samedi 23 juillet 2016
[Repost] Minimal Compact : When I go (1985)
27 juillet 2013
Ah là là, de retomber sur ce titre me transporte émotionnellement à 14 ans et demi.
Sans parler de la photo de Ginette qui est partie avec mon coeur et toute l'argenterie.
En plus, j'étais persuadé que c'était de This Mortal Coil, alors que je l'avais entendu sur la B.O. des Ailes du Désir, de Wim Wenders.
J'ai plus toute ma tête.
When I Go
It's time for you to see
That i was swallowing my pride
and now i know
It's not enough for me
to be on somebody's side
Can your hear it?
can you see it?
can you look me in the eyes?
It does'nt really matter anymore
no long ago
you were the way for me
but i'know i have my way inside
cause i know
it's not alright for me
to close my eyes and live a lie
Can your hear it?
can you see it?
can you look me in the eyes?
23 Juillet 2016
Je me tape l'intégrale de This Mortal Coil en décollant tout mon putain d'enduit "murs d'autrefois" de la cage d'escalier à la raclette en buvant du Dissoucol, et cette chanson me revient en tête. Bizarre, elle n'est pas dessus.
Renseignements pris ici même, rien à faire, c'est toujours un titre de Minimal Compact.
Autant pour mon impression actuelle d'être libre de mes pensées.
samedi 16 juillet 2016
The Dwarf & other garden nabbotts (2016)
The Dwarf in the Naze Castle from john warsen on Vimeo.
Ca fait un moment que j'avais pas fait de vidéo à la con.
Pour les références, voyez avec les collègues de mon post précédent.
vendredi 15 juillet 2016
Julian Lage : Ryland (2016)
Je suis en train de réaliser une parodie débile du générique du Maitre du Haut Château à partir d'images de drones en Syrie, tout en détapissant partout, même dans les toilettes.
"Man In the High Castle" Main Title from Elastic on Vimeo.
Non, attendez, ne riez pas, c'est pas la parodie, ça, c'est l'original.
La série est un peu molle du genou.
Black et mortifère.
Après tout, elle décrit un passé dans lequel les Nazis et les Japonais ont gagné la 2ème guerre mondiale.
A priori y’avait pas d'quoi
En signe de joie
Se passer les paupières à la crème de chester
Avec une tringle à rideau d'fer.
Il y a quand même plein de petites bonnes choses dans l’adaptation du roman de Dick.
Le côté sépia et dépressif de la dystopie.
Le manque d’espérance global.
L’impossibilité pour les personnages d’incarner la noblesse des idéaux qu’ils proclament, qu’ils soient nazis, japonais ou résistants.
Le mensonge et la trahison à tous les étages.
La fadeur globale de l’univers proposé, dont toute joie a été gommée.
Un peu comme si nous vivions dans un pays gouverné par François Hollande, qu’il y avait des attentats terroristes le 14 juillet, qu’un despote syrien avait choisi de vitrifier son pays (dans le roman de Dick, il me semble que c’est l’Afrique qui a été vitrifiée, réglant radickallemand le problème des migrants) et qu’un supermarché transnational produisait une série de SF pour nous montrer à quoi on avait échappé.
Mais ça, c’était avant.
Avant que je découvre, grâce à Télérama (Heil Télérama !) Julian Lage et son Ryland.
Le trait d’union entre le Jeff Beck période Wired (1975) et Bill Frisell et John Scofield.
Comment veux-tu que l'espoir capitule
Et qu'on retourne après ça
Jeter en pâture aux chacals
Et aux requins
Ce pur élan de vie
Ce cri de rage
Hein ? Franch’ment.
Bon, allez, c’est pas tout ça.
Rarement météo des plages fut plus complaisante avec les petits travaux d’intérieur.
Même si aujourd’hui il fait scandaleusement beau.
Faut que j’me recolle à la décolleuse.
"Man In the High Castle" Main Title from Elastic on Vimeo.
Non, attendez, ne riez pas, c'est pas la parodie, ça, c'est l'original.
La série est un peu molle du genou.
Black et mortifère.
Après tout, elle décrit un passé dans lequel les Nazis et les Japonais ont gagné la 2ème guerre mondiale.
A priori y’avait pas d'quoi
En signe de joie
Se passer les paupières à la crème de chester
Avec une tringle à rideau d'fer.
Il y a quand même plein de petites bonnes choses dans l’adaptation du roman de Dick.
Le côté sépia et dépressif de la dystopie.
Le manque d’espérance global.
