Ironie du sort, l'homme habitait dans une rue Jean XXIII, l'autre pape qui sera canonisé dimanche, en même temps que Jean Paul II.
Ce n'est pas la première fois que ce genre d'accident survient en Italie. En 2004, une femme de 74 ans avait été écrasée par un crucifix en métal de 2 mètres dans la ville de Sant'Onofrio, dans le sud du pays.
Le Monde.fr | 25.04.2014 à 15h20 •
Mon commentaire : il suffit d'un devis au rabais produit par un entrepreneur peu scrupuleux, d'ouvriers peu qualifiés en science des matériaux, d'un élu pas trop regardant sur les finitions, et ce tragique fait divers provoque l'hilarité de toute la racaille athée revancharde, toujours à l'affut de l'introuvable preuve de l'inexistence de Dieu.
Si c'était une grue de chantier qui était tombée sur une gamine comme c'est arrivé l'an dernier pas loin de chez moi, ça n'aurait fait rigoler personne.
Tu es vendéen dans l’âme,
RépondreSupprimerQuand le mât d'un Christ coule,
Que les teigneux ne se moquent pas.
Que les chiens hurleurs n’aboient pas.
Si j’oserais je citerais Zadig, mais je n’ose pas,
Vendéen,
Ta fierté me dresse un barrage infranchissable,
Et le moqueur en moi se tait devant ton cœur.
Mais comment cela pourrait t’il être un hasard ? La vie est t’elle si absurde que ça ?
Un ange passe et nous rappelle :
Faibles mortels!
Cessez de disputer contre ce qu'il vous faut adorer.
Et l’on se tait, face au mystère,
De notre petitesse et de l'Immensité.
Et on ne la rouvre après un long silence approbateur que pour tancer le menuisier qui a prévu un bois un peu léger pour un Christ de 600 kgs.
RépondreSupprimerEt pour signaler qu'on est plus armoricain que vendéen, quand même.
Si il veut se faire pardonner selon la Loi de Moïse, on dit qu'il devra demander pardon jusqu'à trois fois, déléguant auprès de la victime des intermédiaires.
RépondreSupprimerOu une lettre peut-être...mais on peut douter qu'il sache trouver les mots.
"malheur à l'homme par qui les hommes trébuchent". Matthieu 18.7
Alors, c'est comme à la campagne, un chien se met à aboyer, et bientôt tout les chiens du comté sont de la partie, sans qu'on sache trop si ils communiquent, si ils s'aboient les uns après les autres pour couvrir l'aboiement désagréable du voisin, ou si ils ont besoin de crier la solitude et la souffrance de leur condition à l'air humide du soir, en attendant l'heure de la pâtée qui le temps d'une écuelle, éteint la lueur de conscience qui leur fait mal.