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lundi 25 février 2013

Enigma - Peter Milligan / Duncan Fegredo (1992-93)



Ca fait longtemps que j'ai pas posté de comics, et pourtant j'en lis des bons.
Milligan je l'ai découvert par Hellblazer, dont l'ultime épisode 300 vient de sortir, et après, en remontant le courant, Shade the changing man, et puis maintenant ça, qui date de son âge d'or...
c'est vraiment barré et jouissif, autant que très surprenant, bien que la fin soit un peu bâclée.

http://www.mediafire.com/?bso1qgz21be11lc



samedi 7 juillet 2012

Avec pas d'casque - Dans la nature jusqu'au cou (2008)

Lu dans les Inrocks, testé puis acheté ici :
un groupe folk québécois.
c'est assez pur et poétique.

La pochette est au delà du laid, même Pierre La Police est enfoncé, ce qui ne gâte rien.

"Je relie les points mais je vois pas la forme
Vire de bord crie mon instinct au bout d'sa corde
Il faut se voir davantage 
Il faut se voir
J'avancerai avec des intentions honnêtes
Tu sauras quoi dire pour apaiser le singe"

Evidemment, c'est complètement débranché, mais ca se dit comment unplugged en québécois ?
Et qui ne rêve d'être débranché un jour ?







samedi 2 juin 2012

[ Repost ] Gérard Delahaye - Le Grand Cerf-Volant (1976)


Très grosse claque prise à la fin des années 70, dans ma période François Béranger.
Un folk-blues acoustique tantôt âpre, tantôt bucolique, de la critique sociale en veux-tu en voilà, du mal-être d'humain en quête de son humanité comme s'il en pleuvait, des bluettes hypostasiées, et au final un univers très intime avec autant d'espoir que de noirceur.
Inégal mais inégalé.
Ensuite, il a surtout chanté pour les enfants, donc il ne peut être fondamentalement mauvais.

Acheté chez l'auteur.

vendredi 30 mars 2012

Les Disques de la Vache qui ouit # 2 - Dédé et Mireille #3 - Maudite cassette (1986-87)

Alors d'abord, quelques paroles, sans doute parmi les plus belles qu'on ait enfilées sur des colliers de perles soniques dans l'espoir inavoué, et il faut bien la deux mêtres inavouables, de se mettre une princesse au bout du gland, car telle est en vérité la principale motivation des chanteurs de variétés verdâtres et mordorées.

En tout cas ça serait celle-là qui ma biterait du premier au dernier étage de mon hêtre si je n'étais pas un gland qui ne chante auprès de mon âne que pour humecter les champs en période de sécheresse, vu la raideur de mon organe vocable pas tibulaire mais presk, comme en attestent de nombreuses vidéos qui émaillent et éraillent ce blog funéraire.













Ensuite, dans un de ces échanges kotidiens et pistolaires que j'ai avec feu DD et feu Mirlaine (couleurs) qui viennent de se re-cueillir sur ma tombe, j'ai récemment reçu un billet confondant de naïveté et éperdu d'adoration mouette, quand les gars se sont dit qu'après avoir été floués sur le chaubize, ils allaient enfin accéder à la célébrité posthume tant je leur vantais mes 25000 connexions/jour  (21 selon la peau lisse) et tous les brouzoufs qu'on allait se faire grâce aux milliers de lecteurs qui cliquent sur mes pubs google pour m'aider à confectionner mes articles de plus en plus hors de prix mais restant à la portée de toutes les bourses, ce matin encore l'un deux fraichement équarri par des horaires de le véto, alors que je leurs proposais d'étaler le rythme du déballage de leur quincaillerie entre un par semaine et un par an afin d'aménager un maximum de sucepince et de mettre le lectorat à genous sans X, pas plus tard que le 29 mars 2012 à 06:12, *** a écrit :

merci à toi John, et pour la suite, c'est comme vous voulez, tous les jours toutes les
semaines ou toulézan pour moi c'est pareil, salsepareille


