Bertrand Belin pratique un art délicat, celui de la chanson abstraite et pourtant très précise dans sa logique des sensations, qui accroche ou qu'on rejette immédiatement.
Pas de concessions.
Un jeu de guitare à rendre jaloux bien des amateurs éclairés, et une voix d'une suavité qui me fait regretter d'être aussi hétéro que Fabrice Luchini dans ses multiples déclarations médiatiques autour de la sortie d'Inceste à bicyclette.
Je rêve, ou c'est encore une belle chanson sur ma bite ?
;-)
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