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mardi 27 décembre 2016

Eivind Aarset/Jan Bang : Dream Logic (2012)


J'ai une cruralgie devant, et une lombalgie derrière, ce qui m'interdit momentanément la station debout, et encore plus assise devant mon ordi.

A quelque chose malheur est bon.

Je ressens certaines lancinances et stridulations d' Eivind Aarset (dont il a la recette) comme un manche de Fender dans mon rein droit, et comme il s'agit d'un enregistrement stéréophonique, il me verse en même temps du plomb fondu sur la cuisse (droite également)

"On" voudrait m'empêcher de poster qu'on ne s'y prendrait pas autrement.
Je vais appeler Alain Soral pour en être certain.

En attendant, l'album Dream Logic, que je ne vous partage pas pour ne pas alourdir mon karma, évoque le Brian Eno de la période Fourth World, l'album avec Jon Hassell.

mercredi 7 décembre 2016

Eivind Aarset - I.E. (2015)

Ca fait longtemps qu'on ne voit plus Eivind Aarset à la radio.
Il commet pourtant contre vents et marées des disques de jazz-rock électronicorganiques.
Sa musique est comme l'océan, tantôt limpide, tantôt déchainé.
Et c'est un des guitaristes de jazz norvégiens les plus innovants de sa génération.
Il jouit d'une renommée discrète auprès des jazzeux.
Il a beaucoup joué avec Nils Petter Molvaer.
Que dire d'autre à part d'acheter ses disques si on l'apprécie ?


http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2015/02/arild-andersen-group-electra-2005.html
http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2014/11/eivind-aarset-sign-of-seven-2010.html
http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2014/11/martuxm-crew-fabrizio-bosso-francesco.html
http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2009/09/eivind-aarset-connected-2004.html


Insensible au succès : à l'annonce de son prix Nobel de la guitare trafiquée, sa seule réaction fut de se laisser violemment pousser la barbe.

avant


après


jeudi 29 septembre 2016

Broken Thoughts : Wave Function Collapse (2015)

Tombé par hasard sur un chinois qui a des trucs à dire en musique.
Son argumentaire est intéressant.

https://brokenthoughts.bandcamp.com/album/wave-function-collapse

Sinon, j''ai acheté et j'écoute le dernier Guillaume Perret, un peu saoulant quand il veut jouer l'homme-orchestre, je vous le partage pas pour ne pas alourdir mon karma, je l'ai déjà mis sur un tracker de torrents hyper-secret pour remonter mon ratio.



Et j'essaye d'acheter tous les disques qui m'ont plu cette année, mais des fois c'est dur de les trouver, même sur des boutiques en ligne, quand le formulaire de la maison de disques sise en Angleterre rejette ton adresse parce qu'elle n'est pas conforme à son modèle.
C'est mon nouveau challenge.
Je ne suis plus du tout dans l'esprit "je suis une tombe". Mais pas encore dans autre chose.
Quelle étrange vacance, d'autant plus que je n'en ai pas pris cette année.

jeudi 23 juin 2016

The Thing With Five Eyes - نور

Ca fait un moment que je n’avais pas eu de nouvelles du Kilimanjaro Darkjazz Ensemble et de son satellite en orbite basse The Mount Fuji Doomjazz Corporation.
Leur dernier live m'avait empli d'une terreur indicible.



Lovecraft, croisé à la sortie du concert, s'est exclamé "ça fout trop les j'tons" puis en fit un récit accablant dans l'Affaire Charles Dexter Ward.


Les membres du groupe, reculant un peu tard devant la monstruosité qu'ils avaient engendrée, et assaillis des plaintes répétées du syndic de l'immeuble dans le local poubelles duquel ils répétaient, se séparèrent.
Mais Jason Köhnen n'avait pas dit son dernier mot.

https://thethingwithfiveeyes.bandcamp.com



http://www.mediafire.com/download/2fhzk7x063tb26w/ko.zip

Son Telecast est très bien aussi.