R : Ben moi je vote pour touléZan qui sont revenus réglisse, ésafé un paké.
Je ne sai pas pourquoi chez vous ça s'affichait tout pitit, je n'ai rien fai, paltan, débordé de nouilles au biro qu'il était morice, Djin augure la semaine à 70 heures de taf, et rené va renégochier les zaccords de Grenaille, que par-dessus la grille de Bouse en mi bémoll ça se joue sur le mode myxolydien myxomatose, blague encryptée por nada amigo, guitariste à moi kejaime dont je suis fan de chichourle, et surtout merci a vou d'avoir existé et dexisté ancor, sinon paplu d'artikl sur le blogaouarson que de beur en broche (sauf moha "cherche la med" reza kila bien cherché)
et vouala toute l'istoire, dit Jaune Larsen avant d'aller mater Breaking Dad sur son écran plasmé.

et bien sûr, sanzoublié la gadget du pif qu'on parlait hier ancor :

http://bayfiles.com/file/6v2l/bGmAZv/maudite_cassette.zip

 J'espère que vous prenez des notes, parce que demain y'a interro surprise.

jeudi 29 mars 2012

Les Disques de la Vache qui ouit # 2 - Dédé et Mireille #2 - L'usine à tubes(1986)





Ca a été épique, pour mettre la main sur les Introuvables mais retrouvés...
Mais n'anticipons pas, les Vraiment Introuvables ne seront disponibles que dans le pif gadget de demain, avec un sachet de pifises électriques.

Ceux que je vous donne à entendre aujourd'hui dormaient dans l'ordinateur de Dédé, à moins que çe soit Mireille, j'ai jamais vraiment su déterminer qui était qui dans cette histoire.
Mais bon, avec de la bonne volonté et quelques poignées de brouzoufs tombés dans les bonnes poches, ça met de l'huile...

http://bayfiles.com/file/6BPv/ZqM4in/DD_MIR1.zip

mercredi 28 mars 2012

Les Disques de la Vache qui ouit # 2 - Dédé et Mireille #1 - Postlogue

Où l'on comprend qu'on va prochainement se trouver en face de quelque chose d'assez énorme, malgré l'hermétisme apparent du propos :

La Véritable Biographie Biodégradable et Chronologique de Dédé & Mireille, narrée par un des survivants du Krach, gravée sur du vrai bois d'arbre.pdf raclé à la main pour être réduit à de fines pelures.jpg par JW, de l'Institut Médico-légal.









samedi 24 mars 2012

Les beaux livres de la vache qui lit : Ashe Barrett # 1



Tiens, puisqu'on en est à parler d'actualisation de potentiel, évoquons le cas Vincent Hardy.
Vincent Hardy ne finira sans doute jamais d'écrire la véritable histoire de Ashe Barrett.
Nous voilà donc éternels orphelins, on s'en doutait un peu, mais c'est l'occasion de se rappeler que le lien de l'attachement pend dans le vide.
C'est dommage, ça partait bien.
Vincent Hardy bénéficie de circonstances exténuantes, mais c'est pas une excuse.
Il vaut mieux faire envie que pitié, et à tout prendre, ne pas se préoccuper du regard des autres, à moins qu'on soit un tueur psychopathe dans le viseur d'un tireur d'élite du GIGN, mais il est alors bien tard pour refaire ses choix.
Les rares éléments biographiques collectés auprès de sources plus que douteuses ne permettent pas de reconstituer un parcours erratique, rendu d'autant plus malaisé que les vents karmiques soufflent assez fort à cette altitude où l'on tutoie les Géants de la Pensée Humaine.

Pour commencer, Vincent Hardy naît difficilement chez sa tante de Bujumbura, au Burundi, car sa mère avait dû s'absenter, prétextant des courses à faire, parce que ça mange beaucoup à cet âge-là.

Une des rares photos de Vincent Hardy bébé, entre son oncle et sa tante.

