http://steveroach.bandcamp.com/album/sense
Il y en a un peu plus, je vous le mets quand même ?
Steve Roach aidant la Vérité
à sortir du puits du dark ambient
(vue d'artiste)
Commentaire anonyme et inspiré :
L'art classique est là pour incarner les lois de l'harmonie universelle, alors que l'art moderne manifeste les disharmonies individuelles. C'est malheureusement très clair.
Quand on regarde les peintures dans les églises italiennes, on se dit que même si l'artiste avait des problèmes persos, ça ne transparaît pas dans ses toiles, s'il peint la vie de Jesus, il fait de son mieux pour s'effacer. Dans l'art moderne, c'est le contraire, on ne peint que soi-même, c'est à dire qu'on ne représente que l'erreur. Peut-être que ça peut inspirer des sentiments à ceux qui sont aussi déséquilibrés, mais c'est sûr qu'il manque une porte de sortie puisque l'absolu est écarté de facto.
Dans le genre "mort de tout espoir de réhabilitation psychosociale" j'aime beaucoup celui là aussi https://youtu.be/f6fkYAEZfwU
RépondreSupprimerJe m'insurge contre ce commentaire anonyme. Je vois mal en quoi et pourquoi l'absolu serait écarté d'un monochrome (puisque l'on parle d'art moderne et pas seulement d'art contemporain) et comment ses problèmes perso pourrait y transparaitre? Si Leonard de Vinci n'avait pas de problèmes perso, il faudra m'expliquer pour le paysage derrière la Joconde n'est pas raccord (Les délires de Freud sur Vinci montre bien à quel point on peut projeter sa propre folie sur n'importe quel tableau). Il faut vraiment être aveugle pour ne pas voir d'Artérite cérébrale chez Goya.
RépondreSupprimerEt puis Considérer l'absolu comme une porte de sortie... Quelle indigence!
Porte de sortie hors de soi, oui,
RépondreSupprimerMais l'absolu est un concept, qui manque un peu de corps tant qu'on n'a pas fusionné avec le Grand Tout.
Patience !
Pour sortir hors de soi encore faut-il en avoir un ce dont je doute. Et puis le hors de soi pointe un ailleurs dont je doute également. Nul besoin de patienter puisque tout est déjà là depuis toujours.
SupprimerExcuse-moi, je parlais du Moi, celui qui se croit Majuscule. Même si on n'y est plus identifié, il lui arrive de se manifester.
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