Pour sans doute la dernière fois de l'histoire de ce blurg, je poste une compil perso.
Snif, je me manque déjà.
+ images en vrac pour pochette en kit
http://www.mediafire.com/download/h5y2ogr838eflvy/janvier_14.zip
mardi 17 mars 2015
lundi 16 mars 2015
Wadada Leo Smith & Bill Laswell – The Stone: Akashic Meditation (2014)
Ca fait longtemps que j'ai pas écouté Bill Laswell, et c'est un tort.
C'est bon pour ce que j'ai, et aussi pour ce que j'ai pas.
http://exystence.net/blog/2015/02/24/wadada-leo-smith-bill-laswell-the-stone-akashic-meditation-2014/
dimanche 15 mars 2015
Robin Trower – Something’s About to Change (2015)
Salut ma vieille.
Tu les fais pas.
Ce qui me pousse à t’écrire, c’est que à 70 ans passés, Robin Trower vient de sortir un nouveau disque, rudement épatant.
Tu m’avais fait découvrir ce gentleman hendrixien en 83, dans ton gourbi montpelliérain de la rue des écoles Laïques, on faisait l’amour là-dessus et ton caniche trop excité par nos ébats se faisait les coussins.
C'était le bon temps.
Après t'avoir retrouvée en 2010 divorcée d'un californien qui t'avait fait trois beaux enfants, on avait échangé quelques fragments de souvenirs, disséminés façon puzzle.
Tu allais épouser un homme de 60 ans qui t’aimait.
Ma dernière lettre m'est renvoyée par Monsieur Mail Delivery System, tu as encore disparu des écrans.
Robin Trower, lui, reste constant.
samedi 14 mars 2015
Jean-Michel Jarre - Zoolook (1984)
Souvenez-vous, c'est théière.
Jean-Michel Jarre était quasiment le seul auteur connu de science-fiction sonore d'expression française.
30 ans après, que reste-t'il de nos z'amours ?
Les claquements de langue de Laurie Anderson, quelques guitares inspirées d'Adrian Belew, et des nappes de synthé pompières qu'on dirait échappées de la B.O. du Blade Runner de Vangelis.
Le reste ?
Un bouillon kub et de la sciure.
http://exystence.net/blog/2015/01/29/jean-michel-jarre-zoolook-1984-remastered-2015/
Jean-Michel Jarre était quasiment le seul auteur connu de science-fiction sonore d'expression française.
30 ans après, que reste-t'il de nos z'amours ?
Les claquements de langue de Laurie Anderson, quelques guitares inspirées d'Adrian Belew, et des nappes de synthé pompières qu'on dirait échappées de la B.O. du Blade Runner de Vangelis.
Le reste ?
Un bouillon kub et de la sciure.
http://exystence.net/blog/2015/01/29/jean-michel-jarre-zoolook-1984-remastered-2015/
vendredi 13 mars 2015
jeudi 12 mars 2015
Ibrahim Maalouf & Oxmo Puccino : Au pays d'Alice... (2014)
http://culturebox.francetvinfo.fr/festivals/la-philharmonie-de-paris/au-pays-dalice-dibrahim-maalouf-et-oxmo-puccino-210955
En tous points remarquable.
Sauf que je vire l'autoplayer bipolaire de FranceTV tellement on peut pas l'arrêter.
http://oxmo.net/aupaysdalice/
En tous points remarquable.
Sauf que je vire l'autoplayer bipolaire de FranceTV tellement on peut pas l'arrêter.
http://oxmo.net/aupaysdalice/
mercredi 11 mars 2015
Valerie June - Trials, Troubles, Tribulations (2013)
Ca n'apaise pas vraiment Blasphemator®, mais c'est chouette, et c'est sur l'album "pushin' against a stone"
mardi 10 mars 2015
L'actualité brûlante d'avant-hier
Les frères Pirate Bay se déchirent.
Boucq au croquis DSK : ça sent le fauve.
Le retour de Charlie Hebdo
et des jumeaux homozygotes peu banals
Boucq au croquis DSK : ça sent le fauve.
Le retour de Charlie Hebdo
et des jumeaux homozygotes peu banals
lundi 9 mars 2015
Requiem for a Dream : A prayer for Meskalyn
Je me souviens de Guiks.
http://www.numerama.com/magazine/32273-bittorrent-6-mois-de-prison-avec-sursis-pour-gks-guiks.html
Putain, il a pris cher, Meska.
Dans le monde merveilleux du partage, on partage tout sauf le pinard, les filles et les poursuites judiciaires.
dimanche 8 mars 2015
Thomas Fersen : Mon iguanodon (2009)
extrait des paroles :
Voila sa raison qui rampe
Dans les pensées anormales
Alors que la pluie détrempe
Son imperméable
Et la jupe bleue marine
La barette, les gros bas
Toujours le même film
Comme on dit dans le jargon
On va sacrifier ce soir
Une fille au dragon
Je l'attrape par la queue
Je le retiens dans mes songes
Je le retiens dans mes songes mais il est visqueux...
Cher journal,
ce soir, j'ai assisté à une conférence-débat "Connaissance de l'immonde" au cinéma du quartier : Thomas Fersen nous a dressé un portrait saisissant et imagé d'un pervers pépère auquel je ne puis m'empêcher de prêter les traits du peintre albigeois Henri de Toulouse Lautrec, du fait qu'il est fait allusion dans la chanson à ses petits cigares, ses lunettes d'écaille, sa démence.
Qu'Allah me pardonne.
Comme il pardonne à Thomas d'avoir un peu perdu l'inspiration ces dernières années, mais l'époque est rude aux artistes de cabaret nés trop tard dans un monde trop vieux.
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