Plus tard, il est asséché émotionnellement sur le rivage de cette mère morte à marée basse, dont il apprend accidentellement qu'elle est décédée avant sa naissance, bien qu'elle ait tout fait pour lui cacher ce secret de famille.
Il est élevé à la force du poignet par un oncle incarné, rendu tétraplégique à la suite d'un bête saut dans une piscine vide, comme dans une célèbre chanson de Raoul Pitètre, oncle à qui il obéit dorénavrant au doigt, et surtout à l'oeil.



Quelques ouvrages écrits par son oncle, 
manifestement sous l'influence d'anti-inflammatoires périmés,
mais qu'est-ce que vous voulez, en Afrique on fait avec ce qu'on a, 
qui exerceront une forte influence sur le développement ultérieur de l'adolescent tourmenté.

Plus tard, il s'engage dans les commandos parachutistes, ce qui forgera sa personnalité de grand solitaire paranoïde, et donnera à son alter héros ce caractère décidé et risque-tout, surtout quand il s'agit de faire un choix erroné en situation d'urgence, don qui s'acquiert précocement et ne se perd que difficilement et presque par inadvertance, parce que même si on le laisse sur le siège à côté dans l'autobus 28 et qu'on fait mine de descendre à l'arrêt suivant, il se trouve toujours un Bon Samaritain pour vous faire remarquer que vous oubliez votre paquet, et tout est à refaire.
Plus tard encore on le retrouve inscrit à l’Institut Saint–Luc de Mons en section Arts Graphiques, et c'est difficile de comprendre pourquoi et comment, mais avec un coco comme ça vous imaginez bien que les contradictions inhérentes à l'être humain sont poussées dans leurs ultimes retranchements.
A la suite de quoi, et sans autre forme de procès, cette édition inédite dans le monde mondial, antérieure à l'album paru sous le titre "les 12 travaux d'Ashe Barrett" dans les années 8o chez Vents d'Ouest, est vendue à la main et sous le manteau sur le campus de Louvain-la-Neuve, ce qui n'est guère pratique, surtout quand la froidure condamne aux moufles pour éviter les engelures de poitrine, et on se l'arrache sans doute fort peu, vu sa teneur hermético-déroutante, pourtant indéniablement innovante et originale dans le domaine de la figuration narrative.
Encore plus tard  mais pas tout à fait le demain d'hier, une si belle aventure s'évanouit au milieu de nulle part comme le mirage d'un désert peut apparaitre au soiffard sur le plafond d'une oasis, alors que je ferais mieux de balayer la poutre que j'ai présentement empalée dans l'oeil de boeuf de ma porte.
L'Homme et Son Oeuvre inachevée retombent alors dans un oubli prématuré, et même Vincent Hardy a totalement perdu la mémoire de qui il était du temps d'Ashe Barrett, sauf s'il a revu entretemps le Angel Heart avec Mickey Rourke et que ça lui a provoqué une anamnèse (= amnésie de l'oubli), mais c'est statistiquement improbable.
Aujourd'hui, qui est enfin le demain d'hier et le hier de demain, il est illustrateur de livres pour enfants.

Voilà, vous savez tout ce que j'en sais, c'est à dire pas grand chose.
On peut redécouvrir avec une incrédulité croissante et une stupéfaction sur laquelle le temps n'a pas prise, l'enculé de sa race, le début de l'Oeuvre d'Ashe Barrett, sorte d'Homme Sans Qualités à la Robert Musil qui aurait fumé la moquette plus que de raison, et qui en subirait les conséquences dans un univers légèrement gauchi mais à forte présence policière, ce qui n'est pas plus paradoxal que le reste, tout en restant très attaché à sa crispation identitaire d'antihéros post-moderne rêvant d'aventure dans un monde où il est né un peu trop tard pour ça, bien qu'il soit doté d'une très riche vie intérieure, alors ça compense un peu.
http://bayfiles.com/file/4Y5t/NwG7f8/ashe_barrett_1.zip

