Ca picote un peu.
Mais je pense qu'il a bon fond.
Encore un qui doit tousser des 20 % du FN ce soir.
http://onsefechier-anatic6.blogspot.com/
http://onsefechier-anatic6.blogspot.com/2011/10/apple-lance-lapplication-icancer.html
dimanche 22 avril 2012
samedi 21 avril 2012
The Kilimanjaro Darkjazz Ensemble Live - I Forsee the Dark Ahead, If I Stay (2011)
elle est bien bonne : je l'ai trouvé d'abord sur un blog de voleurs
et ensuite je me suis rendu compte que le groupe l'offrait gratuitement, au risque pléonastique dont les conséquences sont tragiquement infimes, sur son site
article de courrier international pour manger avec, roule ma poule.
A propos de poules, les miennes se caillent grave, j'ai dû isoler leur cabane avec du vieux carton et ça fait un peu camp de roumains.
Edit : j'ai dû écrire ça début février, et depuis j'ai oublié quel article, et les poules gambadent dans la pelouse en y creusant leurs gaies tranchées.
J'ai pas l'air con, tiens.
vendredi 20 avril 2012
Bass & Drums Web - Bill Laswell & Tatsuya Nakamura
Un opus assez kingcrimsonien (période 70-72)
Et c'est un album qu'on ne trouve pas sur
qui comporte pourtant plus de 185 références à Bill, soit 186.
Et en farfouillant un peu, j'ai trouvé des prestations live :
http://jazzbluesandcobootleg.blogspot.com/search/label/Bill%20Laswell mais google a décidé que c'était du hameçonnage...
http://jazzbluesandcobootleg.blogspot.com/search/label/Bill%20Laswell mais google a décidé que c'était du hameçonnage...
Aïe aïe aïe, on n'est pas couchés...
jeudi 19 avril 2012
Une ténébreuse affaire : Mirel Wagner - No Death (2011)
Gloria Tenebrae Mundi !
(ça me vient comme ça, si ça se trouve ça veut rien dire)
mercredi 18 avril 2012
mardi 17 avril 2012
Amon Tobin feat. Bonobo: I'll have the waldorf salad - Animation by Zoltán Lányi
Amon Tobin feat. Bonobo: I'll have the waldorf salad - Animation by Zoltán Lányi from Zoltán Lányi on Vimeo.
Y'en a qui savent marier plaisir et travail.
lundi 16 avril 2012
The secret knots
Je n'aime pas trop les blogs BD, parce que j'y lis trop souvent des scènes de figuration narrative de médiocre facture, un peu comme ces types qui se prennent pour des critiques de rock et qui mettent des albums en partage pour faire leur intéressant, genre moi.
Mais là, on est bien, enfin moi je trouve ça chouette.
http://www.thesecretknots.com/
dimanche 15 avril 2012
Les Beaux Livres de la Vache Qui Ouit : Les Insolitudes II - Vincent Hardy (1984)
Il y a sans doute chez Vincent Hardy, comme chez beaucoup d'autres z'humains, l'espoir toujours déçu mais resté vivace de trouver le secret du sens de la vie dans un vieux grimoire, et éventuellement de l'avoir écrit lui-même.
On sait que Blaise Pascal gardait à même la peau le manuscrit du texte qu'il avait écrit suite à la révélation mystique qu'il avait "reçue" après un accident de carrosse.
Dans la relecture que fait ici Vincent Hardy du fameux pari de Pascal, ou dans ses "textes du Sahib", il y a un peu de cette tentation de l'accès à une Vérité Véritablement Vraie, dynamitée de l'intérieur par une ironie minimaliste, car Vincent s'inscrit clairement dans la lignée des artistes maudits aux ailes brisées alors y peuvent même pas voler, tentation à laquelle succombera avec plus de succès public Bernard Werber dans l'Encyclopédie du Savoir relatif et absolu bien qu'elle soit un tissu de mensonges habilement stratifiés, et que Jacques Dartan poursuivra sa vie durant avec son Cours d'initiation à l'Orthologique.
On en trouve aussi d'autres occurrences ici ou là.
Jean-Luc Mélenchon lui-même n'est pas à l'abri, mais de mémoire, c'est Nietzsche qui a le mieux réussi à incarner la langue des prophètes avec son Zarathoustra.
On sait que Blaise Pascal gardait à même la peau le manuscrit du texte qu'il avait écrit suite à la révélation mystique qu'il avait "reçue" après un accident de carrosse.
Dans la relecture que fait ici Vincent Hardy du fameux pari de Pascal, ou dans ses "textes du Sahib", il y a un peu de cette tentation de l'accès à une Vérité Véritablement Vraie, dynamitée de l'intérieur par une ironie minimaliste, car Vincent s'inscrit clairement dans la lignée des artistes maudits aux ailes brisées alors y peuvent même pas voler, tentation à laquelle succombera avec plus de succès public Bernard Werber dans l'Encyclopédie du Savoir relatif et absolu bien qu'elle soit un tissu de mensonges habilement stratifiés, et que Jacques Dartan poursuivra sa vie durant avec son Cours d'initiation à l'Orthologique.
On en trouve aussi d'autres occurrences ici ou là.
Jean-Luc Mélenchon lui-même n'est pas à l'abri, mais de mémoire, c'est Nietzsche qui a le mieux réussi à incarner la langue des prophètes avec son Zarathoustra.
samedi 14 avril 2012
vendredi 13 avril 2012
Les Beaux Livres de la Vache Qui Ouit : Les Insolitudes - Vincent Hardy (1984)
Au restau ouvrier du midi, pour je ne plus quelle raison sais, un collègue me tend son téléphone portable pour que j'y consulte la liste des services ou que je le compare avec le mien, qui date du Crétacé, mais c'est normal, j'ai demandé au vendeur un téléphone pour téléphoner seulement.
Sur l'écran à cristaux solides de son concentré de technologie, produit phare de 80 millénaires d'hominisation, s'affiche l'icone d'un héros méconnu de BD que je reconnais entre Emile : Ashe Barrett.
Je m'étonne de ce retour du refoulé, perdu dans les limbes de l'inoubliable.
J'interroge mon collègue, prolo du pixel à peine trentenaire : comment connait-il ce personnage de BD issu d'un lointain passé et réservé à une élite aujourd'hui disparue de la surface de la planète ?
Il me regarde sans comprendre la portée de la question :
quand on a intégré le fait que 2 + 2 = 4, on oublie le nom de l'instituteur qui nous l'a inculqué.
Et me rétorque derechef que tout petit, déjà...
Je comprends que je n'en tirerai rien, il est acquis à la cause.
Le monde se divise en deux catégories, ceux qui connaissent Vincent Hardy, et ceux qui ne le connaissent pas encore.
quand on a intégré le fait que 2 + 2 = 4, on oublie le nom de l'instituteur qui nous l'a inculqué.
Et me rétorque derechef que tout petit, déjà...
Je comprends que je n'en tirerai rien, il est acquis à la cause.
Le monde se divise en deux catégories, ceux qui connaissent Vincent Hardy, et ceux qui ne le connaissent pas encore.
Soufflé par la coincidence, je prends l'engagement de mettre en ligne ces trésors oubliés de Vincent Hardy que sont les premières versions de Ashe Barrett et des Insolitudes.
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