L’impossibilité pour les personnages d’incarner la noblesse des idéaux qu’ils proclament, qu’ils soient nazis, japonais ou résistants.
Le mensonge et la trahison à tous les étages.
La fadeur globale de l’univers proposé, dont toute joie a été gommée.
Un peu comme si nous vivions dans un pays gouverné par François Hollande, qu’il y avait des attentats terroristes le 14 juillet, qu’un despote syrien avait choisi de vitrifier son pays (dans le roman de Dick, il me semble que c’est l’Afrique qui a été vitrifiée, réglant radickallemand le problème des migrants) et qu’un supermarché transnational produisait une série de SF pour nous montrer à quoi on avait échappé.
Mais ça, c’était avant.
Avant que je découvre, grâce à Télérama (Heil Télérama !) Julian Lage et son Ryland.
Le trait d’union entre le Jeff Beck période Wired (1975) et Bill Frisell et John Scofield.
Comment veux-tu que l'espoir capitule
Et qu'on retourne après ça
Jeter en pâture aux chacals
Et aux requins
Ce pur élan de vie
Ce cri de rage
Hein ? Franch’ment.
Bon, allez, c’est pas tout ça.
Rarement météo des plages fut plus complaisante avec les petits travaux d’intérieur.
Même si aujourd’hui il fait scandaleusement beau.
Faut que j’me recolle à la décolleuse.
mercredi 13 juillet 2016
"Je suis une tombe" s'ouvre à l'international
Le cimetière irakien de Wadi-us-Salaam, en Irak, est l’un des plus grands cimetières au monde. Il s’étend sur six kilomètres carrés et comporte plus de cinq millions de corps. Il contient le mausolée d’Ali, gendre du prophète Mahomet, devenu son successeur légitime pour les musulmans chiites. Un étudiant irakien, Halim Hashim Moon, est allé filmer l’intérieur du cimetière avec un drone.
source : Le Monde
lundi 11 juillet 2016
Matthew Collings : Guilt Soundtrack (2015)
En été, la honte donne-t'elle plus chaud ou procure-t-elle un peu de fraicheur ?
Surtout le lendemain de la défaite de la France à l'Euro, qui me fait doucement jubiler ?
Des titres comme « I’ve hurt everyone around me » ou « Something came up/I can't help it » y prennent un relief particulier.
Uh uh uh.
Uh uh uh.
dimanche 3 juillet 2016
Mahavishnu Orchestra - Sapphire Bullets in Antibes, France (1974)
Le taux de pleurage de la cassette (> 3%) est supérieur au mien(< 0,2%).
Mais j'irais bien revoir le Mahavishnu (la Paix) à Antibes, bien que ce soit truffé d'Antibaises.
mercredi 29 juin 2016
Jmes Irwin - Needleye (2012)
Hier, j’ai redécouvert cette chanson de James Irwin, qui m’a ramenée 30 ans en arrière, quand la mélancolie n’était pas une maladie. Elle m’a rappelé un ami avec qui j’ai depuis coupé les ponts, qui raffolait de ce genre de bluette hypersensible sans doute toxique à haute dose, et qui moquait ma prédiliection pour les mélodies plus tortueuses et plus sombres.
Probably du coup, cette nuit j’ai rêvé de cet ami lointain d’hier qui se mélangeait sans problèmes avec mes amis d’aujourd’hui, et tout le monde était content de se retrouver et de passer de bons moments de convivialité ensemble, malgré le fait que je jouais d’une basse électrique bizarre qui ressemblait à un cageot à légumes métallique de chez Ikea qui n’arrêtait pas de se désaccorder.Needleye from James Irwin on Vimeo.
Aïe.
Je me suis pris le chas de l'aiguille dans l'oeil.
Et puis dans l'oreille aussi.
Moi aussisijesavaischanter je ferais desclipsdeselfieautéléphoneportable.
On peut acheter la chanson ici :
https://westerntransport.bandcamp.com/track/needleye
en lisant des articles sur James Irwin
http://jaitoutlutoutvutoutbu.blogspot.fr/2012/12/jai-entendu-james-irwin-western.html
http://jaitoutlutoutvutoutbu.blogspot.fr/2013/01/jai-interviewe-james-irwin.html
lundi 27 juin 2016
Spacemen 3 - The Perfect Prescription (1987)
Spacemen 3 était un English alternative rock band, formé en 1982 by Peter Kember and Jason Pierce. Leur music était "colourfully mind-altering, but not in the sense of the acid rock of the 1960s; instead, the band developed its own minimalistic psychedelia ».