http://bayfiles.com/file/5cnR/BEwPKY/AB2.zip

Qu'est-ce que j'oublie? ben de saluer dans l'allégresse et la dignité retrouvées là où on les avait laissées, la naissance de ce nouveau babylabel littéraire autoproduit, en souvenir des Editions Nallet-Boisrunvert, fruit d'une initiative privée de moyens mais dotée d'une mémoire de pachyderme et des clés du bureau pour pouvoir scanner sans nuire à la productivité de l'entreprise, alors que tant d'éditeurs indépendants et de libraires émérites ferment leurs portes après avoir mangé toute leur poussière.



jeudi 8 mars 2012

[ Repost ] Les Sax Pustuls : l'avis des animaux (1982)


Originalité, musicalité, radicalité.
Jazz-Rock rennais du début des 80's.
Inédit sur internet, issu de la collection privée d'un prince de Bretagne qui n'a pas les oreilles en chou-fleur.
Nécessaire et indispensable, et forcément introuvable.
Mais retrouvé.

[ MàJ ] 
samedi 11 mars 2023

mercredi 29 février 2012

Tommy

Je ne vous ferai pas l'insulte de vous rappeler qui était ce Tommy, qui à l'estomac frappa les ados pompidoliens.
Mais à l'écoute des instrumentaux du CD 2, moi je dis que pour faire du neuf avec du vieux, quand même, ils sont forts ces japonais.
Et pendant que j'y suis à vous tenir la jambe, je trouve la bande-son moins kitch que le film.
Empreinte d'une certaine pureté, même.
Rappelons aussi que Keith Moon, selon les dires non avérés de mon ancien rédacteur en chef quand je bossais à Culture Rock sur M6, a eu la mort la plus con du rock'n'roll par overdose de cachets pour arrêter de boire.
Paix à son âme.



lundi 20 février 2012

Du vieux avec du vieux (II) : Jean-Patrick Capdvielle



Quand j'étais tout pouti, 
la fée du rock s'est penchée sur mon berceau...
et elle a vomi.
Mais bon, l'important c'est qu'elle m'ait remarqué.


Hommage tardif en forme de Destruction (à moins que ce soit l'inverse) à Jean-Patrick Capdvielle.
Qui aime bien châtie bien.
Ne tirez pas tout de suite, je me baisse.
 Quand j'étais petit et que j'écoutais le premier ralboume de Jean-Patrick, qui a méchamment cartonné dans les charts en 79, j'étais estomaqué par le mélange de roublardise, d'affectation dylanienne, de vrais éclairs springsteeniens et de n'importe quoi de chez Prisunic qui émanait de ses titres les plus réussis.
C'est un peu dommage qu'il soit mort de son vivant, comme Francis Lalanne, JPC s'est couvert de ridicule dès son 2eme opus :
"Kaisse qui va rester kan l'rock'n'roll aura cessé d'exister, caisse qui va rester si vous m'tuez ?"
c'était plus des ficelles, c'était des câbles. Même pour une jeunesse prête à beaucoup de compromis pour assouvir sa soif de poésie et de sentiments vrais, c'était soudain too moche.
C'est dommage, il aurait pu capitaliser sur son premier essai, comme Marx.
Mais la critique est Thésée, vous êtes aussi difficiles que des célibataires exigeants sur un site de rencontres.

mardi 7 février 2012

Snakes and Cats #1 (1985-88)



