mercredi 6 janvier 2016

Jon Hassell : Dressing for Pleasure (1994)




http://www.discogs.com/Jon-Hassell-Bluescreen-Dressing-For-Pleasure/release/40868

"Genre: Experimental Electronic, Future Jazz, Acid Jazz, Trip Hop "


Two of the most memorable albums from the trip-hop and acid jazz era are by cornettist Graham Haynes (Transition) and trumpeter Ben Neill (Goldbug. Dressing for Pleasure preceeded them both. Usually, an adjective like "suave" doesn't sit easily on an ethnomusicologist whose knack for directness is grounded by his sense of beauty; neither does a label like "acid jazz." But this is Hassell's only album to fit its musical moment, following his appearance on the soundtrack of the crime film Trespass. The feel of a fully committed band is especially amazing – Hassell and drummer Brain work with an army of bassists (six, including Flea of the Red Hot Chili Peppers) and enough programmers (three) to field a dot com startup on a coffee break. Hassell's horn flits through a sexy blend of trip-hop's hard drum programs topped with soft, impassive electronic textures like a bird circling over a crowded intersection. Woodwind player Kenny Garrett and guitarist Gregg Arreguin provide thematic voices, too, but melody is rarely enough in this genre. As always, the real fun lies in how these instruments are broken up by the programmers, led by Jamie Muhoberec, a Hassell associate on Trespass and Fascinoma. Their work helps a trumpet melody, suave enough for Herb Alpert, sound like that artist playing through the blades of an electric fan. The sample of Duke Ellington's "Bakliff," laminated into "Destination: Bakliff"'s rhythms, prefigures the jazz covers on Fascinoma. And when that horn moans from between a camera shutter and Leslie Winn's coo-oohing in the sultry "Sex Goddess." Dressing for Pleasure is all that – an ethnomusicologist suavely dipping into a trip-hop trust fund. Old Morcheeba fans should duck into pawn shops to hunt for a copy.


Review by John Young, Allmusic.com


http://avxhome.se/music/electronica/JonHassellDressingforPleasure.html



vendredi 1 janvier 2016

Steve Roach - Live In Tucson 02​-​14​-​2015 - Pinnacle Moments

Pour bien commencer l'année, dans l'étrange ivresse des lenteurs.




http://steveroach.bandcamp.com/album/live-in-tucson-pinnacle-moments-02-14-2015-name-your-price

jeudi 31 décembre 2015

Jean Constantin : Allah Scène comme Allah ville (1923_1992)






Signalé par un ami, Jean Constantin était est un auteur-compositeur-interprète de chansons françaises.
Cet autodidacte — il apprend seul à jouer du piano en écoutant du jazz et en s'aidant de quelques méthodes — aime autant l'écriture que la scène. Il signe ainsi des chansons qui sont devenues des standards, ainsi que de nombreuses musiques de films. Il est notamment l'auteur des paroles de la chanson Mon manège à moi, interprétée par Édith Piaf.

J'ai trouvé un seul album sur le Net, "à la scène comme à la ville", qui ne lui rend qu'imparfaitement hommage.

Si vous en trouvez d'autres, merci de me les signaler.




http://www.mediafire.com/download/feyqdkk40cmh9j4/JC_ALSCALV.zip


mercredi 30 décembre 2015

[Repost] Hubert-Félix Thiéfaine : Autorisation de délirer (1978)

[2 Avril 2012] 

En radio, on appellerait ça une habile transition.

En bloggage, je sais pas.

En tout cas, c'est clair pour moi que le franc- comtois n'a jamais été aussi imaginatif et délirant que dans çelui-ci, avant qu'il pique un peu du nez du côté obscur de la Force, mais on a tous nos moments de faiblesse.

L'avis des professionnels de la profession est ici.

Merci au forum downparadise pour le link.

[30 décembre 2015] 

Downparadise is dead, Lemmy Kilminster est down, mais Thiéfaine is still alive and well.

http://www.mediafire.com/download/jt61d1xuf2p3hj5/HFT_ADD.zip

lundi 28 décembre 2015

Odezenne : Dolziger Str. 2 (2015)



Odezenne : Meilleure surprise de l'année pour moi, mais des fois il m'en faut peu.

J'ai tendance à me mélanger les crayons entre leur EP 5 titres "Rien" et l'album "Dolziger Str. 2" parce que j'ai acheté toute leur discographie d'un coup,  et que depuis, je n'ai plus toute ma tête.

Je ne les écoute pas souvent, parce que c'est assez toxique, mais en même temps il y a là-dedans une forme de chamanamanisme verbal qui me réjouit.

http://dynamhit.org/odezenne-rien-ep/



 Bouche A lèvres / Lyrics :

Pin pin pin

Souvent la tête dans la cantine, je dessine je dessine
Le gout amer de ta cuisine, mes babines mes babines

Et je finis par voir des gens, des grands avec des gants
Le visage gris des jours semblants, des gens avec des chiens
Je les vois creuser des enfants, avec du cran avec les mains
Mélange le noir avec le blanc, jeu de reins, jeu de vilains
Ils ont des laisses autour des gants, des fesses, des seins
Redonne moi l’heureuse d’avant, je peins, je peins
On oublie tout on oublie rien, je crains, je crains
Que mon reflet dans ta rétine me dédessine, me dédessine
Vivre avec un corps c’est comme vivre avec un mort
Alors je ferme les yeux quand j’dors et j’attend qu’elle dise encore
Mais qu’il est faux ce bel accord, il grince avec nos dents
Mais qu’il est fourbe ce corps à corps, il m’a pincé jusqu’au sang

