l'autre soir j'ai revu Frank Zappa jouer Chunga's Revenge dans feu l'émission Chorus d'Antoine de Caunes qu'on regardait à la télé le dimanche midi en se demandant ce qu'on ferait quand on serait grands, sans savoir qu'alors on serait pris dans une boucle temporelle à rechercher les émissions télé de quand on était petits.
C'était bien, mais Zappa c'est comme les cacahouètes, difficile de n'en manger qu'une seule.
Enfin, pour ceux dans l'oreille desquels ça rentrait comme dans du beurre : c'était pas les blonds de 1,80 m qui tombaient les filles au lycée qui pouvaient tripper sur Zappa, sachant que même les apprentis guitaristes trouvaient parfois son approche trop techniciste.
Moi mon solo de Zappa préféré c'est Rat Tomago, sur Sheik Yerbouti. Rien que sur Youtube j'en ai dénombré quatre versions avant de comprendre que c'était une partie instrumentale de "Torture never stops" qui avait été démembrée.
Comme c'est souvent des solos sur une seule tonalité, on a tout loisir d'étudier la gamme sur laquelle il tricote jusqu'à épuisement de l'inspiration, mais il parait qu'il écrivait tout avant.
Il n' y a rien de plus pénible que d'être coincé avec un zappaphile qui vous montre ses photos de vacances, sauf s'il a trouvé des vidéos inédites (et qui bien souvent auraient gagné à le rester) sur la toile.
En écoutant Chunga's Revenge, je me suis aussi demandé combien de versions de ce morceau existaient.
J'ai trouvé la réponse à cette question fondamentale sur un très bon site consacré à Frank Zappa
et voilà le travail.
sinon, pour avoir le ventre plat, vous pouvez aller à tahiti heu non haïti.
C'était bien, mais Zappa c'est comme les cacahouètes, difficile de n'en manger qu'une seule.
Enfin, pour ceux dans l'oreille desquels ça rentrait comme dans du beurre : c'était pas les blonds de 1,80 m qui tombaient les filles au lycée qui pouvaient tripper sur Zappa, sachant que même les apprentis guitaristes trouvaient parfois son approche trop techniciste.
Moi mon solo de Zappa préféré c'est Rat Tomago, sur Sheik Yerbouti. Rien que sur Youtube j'en ai dénombré quatre versions avant de comprendre que c'était une partie instrumentale de "Torture never stops" qui avait été démembrée.
Comme c'est souvent des solos sur une seule tonalité, on a tout loisir d'étudier la gamme sur laquelle il tricote jusqu'à épuisement de l'inspiration, mais il parait qu'il écrivait tout avant.
Il n' y a rien de plus pénible que d'être coincé avec un zappaphile qui vous montre ses photos de vacances, sauf s'il a trouvé des vidéos inédites (et qui bien souvent auraient gagné à le rester) sur la toile.
En écoutant Chunga's Revenge, je me suis aussi demandé combien de versions de ce morceau existaient.
J'ai trouvé la réponse à cette question fondamentale sur un très bon site consacré à Frank Zappa
et voilà le travail.
sinon, pour avoir le ventre plat, vous pouvez aller à tahiti heu non haïti.