 نور signifie ‘Gloire’.
Vous mourrez moins bêtes, mais vous mourrez quand même.


Attention quand même aux effets secondaires d'une écoute répétée de  نور 

jeudi 16 juin 2016

Jon Hassell - City : Works Of Fiction (Expanded Edition) (2014)

Le genre :
jazz moderne tendance extraterrestre.

Le billet de Jacques Boudinot :
ici.

Et un autre, en français.

Le disque :
.

Mémo pour le dire :
dans ce disque, j'entends des nids de serpents assoupis, des crémations sous la pluie balinaise, des files de véhicules vétustes rejetant un monoxyde non filtré par un pot catalytique dans des métropoles surpeuplées du Tiers Monde sous des néons grésillants, et pas mal d'autres trucs... c'est vous qui voyez.


mercredi 6 janvier 2016

Jon Hassell : Dressing for Pleasure (1994)




http://www.discogs.com/Jon-Hassell-Bluescreen-Dressing-For-Pleasure/release/40868

"Genre: Experimental Electronic, Future Jazz, Acid Jazz, Trip Hop "


Two of the most memorable albums from the trip-hop and acid jazz era are by cornettist Graham Haynes (Transition) and trumpeter Ben Neill (Goldbug. Dressing for Pleasure preceeded them both. Usually, an adjective like "suave" doesn't sit easily on an ethnomusicologist whose knack for directness is grounded by his sense of beauty; neither does a label like "acid jazz." But this is Hassell's only album to fit its musical moment, following his appearance on the soundtrack of the crime film Trespass. The feel of a fully committed band is especially amazing – Hassell and drummer Brain work with an army of bassists (six, including Flea of the Red Hot Chili Peppers) and enough programmers (three) to field a dot com startup on a coffee break. Hassell's horn flits through a sexy blend of trip-hop's hard drum programs topped with soft, impassive electronic textures like a bird circling over a crowded intersection. Woodwind player Kenny Garrett and guitarist Gregg Arreguin provide thematic voices, too, but melody is rarely enough in this genre. As always, the real fun lies in how these instruments are broken up by the programmers, led by Jamie Muhoberec, a Hassell associate on Trespass and Fascinoma. Their work helps a trumpet melody, suave enough for Herb Alpert, sound like that artist playing through the blades of an electric fan. The sample of Duke Ellington's "Bakliff," laminated into "Destination: Bakliff"'s rhythms, prefigures the jazz covers on Fascinoma. And when that horn moans from between a camera shutter and Leslie Winn's coo-oohing in the sultry "Sex Goddess." Dressing for Pleasure is all that – an ethnomusicologist suavely dipping into a trip-hop trust fund. Old Morcheeba fans should duck into pawn shops to hunt for a copy.


Review by John Young, Allmusic.com


http://avxhome.se/music/electronica/JonHassellDressingforPleasure.html



samedi 26 décembre 2015

Electronic Explorations - The Kilimanjaro Darkjazz Ensemble (2011)

Vous connaissez TKDE ?
De joyeux drilles, toujours prêts à animer vos banquets, repas de noces et de funérailles, séminaires d'entreprise et bar-mitzvah du petit dernier.

http://electronicexplorations.org/?show=the-kilimanjaro-darkjazz-ensemble

et aussi

http://stonermountain.blogspot.fr/2011/03/kilimanjaro-darkjazz-ensemble-from.html :

L'album "From the Stairwell".
Pas mal du tout dans le genre sépulcral concédé.

mercredi 29 avril 2015

Aidan Baker - Already Drowning (2013)





http://www.gizehrecords.com/gzh43.html


Extraordinaire.
Je veux dire, sans commune mesure avec l'opus suivant antérieurement exhumé, qui resplendissait pourtant au milieu de mes divergences acouphèniques ta mère dans mon âge d’or mythique à jamais englouti dans les sables du début du mois d’avril 2015, tel le Patrick Juvénile (Jivénul marche aussi) en proie à une fureur préado dont j’aurais souhaité que jamais elle ne me quittât.