The Perfect Prescription est the second studio album by Spacemen 3. C’est un concept album, "a vision of a drug trip from inception to its blasted conclusion, highs and lows fully intact."
The music becomes progressively more orchestral and serene until the high of the trip, represented by "Ecstasy Symphony"/"Transparent Radiation (Flashback)," moving on to the moment of realisation where the high has faded and the comedown ensues, represented by the harsh opening guitar chords in "Things'll Never Be the Same."
Coming down is represented in the blues based "Come Down Easy," whilst the potentially fatal effects of an overdose are portrayed in the final track "Call the Doctor."
Tout un programme.
J'étais passé à côté de ce groupe.
On ne peut pas être partout.
Si l'on n'y prend garde, l'avidité nous transforme en bibliothécaires.
http://www.mediafire.com/download/h7q8m40pscpwz0g/S3_TPP.zip
samedi 25 juin 2016
Arab Strap - The Week Never Starts Round Here (1996)
Arab Strap* était un groupe de rock indé écossais inconnu au bataillon.
The Week Never Starts Around Here (1996) and Philophobia (1998), depicted the desperate decadence of post-Thatcherite Britain.
Donc à priori la bande-son minimaliste idéale pour célébrer la sortie de la Grande-Bretagne de l'UE.
*An Arab strap is a sexual device, usually made of leather and a metal ring, that is placed around the penis and testicles. This device is usually included in the group of cock rings and cock harnesses usually to play the role of a bondage-type sex toy. The name is probably derived from restraining devices used for mating Arabian horses, including the analogous method of binding. (…) The purpose of an Arab strap is usually to sustain an erection and to stimulate the clitoris during coitus, or as a sex toy.
In other words, this device in this case plays the double role of a cock ring and clitoris stimulator.
(On va voir si le cul, ça fait vendre)
http://www.mediafire.com/download/124vg7bjox798md/AS_TWRH.zip
The Week Never Starts Around Here (1996) and Philophobia (1998), depicted the desperate decadence of post-Thatcherite Britain.
Donc à priori la bande-son minimaliste idéale pour célébrer la sortie de la Grande-Bretagne de l'UE.
*An Arab strap is a sexual device, usually made of leather and a metal ring, that is placed around the penis and testicles. This device is usually included in the group of cock rings and cock harnesses usually to play the role of a bondage-type sex toy. The name is probably derived from restraining devices used for mating Arabian horses, including the analogous method of binding. (…) The purpose of an Arab strap is usually to sustain an erection and to stimulate the clitoris during coitus, or as a sex toy.
In other words, this device in this case plays the double role of a cock ring and clitoris stimulator.
(On va voir si le cul, ça fait vendre)
http://www.mediafire.com/download/124vg7bjox798md/AS_TWRH.zip
jeudi 23 juin 2016
The Thing With Five Eyes - نور
Ca fait un moment que je n’avais pas eu de nouvelles du Kilimanjaro Darkjazz Ensemble et de son satellite en orbite basse The Mount Fuji Doomjazz Corporation.
Leur dernier live m'avait empli d'une terreur indicible.
Lovecraft, croisé à la sortie du concert, s'est exclamé "ça fout trop les j'tons" puis en fit un récit accablant dans l'Affaire Charles Dexter Ward.
https://thethingwithfiveeyes.bandcamp.com
http://www.mediafire.com/download/2fhzk7x063tb26w/ko.zip
Son Telecast est très bien aussi.
نور signifie ‘Gloire’.
Vous mourrez moins bêtes, mais vous mourrez quand même.
Leur dernier live m'avait empli d'une terreur indicible.
Lovecraft, croisé à la sortie du concert, s'est exclamé "ça fout trop les j'tons" puis en fit un récit accablant dans l'Affaire Charles Dexter Ward.
Les membres du groupe, reculant un peu tard devant la monstruosité qu'ils avaient engendrée, et assaillis des plaintes répétées du syndic de l'immeuble dans le local poubelles duquel ils répétaient, se séparèrent.
Mais Jason Köhnen n'avait pas dit son dernier mot.
https://thethingwithfiveeyes.bandcamp.com
http://www.mediafire.com/download/2fhzk7x063tb26w/ko.zip
Son Telecast est très bien aussi.
نور signifie ‘Gloire’.
Vous mourrez moins bêtes, mais vous mourrez quand même.
Attention quand même aux effets secondaires d'une écoute répétée de نور
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