Un lecteur me fait re-découvrir Ubik, assez proche dans l'esprit des Sax Pustuls - même période, même brassage inclassable des genres.
Mention spéciale au chanteur, entre Marquis de Sade et Angel/Maimone (tiens, faudra que je pense à ripper mon vynile de Faux-semblants.)
Qu'il en soit remercié.
mp3 à 320 kbps (sous contrôle d'huissier)
Kakikoukaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!
RépondreSupprimerMerci, merci, merci ( et re-merci ) pour ce post. Sax Pustuls et Ubik en l'espace de 3 jours ... Putain Dieu existe, j'en ai la preuve.
Plus sérieusement je vais pouvoir remiser au placard pour bons et loyaux services ma K7 vieille de 30 ans qui commençait à flancher sévère (de même que mes oreilles) et déguster Ubik. Pour Sax Pustuls c'est déjà fait, mais je vais remettre le couvert.
C’est l’histoire d’un mec qui regarde un gosse crever de faim dans la rue.
SupprimerRévolté, il se tourne vers Dieu et l'apostrophe :
« Dieu, Salaud, je sais que Tu es là, et tu ne fais rien !
Dieu lui répond : Comment ça, je ne fais rien ? Je t’ai bien fait, toi !"
voilà pour Dieu tel que je le conçois, comme on dit aux AA.
Ce n'est pas quand nous éprouvons un plaisir extrême qu'il faut louer le Seigneur pour sa Présence d'Esprit, sauf à remonter de la créature au Créateur.
cf http://johnwarsen.blogspot.fr/2008/06/rdemption-de-lobjet-fascinatoire-vieil.html
Sinon, quand tu l'auras dans l'os, tu vas remercier qui, le Malin ?
Merci pour le partage !
RépondreSupprimerÀ propos d'Ubik (enfin, le roman de Dick), il y avait eu un intéressant moment radiophonique en mai 2011 sur France Cul, que j'ai conservé et relaté ici.
Génial ! Je te consacre un article dès que j'ai une main de libre !
RépondreSupprimerMerci, mais rien n'urge !
RépondreSupprimerEt j'espère que l'autre est occupée par l'un de ces livres qu'on ne lit que d'une seule main…
J'espère bien que non, et je ne te le souhaite pas non plus !
RépondreSupprimerhttp://johnwarsen.blogspot.fr/2008/06/tmoignage-dun-mineur.html
http://johnwarsen.blogspot.fr/2008/06/le-bonheur-dans-labstinence-la-religion.html
Argh ! Désolé, je blaguais bêtement, sans nulle intention de raviver un point sensible !
RépondreSupprimerMoi, la seule fois où je suis tombé sur un film porno (bien après mes tentatives désespérées d'apercevoir quelque chose au travers du cryptage de Canal+ au milieu des années 80), c'était une cassette VHS anonyme ramassée avec un tas d'autres sur un trottoir.
Hé bien, j'ai juste failli gerber et on ne m'y a pas repris : quelle misère, quelle pauvreté de l'imaginaire, saccadée par une techno abominable !…
Beuârk.
Y'a pas mort d'homme...la honte tue plus rapidement que la branlette ! Et puis, ça m'a donné l'occasion de vivre dans une version hard du Dieu Venu du Centaure, de Dick, et quel zélé fan peut en dire autant ?
RépondreSupprimerhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Dieu_venu_du_Centaure
J'ai toujours trouvé bizarre cette traduction du titre, guère plus explicite que Les trois stigmates de Palmer Eldritch, en réalité.
RépondreSupprimerSinon, j'ai récupéré tout ce que je pouvais d'émissions se rapportant à Dick sur mon blogue : suffit de cliquer sur le libellé Dick.
Et pour en revenir au sujet du présent billet, puisque je comprends maintenant qu'il s'agit surtout ici de musique, disons, tératologique, tu devrais écouter un peu ces horreurs jamais éditées…
alors là, tu me troues, et pourtant j'ai plus d'un trou dans mon sac... à moins que George WF Weaver soit le pseudo que j'utilise pour écrire tous ces articles sur Dick et que je l'aie totalement oublié suite à mes excès passés de substance M...
RépondreSupprimerBen oui… souviens-toi, John : c'est toi qui causes d'ubiquité !
RépondreSupprimerTu devrais relire la nouvelle de Fred Brown intitulée Petit agnelet, ça te remettra les idées (de Mars) en place…
Pas écouté mon vinyle depuis des lustres... Groupe découvert à L'Echo Des Bananes, ça nous remet loin!
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