Bon, il n'avait qu'à pas intituler un de ses morceaux "Tout Juste Sous la Surface, Je Guette (feat. Geneviève Castrée)", aussi.
C'est pas moi qui ai commencé.

samedi 28 février 2015

Les tribulations quantiques de John Scofield (II)

Mon premier haïku hypertexte
par John W, classe de 4ème B

Telle l'élémentaire particule,
jadis vantée par Houellebecq,
le jazzman au phrasé si sec
s'acoquine à Gov't Mule.

Le principe d'incertitude, qui veut que Scofield soit là où l'on ne l'attend pas et que l'on ne puisse mesurer ni sa masse, ni sa vitesse, est ici pleinement réaffirmé dans sa radicale altérité.

Et je vous épargne pour l'instant les conséquences sur l'effet de spin, entièrement imputables au paradoxe Einstein-Podolsky-Rosen, mais vous ne perdez rien pour attendre.


http://exystence.net/blog/2015/01/25/govt-mule-featuring-john-scofield-sco-mule-2015/ 

vendredi 27 février 2015

Les tribulations quantiques de John Scofield contre le principe d'indétermination d'Heisenberg

En octobre dernier, je suis allé voir Bill Frisell et John Scofield en concert avec ma chérie.
J’aime bien Bill Frisell, guitariste aérien et faussement naïf, quand ses disques s’aventurent vers le jazz mou et saturé plutôt que quand il déflore l’americana ou revisite l’histoire des musiques populaires qui font fureur chez les bouseux de l'Arizona juste après que ceux-ci aient inventé le ramasse-courges, dont la culture sauve de la famine une grande partie de la population en offrant des ressources supplémentaires à des familles qui en ont besoin.

Quand à John Scofield, j’avais retenu sa contribution endiablée à l'album The Man with the Horn de Miles Des Vices. 
Pour tout vous dire, en achetant les billets, je l'ai un peu confondu avec Mike Stern. 
Après enquête, c'est Mike qui jouait de la cornemuse nucléaire sur The Man With The Horn.
Scofield, lui, jouait sur Star people, le petit farceur; mais je ne l'ai appris que bien plus tard. 
Trop tard ? 
Les lecteurs auraient sans doute rectifié d’eux-mêmes, mais je n'en avais pas sous la main. 
Je ne suis pas comme l'Odieux Connard, qui persuade ses thuriféraires de l'accompagner au restaurant pour y assouvir son besoin de reconnaissance du ventre.

John Scofield, j’avais quand même écouté son dernier disque avant d’y aller, parce que dans un monde où l'on a tôt fait de périr de surinformation, on aurait tort de s'en priver avant la prochaine Blitzkrieg de l'Armée Electronique Syrienne.
Bref. 
Surplombant au balcon un parterre de notables de la semaine, nous assistâmes un peu gênés (il est gênant de surplomber les génies quand on se croit malin de s'affranchir de ses déficiences en s'en réclamant, d'autant plus quand on va voir n’importe qui en croyant que c’est quelqu’un d’autre, comme ce sinistre imbécile de Rémy Gaillard) à un double set à fleurets et médiators mouchetés, élégant et propret. 

L’acoustique de la Cité des Congrès laissait à désirer, (le son était flou !) on était mal placés, ça sonnait moins bien en live que sur disque, les artistes étaient loin d'être des publicités vivantes pour le téléchargement illégal, mais heureusement, ces vieux jazzmen, quand ils sentent qu'ils jouent en pays conquis, ils font des tout petits sets de 70 minutes, et finalement c’est vite passé, en tout cas c'est ce qu'on se dit une fois que ça s'est passé.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça n'a pas enthousiasmé ma femme, surtout le passage où Scofield étouffe son bébé dans un interminable solo de sacs plastiques, elle a de très bons amis qui sont d'anciens bébés et elle a trouvé ça un peu stigmatisant, et si je cherchais à me concilier ses grâces, l'entreprise semblait mal engagée et pour tout dire frisa sur le moment le dépôt de bilan et le râteau du siècle, j'en serais quitte pour dormir à l'auberge du cul tourné, mais n'anticipons pas.

