Sur la foi d'une pochette ressemblant beaucoup à celle d'un récent album d'Animal Collective, j'ai écouté un album qui n'excitait pas plus que ça mon incuriosité.
Quelle surprise : revenue d'entre les morts, Amy Winehouse livrait un disque de rock-soul sans hype, maitrisé et inusable dès la première écoute.
En fermant les yeux, j'imaginais une énième chanteuse afro-américaine, maigrelette et nerveuse, surfant sur la vague du revival 60's.
Je ne vais pas spoiler, mais on va s'poiler : vous auriez vu ma tête quand j'ai découvert celle d'Asaf Avidan.
A qui se fier !
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