réponse à la question, et à faire aboutir ce projet de recherche afin de pouvoir permettre que ce projet de recherche aboutisse.
Aujourd'hui la preuve est faite, la vérité éclate à la face des puissants de ce monde, même chez Mediapart y z'ont pas tous les jours des scoops comme ça, et personne ne ricane plus de mes hypothèses de travail.
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