En ce temps-là, nous étions 4 garçons dans le vent, Joss, Olive, Kris et Ritié, on découvrait le monde impitoyable de la vidéo institutionnelle, on s'était saignés au Coatreven (petit bled des Côtes d'Armor, si, si, vérifiez sur Gouguelmape, j'y passe souvent quand je vais voir mes potes de collège) pour se payer une caméra tritube, un banc cut Umatic et une bouteille de Bushmills pour manger avec, et la nuit après le travail on réalisait des bandes pirates sur le dos de nos clients qui avaient raqué la location de coûteuses et cabalistiques mémoires de trames style Gemini 3, et plus tard le Merlyn, de chez GML... il y avait aussi le Fairlight.
Nous pratiquions une forme de christianisme tribal très peu orthodoxe, mais on ne s'ennuyait pas une seule minute.
Ah, fallait voir comment ça y allait, et aussi comment on en est revenus : pedibus cum jambis.

samedi 4 février 2012

Internénette : des clips à tumbler par terre (2012)



Souvent, en consultant le Staff Picks sur Vimeo, je tombe sur par hasard sur des petits films extraordinaires réalisés avec ces appareils photo caméra syle l'EOS 5D.
Celui-là, plein d'émotion et de dépaysement pour pas un rond.

Ah oui, sinon pendant que je vous tiens, j'ai aussi un tumblr, mais il est moins bien que d'autres, bien qu'il soit vain et symptomatique de rogatons d'auto-dévalorisation (Mon Dieu, préservez-moi de me prendre pour un minable) d'essayer d'être meilleur en tout et de se la mesurer sans rime ni raison.

Surtout qu'en ce moment, à l'instant T de l'heure H du jour JE, il est clair que c'est moué qui ait la plus grosse, si l'on exclut les 3 Poutres de Bamako du pissing contest.

vendredi 3 février 2012

Cap Tv - John Warsen (1988-89)

On commence à rentrer dans le dur, avec une inattendue série d'exhumations posthumes que j'essaierai de dater au carbone 14 dès que j'aurai remis la main sur mes pilules contre les pertes de mémoier.
Par "inattendue" je veux dire par là que je suis aussi surpris que vous, mais c'est pas désagréable.
Evidemment, il vaut mieux y avoir été pour apprécier tout le sel de la chose.
Ca tombe bien, j'y étais... et des fois j'avais une caméra à la main.


Ce fut une époque à nulle autre pareille,
J'en profite pour saluer mon Dédé, ma Mireille.
Qui me le rendent bien, surtout en ce moment.
Au plaisir !

mardi 17 janvier 2012

Michel Benita & Manu Codjia -Ramblin' (2008)

 J'aime bien ce que fait Michel Benita en electro-jazz (Drastic, Ethics)



Mais là, il me coupe la chique en faisant un pas de côté vers le folk atmosphérique.
Cette année, j'achète des disques, vous faites ce que vous voulez :

 on peut l'écouter ici,

et l'acheter .

Nous vivons une époque moderne.

Sont-y pas beaux ?
On s'en fout, du moment qu'y jouent bien.


jeudi 7 janvier 2010

Moondrive - Genius Party (2007)

Moondrive, fusion du manga et de Mutafukaz
(la bédé française qui va être produite par les japs !)


Issu de l'omnibus (je ne savais pas que ça s'appelait comme ça, et ça m'évoque surtout une séquence de mon ami Totoro) et très inégal Genius Party, Moondrive est un court métrage aussi hallucinant que ses petits camarades, mais en plus, très réussi !- j'ai cru y déceler la patte d'un européen, mais il semble que ce soit une de ces damnées faces de citron qui se soit laissée contaminer par la culture franco-belge ; bon, il y a bien des frantsouzes qui se font empapaouter par les tibétains, hein...
Du Studio 4°C, on regardera über alles Mind Game et Amer Béton, psychédéliques, oniriques et pour tout dire grantmorrissoniens.
Par contre, "le manchot mélomane" de Nicholas de Crécy, annoncé comme le seul apport non-jap à Genius Party, semble faire partie de ces films qu'on n'oublie jamais parce qu'ils n'existent que colportés par la web-rumeur, modernes avatars de l'arlésienne.
un film imaginaire de De Crécy ?

le film au format mkv, à visionner avec vlc :

http://www.megaupload.com/?d=FDO4TGZ4