La première fois que j'ai entendu le son, reconnaissable entre tous, de la trompinette ensorcelante de Jon Hassell, c'était en 1981, sur le disque qu'il avait produit avec Brian Eno du temps où ce dernier était occupé à inventer l'ambient musique.
Quelle claque.
Quelle reconnaissance intuitive et musicale (chez l'auditeur éclairé) du potentiel spirituel de l'être humain.
Sans déconner.
De loin en loin, je retombe sur ses disques, que j'achète irrégulièrement, et je ne suis jamais déçu.
Celui-ci est au moins aussi bath que tous les autres.
quel beau morceau, hein ?
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