Tombé par hasard sur un chinois qui a des trucs à dire en musique.
Son argumentaire est intéressant.
https://brokenthoughts.bandcamp.com/album/wave-function-collapse
Sinon, j''ai acheté et j'écoute le dernier Guillaume Perret, un peu saoulant quand il veut jouer l'homme-orchestre, je vous le partage pas pour ne pas alourdir mon karma, je l'ai déjà mis sur un tracker de torrents hyper-secret pour remonter mon ratio.
Et j'essaye d'acheter tous les disques qui m'ont plu cette année, mais des fois c'est dur de les trouver, même sur des boutiques en ligne, quand le formulaire de la maison de disques sise en Angleterre rejette ton adresse parce qu'elle n'est pas conforme à son modèle.
C'est mon nouveau challenge.
Je ne suis plus du tout dans l'esprit "je suis une tombe". Mais pas encore dans autre chose.
Quelle étrange vacance, d'autant plus que je n'en ai pas pris cette année.
jeudi 29 septembre 2016
mercredi 14 septembre 2016
Daniel Lanois : Goodbye To Language (2016)
Le titre me plait bien : Goodbye To Language, c'est pas trop tôt, parce que je lidjsegfdi cradkl brkdxn. Surtout en ce moment.
Et la musique n'est pas mal non plus.
Etonnant itinéraire que celui de Daniel Lanois, quand même.
vendredi 2 septembre 2016
Amon Tobin : Dark Jovian (2015)
Amon Tobin fut un génie de l'électro drum'n'bass quand je n'y connaissais rien.
Dans ses albums des années 90 (Bricolage, Permutation, Supermodified) je comprenais qu'il avait emprunté des parties de batterie jazz, de basse ralentie, qu'il avait samplé des tas d'instruments et qu'il triturait tout cela pour en faire quelque chose de radicalement nouveau.
Il a ensuite obliqué vers la recherche sonore fondamentale, j'étais moins preneur.
Là il est allé très loin.
Dans l'espace.
Près de Jupiter.
Comme Dave Bowman dans 2001, l'Odyssée de mes spasmes, je ne pense pas qu'il revienne.
Ca frise le dark ambient.
Amon Tobin - Dark Jovian from Misha Shyukin on Vimeo.
C'est étonnant.
Ce gars qui a jadis bâti sa réputation sur la fractalisation du tempo et la nucléarisation du beat percussif, qui se ballade maintenant dans les espaces infinis, dont la musique évoque irrésistiblement des images spatiales (2001, Solaris)...
Qu'est-ce qu'on va s'autoriser à être en écoutant une telle musique, si on prend le temps de l'écouter ?
https://amontobinmusic.bandcamp.com/album/dark-jovian
Dans ses albums des années 90 (Bricolage, Permutation, Supermodified) je comprenais qu'il avait emprunté des parties de batterie jazz, de basse ralentie, qu'il avait samplé des tas d'instruments et qu'il triturait tout cela pour en faire quelque chose de radicalement nouveau.
Il a ensuite obliqué vers la recherche sonore fondamentale, j'étais moins preneur.
Là il est allé très loin.
Dans l'espace.
Près de Jupiter.
Comme Dave Bowman dans 2001, l'Odyssée de mes spasmes, je ne pense pas qu'il revienne.
Ca frise le dark ambient.
Amon Tobin - Dark Jovian from Misha Shyukin on Vimeo.
C'est étonnant.
Ce gars qui a jadis bâti sa réputation sur la fractalisation du tempo et la nucléarisation du beat percussif, qui se ballade maintenant dans les espaces infinis, dont la musique évoque irrésistiblement des images spatiales (2001, Solaris)...
Qu'est-ce qu'on va s'autoriser à être en écoutant une telle musique, si on prend le temps de l'écouter ?
https://amontobinmusic.bandcamp.com/album/dark-jovian
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