En jazz, je suis un nain culte, ce qui ne m'empêche pas d'apprécier les bonnes choses. Au début des années 80, j'ai couru sur la lande avec une compagnie de danse contemporaine qui répétait un ballet sur cet album orchestral, ironiquement funéraire, écrit par Carla Bley qui, paraît-il, aurait été inspirée par un film français nommé "Le monocle rit jaune" dans lequel on voyait un enterrement chinois avec un orchestre de cuivres jouant, naturellement, une musique funèbre.
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