Heureusement, en première partie Bill Frisell était entré de plain-pied dans son âge spatial, et mon intention de départ était bonne, pacificatrice et républicaine, c'est important pour une femme, surtout la mienne, donc au final elle ne m'en tint pas rigueur au delà d'une période probatoire de trois mois après les faits durant lesquels je fus tenir de dormir sur la télé du salon.

Quoiqu'il en soit, John Scofield conclut ce soir-là sa prestation au tarif syndical par une version instrumentale d'une chanson issue du patrimoine country américain qui se grava dans mon oreille sans ressortir par l'autre :
"Just A Girl I Used To Know", de Jack Clement.
On comprendra aisément pourquoi ce rappel inspiré me mit la puce à l'oreille, en s'infligeant les 128 versions que j'en ai approximativement visionnées sur Youtube, la chanson en question évoquant sans tabous la pudeur légendaire des vieux cowboys à propos de leurs anciennes conquêtes de l'Ouest.

Contentons-nous pour l'instant de l'originale, aux lyrics ô combien explicites.

Voir également la version de Scofield, au milieu de laquelle il dérape élégamment (ou pas) dans l'indétermination chère à Heisenberg, surfant avec des bottes en caoutchouc sur le fil du rasoir de la désorientation de la personne âgée dépendante de ses royalties pour continuer à survivre vaille que vaille dans un monde incrédule où le cauchemar a déjà commencé.



Et au bout du compte, mêmes si les pires choses ont un début quand les meilleures ont une fin, et quand j'eus fini par faire un débriefing de cette soirée traumatisante pour prendre le taureau par les cornes tout seul comme un chien devant mon ordinateur, à déterrer tant de trésors que si j'avais eu une queue je n'aurais pas hésité à la remuer dans mes plaies, il s'avéra que la version de "Just A Girl I Used To Know" qui nageait au dessus du panier avait réalisée par un obscur hantiste de Youtube, peu désireux qu'on reconnaisse lui aussi son lancinant besoin de reconnaissance puisqu'il l'interprète dissumulé derrière le facétieux pseudonyme de Wank Hilliams, et sans mettre sa tête dedans, au contraire de la plupart des viméistes dont je tairai le nom, ils me reconnétron.




Le billet du petit érudit :

Par une bizarrerie néo-conspirationniste dont ces damnées faces de citron ont le secret, la version de Scofield de « Just A Girl I Used To Know » n’est disponible que sur le pressage japonais de l’album « A Moment's Peace ». Autant dire que même sur What CD, on l'a dans le baigneur.

Le coin du petit scientifique :

Le principe d'incertitude (ou principe d'indétermination) énonce que, pour une particule massive donnée, (et John Scofield remplit parfaitement cet unique critère), on ne peut pas connaître simultanément sa position et sa vitesse avec une précision supérieure à un certain seuil.
Seuil qui semble avoir été franchi au cours de la rédaction du présent article, pendant laquelle il faut toutefois signaler qu'aucun lycéen qui aurait posté sur un réseau social des messages de «tolérance et de laïcité» n’a été sévèrement molesté par d'autres élèves dans le garage à vélo de l'établissement scolaire en question.

