Et la petite chanson qui achève bien les chevals.
A part ça, Jon Brion est surtout connu pour le Theme d'une implacable mélancolie écrit pour la musique de le film Eternal Sunshine of the Spotless Mind.
Et la petite chanson qui achève bien les chevals.
A part ça, Jon Brion est surtout connu pour le Theme d'une implacable mélancolie écrit pour la musique de le film Eternal Sunshine of the Spotless Mind.
trouvé dans le Pilote annuel 1973, une lecture d'été idéale, une planche de Lucky Luke relookée par Giraud, ainsi qu'une planche de Blueberry revisitée par Morris.
https://lonely-loeb.bandcamp.com/track/un-ami
C'est le tube de l'été, surtout en Ukraine.
Photo décadrée + musique raffinée = la Classe à Dallas |
dans le monde vraiment post-apo qui vient pas pour de rire, les vegans femelles finiront en salade de thons |
une image de Station Eleven bien rafraichissante par ces chaleurs, madame Michu. |
la couverture du roman graphique au tirage confidentiel imaginé dans la série (art from Maria Nguyen) |
une autre série de Patrick Somerville déroutante et acidulée, comme je viens de le dire en face. |
l'édition originale en v.o.s.t.v.o. |
"Je veux juste en finir", la campagne promotionnelle. Ca fait envie, hein ? |
- Eraserhead- la séquence finale de 2001 l'Odyssée de l'espace, avec plus de peyotl dedans- Enemy, le dédale dépressif de Denis Villeneuve (toute la partie relevant des troubles de l'identité)- Fargo (à cause du méchant de la saison 3 dont on retrouve ici l'acteur dans un rôle savoureux et flippant)- Beetle Juice, pour l'ambiance dans la maison- West Side Story adapté par Philip K. Dick.
Il a l'air de se croire malin. Et il a raison : il l'est. Mais qu'il se méfie : à malin, Darmanin et demi. |
- et peut-être même un zeste de Apichatpong Weerasethakul, tellement c'est bavard et peut-être un peu bouddhiste par moments, et tellement on se balade dans des niveaux de réalité plus proches de l'état intermédiaire des bardös que de la réalité réelle ratée que nous connaissons de nos jours et à laquelle même ce forum ne permet pas d'échapper durablement, malgré tous les efforts du staff. (1)
En résumé, j'ai passé un bon moment de télévision 4/3, à la fin j'ai cru que je faisais un AVC, mais non, c'est le générique qui était flou et le film qui était fini.
Et encore, on a de la chance, ce n'est pas un scénario original de Kaufman, mais l'adaptation d'un roman. Faudrait voir le bouquin, et surtout l'ouvrir pour voir ce qu'il a dans le ventre. Mais c'est très kaufmanisé, de torsion en torsion.Torsion du réel, torsion du langage, torsion du cinéma, torsions et contorsions du cerveau du spectateur, qui demande grâce, mais elle lui est refusée, pour les raisons habituelles; et vous, vous l'accepteriez, la grâce, si elle vous tombait dessus ? c'est aussi un film sur la nature ultime de la réalité, c'est pour ça que je l'associe de façon un peu cavalière à Weerasethakul, qui me saoule souvent, mais je mise tous les ronds qu'il me reste avant impôts sur Oncle Boonmee, mon dernier espoir de capter quelque chose au Verhoeven thaïlandais. Je ne développe pas plus sur les interprétations possibles de "I'm Thinking of Ending Things", j'en ai tellement lu sur sens critique que je songe à en finir, moi aussi. Comme dans le film.
