Salut chauffard,
ci-joint ce que je pense être une bio, plus les photos du CD.
Et non, tout le monde n'as pas Higelin comme père (j'aurais dû le
piller aussi, celui là).
1966 - Naissance de JÖZ (France)
Jeunes années : une obsession : les claviers ; une frustation : ne pas
en posséder
1984 – Achat de mon premier ‘synthé’ : un Concermate de Realistic (Da
Da Da)
1986 - Premier salaire, premier clavier (un Yamaha DX27, parce que le
DX7 était trop cher)
1987/1995 - l’escalade : Roland, Ensoniq, AkaÏ ; des racks, des effets,
des lecteurs d’échantillons, Atari 1024 pour séquencer tout çà.
1996 - Conversion au monde Mac : un 8200 devient le chef d'orchestre
mais les synthés sont toujours raccordés au bout du midi.
2000 – Passage au virtuel : tout le matos est mis au placard ; un Imac
bleu prend le relais avec le logiciel Rebirth à l’intérieur.
Les chimères synthétiques sont le résultat d’un exil de 4 mois dans la
région de Dunkerque ; tous les morceaux ont été créés dans la chambre
minuscule d’un chalet installé sur un camping; l'unique souvenir est
celui d'une période de fébrilité devant l'écran bleu de mes nuits
blanches.
Depuis, l’explosion des espaces de stockage et de la puissance des
processeurs a rendu le terrain de jeu trop vaste; il va falloir se
concentrer si le besoin revient de créér…
A bientôt
JÖZ
Qu'ajouter ?
c'est pas pour me vanter, vous me connaissez, mais le gars JöZ c'est quand même un bon gars, la preuve il m'avait écrit les musiques de mes
films de SF, et s'était aussi amusé à mettre en musique des poèmes plus ou moins connus déclamés par la crème du gotha des aficionados.
Puissent ces chimères synthétiques vous rentrer par une oreille et ne plus ressortir par l'autre avant un moment.
Si vous voulez lui envoyer des sous, pour financer son prochain album autoproduit, envoyez-les à John Warsen, qui transmettra, si son
kar-ma ne roule pas sur son
dog-ma.
Remise à disposition du fichier, redécouvert à l'occasion d'une relecture en mode randomize de ma bibliothèque de Babybel iTunes, à la recherche de l'ingrédient secret dans la recette de la pâte à tartiner les regrets éternels, "lui qui n'avait envie de rien eut droit à c'qu'il n'attendait pas" (HFT in "les filles de la Rochelle (ont atttrapé le scorbut) et qui l'eut cru, Lustucuit ?)
moralité :
La mélancolie
Berce de doux chants
Mon coeur qui s'oublie
Aux soleils couchants.
(Verlaine)
mais je ne désespère pas de lui apprendre la propreté, et de faire ainsi du déchet une ressource !
(Warsen)