La notule bibliographique non exhaustive :

1/ La nouvelle Encyclopédie de Masse
2/ déjà le tome 2 de Federal Bureau of Physics

dimanche 15 février 2015

Dale Cooper Quartet & The Dictaphones : Metamanoir (2011)



Ca le fait grave !

mercredi 26 novembre 2014

Martux_M Crew, Fabrizio Bosso, Francesco Bearzatti & Eivind Aarset - Imagine (2013)


Excellente surprise.
De toute façon, dès qu'Eivind Aarset participe à un projet, c'est un gage de qualité musicale.
Là où Bill Frisell avait commis un opus assez ennuyeux en reprenant Jaune Les nonnes l'an dernier, Martux_M et son Crew produisent un disque moderne et profondément respectueux.

http://www.israbox.com/1146468909-martux_m-crew-fabrizio-bosso-francesco-bearzatti-eivind-aarset-imagine-2013.html

jeudi 13 novembre 2014

The Gary Burton Quartet With Orchestra : A Genuine Tong Funeral (1967)

En jazz, je suis un nain culte, ce qui ne m'empêche pas d'apprécier les bonnes choses. Au début des années 80, j'ai couru sur la lande avec une compagnie de danse contemporaine qui répétait un ballet sur cet album orchestral, ironiquement funéraire, écrit par Carla Bley qui, paraît-il, aurait été inspirée par un film français nommé "Le monocle rit jaune" dans lequel on voyait un enterrement chinois avec un orchestre de cuivres jouant, naturellement, une musique funèbre.



dimanche 9 février 2014

[Repost] Kilimandjrarrête demain !



The Kilimanjaro Darkjazz Ensemble (TKDE) est un collectif à géométrie variable qui officie dans les mondes electro / jazz / ambient, où ils excellent dans le développement et l'épandage d'ambiances mortifères.
Voici entre autres un excellent EP
https://drive.google.com/file/d/0BzhLl_h0jOHvV1djcUVWSEFBcTg/edit?usp=sharing
de ces petits maitres (0,95 m) du genre.

Le penchant répétitif et le côté drone / doom se retrouve également dans l'alter ego de TKDE : The Mount Fuji Doomjazz Corporation, composé des mêmes membres, et à grands renforts de trompes tibétaines.
Putain de moines !
Voici un de leurs derniers EP.
https://drive.google.com/file/d/0BzhLl_h0jOHvTS03NEVWTjM2aFE/edit?usp=sharing
Les mêmes membres sous un faux nom ?
Ca devrait être interdit !
Est-ce que je poste sous pseudo, moi ?
En tout cas, ça nous change de Steve Roach, au milieu de cette semaine consacrée au dark ambient alors que c'est même pas l'anniversaire de la mort de maman.


samedi 21 décembre 2013

Funki Porcini - Le Banquet Cassio (2013)

Funki Porcini, le retour. 
Je suis d'assez loin les aventures de cet inclassable défricheur de sons  tantôt électro-jazz, tantôt downtempo,  voire carrément mou du genou, et toujours assez ironique.
Est-ce un rital ou un frenchy ?
En tout cas, ses albums sont toujours impeccables.

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Grouïk !

dimanche 10 mars 2013

[ Repost ] The Kilimanjaro Darkjazz Ensemble - Xtabay (2012)



Plus ça va, plus The Kilimanjaro Darkjazz Ensemble m'évoque le Tuxedomoon de ma jeunesse enfuie avec la caisse, la salope.
Ou David Lynch tapant le boeuf avec Godspeed You Black Emperor ! dans une lessiveuse.
Ce maxi-45 à dominante noirâtre et mortifère me réjouit l'âme jusqu'à ses tréfonds, peu accessibles à l'entendement.












samedi 21 avril 2012

The Kilimanjaro Darkjazz Ensemble Live - I Forsee the Dark Ahead, If I Stay (2011)




elle est bien bonne : je l'ai trouvé d'abord sur un blog de voleurs
et ensuite je me suis rendu compte que le groupe l'offrait gratuitement, au risque pléonastique dont les conséquences sont tragiquement infimes, sur son site

article de courrier international pour manger avec, roule ma poule.
A propos de poules, les miennes se caillent grave, j'ai dû isoler leur cabane avec du vieux carton et ça fait un peu camp de roumains.

Edit : j'ai dû écrire ça début février, et depuis j'ai oublié quel article, et les poules gambadent dans la pelouse en y creusant leurs gaies tranchées. 
J'ai pas l'air con, tiens.