« — Vous avez l’air juif, m’a-t-elle dit.— Il paraît. Mais je veux que vous sachiez que je ne le suis pas.— OK. Votre livre sur Greaves est incroyable.C’est elle qui était incroyable. Elle était tous les personnages afro-américains positifs qu’on voit à la télé réunis en un seul, des personnages créés pour combattre les stéréotypes noirs négatifs qu’on voit tous les jours aux infos. Elle s’exprimait bien, elle était instruite, athlétique, belle, charmante, extrêmement sophistiquée. Et je me disais que j’avais une chance avec elle. Ça ferait un bien fou à mon amour-propre, ainsi qu’à ma position dans la communauté universitaire. Je lui ai proposé de prendre un café. Non que je la visse comme un accessoire ou une chose à posséder ou une ligne de plus dans mon CV. Bon, tout ça jouait bien sûr, mais je ne voulais pas l’admettre. Je me suis promis de travailler sur ces réflexions désagréables, de les chasser. Je savais qu’elles étaient honteuses. Et je savais qu’elles ne résumaient pas ma pensée. J’allais donc les garder secrètes et me concentrer plutôt sur l’attraction sincère que je ressentais pour cette femme. La nouveauté de son afro-américanité finirait par diminuer, et je savais qu’il n’y aurait plus qu’un pur amour pour elle, une femme de n’importe quelle couleur, d’aucune couleur : une femme claire. Même si je comprenais que mes sentiments à l’égard des femmes n’étaient pas purs en général. Le charme était un facteur déterminant, ce qui est mal. Et bien sûr les caractéristiques exotiques raciales, culturelles ou nationales m’attiraient. Je serais aussi excité d’exhiber une petite amie cambodgienne ou maorie ou française ou islandaise ou mexicaine ou inuit qu’une petite amie afro-américaine. Presque. C’était là quelque chose que je devais m’efforcer de mieux comprendre à mon sujet. Je devais combattre mes instincts à chaque instant. »
la couve de l'édition v.f.s.t.v.f. |
une autre édition en v.o.s.t.v.o. |
une édition de poche en v.o.s.t.v.o. |
y'a pas que l'aubergine qui soit bien farcie à la fin du bouquin, sans parler de l'article. |
A trop vouloir zoomer sur l'objet de son étude, la même mésaventure était arrivée à Daniel Goossens. ("Sauver le régionalisme, et puis sauver la culture aussi", pl.1) |
les amis de Charlie essayant de le dissuader d'écrire un nouveau |
je n'ai pas réussi à caser l'affiche dans l'article, sais-tu où je pourrais me la mettre ? |
Meuh non. Merci Charlie ! |
il n'est pire sourd que celui qui refuse d'entendre du post-rock coréen. |
https://www.lagrosseradio.com/webzine-metal/p60730-jambinai-au-hellfest-2016/
Observons un instant cette illustration tirée de "Voyage au bout de la lune", bon sang.
Goossens a souvent une approche assez abrasive de la sexualité. |
La légende a fait le tour d’Internet : celle d’un couple d’instituteurs libertins, qui aurait monté à la fin des années 1990 un petit site sans prétention afin d’y échanger des clichés dénudés avec d’autres adeptes de l’exhibitionnisme en ligne. (..) Le couple est d’une discrétion farouche. Il n’existe aucune image d’eux nulle part. Michel Piron, aujourd’hui âgé de 64 ans, qui dirigeait toute la structure avant de passer en partie la main à son fils Thibaut à la fin des années 2010, est décrit par plusieurs protagonistes rencontrés par Le Monde comme un homme en surpoids et chauve, avec un accent du Sud-Ouest prononcé.(..) Il y a dix ans, seule avec son fils, Jessica (son prénom a été modifié) vit de boulots saisonniers et a besoin d’argent. Elle est « rabattue » par l’intermédiaire des réseaux sociaux et accepte une courte vidéo, pour « donner à manger à son enfant ». D’après son récit, avant les tournages, les réalisateurs de Michel Piron lui font consommer de la drogue. Elle est séquestrée, forcée à des pratiques non comprises dans le contrat, décrit une scène qui, selon elle, s’apparente à de la « torture ». La petite dizaine de vidéos qu’elle tourne à cette époque se propagent sur Internet et ressortent sans cesse. Elle enchaîne les dépressions et les tentatives de suicide. Jessica remonte la pente, retrouve son travail d’origine : serveuse dans un restaurant gastronomique en Suisse. Mais des clients la reconnaissent et elle est licenciée : « J’étais sale, pour l’image des gastros. » Pour elle, Michel Piron est tout sauf un simple diffuseur : « Il nous traite de folles pour décrédibiliser notre parole. » Elle l’a vu à l’œuvre : c’est lui qui donne le cahier des charges, lui qui veut qu’il y ait une sodomie, un plan sur les pieds et un autre sur les seins dans chaque séquence… C’est lui aussi qui « passe son temps à nous dénigrer, à nous traiter de vieille cougar ou de sale rebeu aux seins mal refaits », raconte encore Jessica.
Du plomb pour les pigeons |
Non seulement c'est du Goossens de Prisunic, mais en plus on reconnait Michael Lonsdale qui vient cachetonner post-mortem dans le rôle de Dieu. C'est du propre. |
- une édifiante biographie de Stéphane Sanseverino
http://www.acoustic-guitars.com/artistes/Sanseverino.php
- un bon clip de confinement (on a vite oublié, mais c'était comme ça avant-guerre) (2020-2021)
https://www.youtube.com/watch?v=xXoQ7qXsxi4
- un site de fan pour se repérer dans la discographie du chanteur, qui change plus souvent de style musical que de chemise, mais c'est jamais du tergal, et d'ailleurs le site du fan est sympa mais la page d'accueil est complètement périmée
http://autourdesanseverino.free.fr/autourdesanseverino_Discographie.html
- une vidéo testimoniale trouvée sur le précédent, avec Béranger : leur rencontre sur la scène de La Cigale le 30 Octobre 2002 pour un duo sur "Le Tango de l'Ennui")
tu peux cliquer sur l'image, mais y se passera que dalle |
l'édition originale, introuvable depuis longtemps avant le programme commun de l'Union de la Gauche (1974) |
l'édition actuelle, compilée à l'occasion d'un colloque international libertaire, si je n'ai pas perdu tous mes moyens en italien. |