Souvent la tête dans la cantine, je dessine, je dessine
Le gout amer de ta cuisine, mes babines, mes babines
Et je finis par voir des gens

Pin pin pin

Souvent la tête dans la cantine, je dessine, je dessine
Le gout amer de ta cuisine, mes babines, mes babines
Et je finis par voir des gens

Pin pin pin
Pin pin pin

Souvent la tête dans la cantine, je dessine, je dessine
Le gout amer de ta cuisine, mes babines, mes babines
Souvent la tête dans la cantine, je dessine, je dessine
Le gout amer de ta cuisine, mes babines, mes babines
Souvent la tête dans la cantine, je dessine, je dessine
Le gout amer de ta cyprine, mes babines, mes babines
Et je finis par voir des gens, encore, encore
Et je finis par voir des gens, encore, encore
Et je finis par voir des gens, encore, encore
Encore, encore, encore, encore
Et je finis par voir des gens, encore, encore, encore


dimanche 27 décembre 2015

Nameless - Grant Morrison, Chris Burnham (2015)





Un astronome tue sa famille, puis lui-même, laissant un avertissement énigmatique. Une femme voilée chasse ses victimes à travers leurs cauchemars. Un occultiste arnaqueur connu seulement sous le nom de « Sans Nom» est recruté par un consortium de milliardaires futuristes pour une mission désespérée. Et l'astéroïde malveillant Xibalba - la "Place de la peur " dans la mythologie maya - s’ approche d’une trajectoire de collision avec la Terre. Mais rien n’est ce qu'il semblait être - une expérience terrifiante et inhumaine est sur ​​le point de commencer. Abandonnez tout espoir, laissez vos boules dans le sapin, pensez à prendre un slip de rechange, et confrontez-vous à l'expérience de l'horreur ultime.
Le sixième et ultime fascicule vient de tomber, voici donc la série finie.

http://www.bookgn.com/7802-nameless-1-5-2015.html

Edit

La Review spécial "possédée du démon" de Gogol Trähd :

Un astéroïde de 14 miles de long et 6 miles de large se précipite vers la Terre à 50.000 miles à l'heure - il est appelé Xibalba après la pègre maya, le «lieu de la peur", et de l'impact du niveau d'extinction seront dans 33 jours. Un milliardaire excentrique appelé Paul Darius lance un équipage dans l'espace pour sauver le monde, parmi eux l'expert occulte Nameless dont les sceaux nous l'espérons, arrêter tout le mal est contenue dans Xibalba. Il est Armageddon par voie de HP Lovecraft avec un soupçon de lancement et Prométhée! 

Je suis un grand fan de Batman Incorporated donc je était vraiment excité de voir Grant Morrison, Chris Burnham et Nathan Fairbairn réunir pour cette série d'images. Mais putain l'enfer sainte, ce qui sur terre se passe dans cette bande dessinée? !! Si vous êtes un de ces lecteurs qui ne supportent pas quand Morrison va complètement à côté de la réserve, ne considèrent même pas ramasser Nameless; si vous n'êtes pas, la ceinture de sécurité - il est un trajet cahoteux!  

Xibalba est apparemment mal qui est à l'origine l'humanité de faire des choses mauvaises émet. Nameless est une sorte de voleur de rêve qui va dans les royaumes-Bas, ou quelque chose, de voler symboles magiques comme les clés à quelque part. Mais une fois à la base de lune, il se rend compte qu'il n'a pas été le premier expert occulte recruté - le dernier est allé un peu mentale et engage le premier assassiner lunaire! Puis ils débarquent sur Xibalba et errent autour de ses entrailles noires - à partir de là il est quelqu'un d'deviner ce qui se passe  

L'action que nous pensons se déroule dans le présent est réglé sur Eve / Jour de l'An. La seule autre intrigue avec une légende nous dit qu'il se déroule sur Halloween où Nameless rencontre avec les personnages qu'il est dans l'espace avec à une maison hantée pour une séance qui va terriblement mal. Puis Morrison commence à lancer différents fils de l'histoire au lecteur comme personnages vont d'être mort à être sculpté par quelque chose d'être sur une plage quelque part dans le bureau d'un psychiatre à l'hôpital pour une maison chaude, maison de rasoir, maison sombre, Wormwood Palace - ce qui est le calendrier, ce qui est réel, ce qui est un rêve, ce qui est important, ce qui est pas? Il est comme fonce à travers les différents niveaux de création et chacun d'eux peut avoir des rêves!  

L'art de Burnham est magnifique mais il faut savoir - ce qui est un livre extrêmement gore et les séquences dans Xibalba sont carburant cauchemar. Certains panneaux sont en forme de glyphes ou des sceaux tandis que certaines versions déformées de cartes de tarot surgissent tout au long, mais je ne suis pas dans la magie du chaos ou de tarot ou rien de tout cela je dois donc aucune idée si elles ont une signification. Il semble purty droit bien, surtout avec les couleurs de Nathan Fairbairn!  


Nameless dit "Rien est réel" à la fin de la première question alors peut-être que est la clé - tout cela est une longue imaginaire horribles? Je jouis sur-il des trucs de Morrison et je suis heureux de le suivre sur ce que Rabbit Hole prend sa fantaisie mais celui-ci est allé bien au-dessus de ma tête. L'art est incroyable et je apprécié le tour de montagnes russes de deviner ce à propos de l'histoire, mais la fin est complètement insondable et m'a laissé complètement froid par son impénétrabilité. Invisibles les fans pourraient profiter Nameless mais je pense que ceci est un autre exemple où Morrison est venu avec une histoire remarquable et puis mutilé en étant beaucoup trop abstraite dans le récit.