jeudi 28 février 2013

Pink Floyd - Wish you were here (Unreleased Tracks)

Je ne sais plus où j'ai déniché ces chutes de studio de la période flamboyante du Floyd, mais l'autre jour dans Philosophie Magazine, dans un article sur le burn out y'avait une photo d'un cadre en train de cramer avec sa valise à la main, qui m'a évoqué une des photos réalisées par le studio Hypgnosis pour la pochette de l'album du Floyd.
Quant à ces unreleased Tracks, peu de pépites, des prises alternatives moins flamboyantes que les originaux, mais quand on aime on ne compte pas.

http://www.mediafire.com/?46srj3cmp384vu6

Pas de Daniel Darc sur ma tombe.
Vie de merde, mort de merde.
Le pauvre.
Wish you were here.

une nouvelle bédé de Ptiluc

J'aurais pas cru ça de lui, qui fut jadis si retors à l'informatique, mais mon copain Ptiluc, privé d'éditeur, lance sa dernière BD sur le net... c'est un portrait à l'acide des ONG en Afrique !
http://bdptiluc.canalblog.com/

mercredi 27 février 2013

The great Crusades - Keep them entertained (2007)

Découverts par hasard sur la bande son de la saison 4 de True blood, cette bande d'énervés de Chicago délivre un rock âpre et tendu, un peu comme si les Blues Brothers avaient préféré la methamphétamine au Jack Daniels, bien que leurs histoires soient fortement imbibées de personnages peu fréquentables.
Il plane ici l'ombre de Nick Cave période Red right hand, dans la façon de raconter des destins brisés par un fatum un peu raide, entre débine et faits divers, yep.



mardi 26 février 2013

les Fils de Teuhpu - Bogdanov (2001)




les Fils de Teuhpu, depuis longtemps engagés contre le nucléaire, ont raconté leur rencontre (fictive ?) avec la jeune Natacha sur les rives du lac Baïkal.

"En vacances au lac Baïkal
Sur la plage de la centrale
Sous un soleil hivernal
J'ai rencontré une fille bicéphale
Elle s'appelle Natacha 
Une oreille, deux nez, trois doigts, 
elle est née dans la misère, 
près de la centrale nucléaire..."

J'ai acheté le titre de bon coeur sur iTunes.
On n'a pas tant que ça l'occasion de se marrer dans le rock français.
International non plus, d'ailleurs.

lundi 25 février 2013

Enigma - Peter Milligan / Duncan Fegredo (1992-93)



Ca fait longtemps que j'ai pas posté de comics, et pourtant j'en lis des bons.
Milligan je l'ai découvert par Hellblazer, dont l'ultime épisode 300 vient de sortir, et après, en remontant le courant, Shade the changing man, et puis maintenant ça, qui date de son âge d'or...
c'est vraiment barré et jouissif, autant que très surprenant, bien que la fin soit un peu bâclée.

http://www.mediafire.com/?bso1qgz21be11lc



dimanche 24 février 2013

State Of The Art (A.E.I.O.U) - Jim James (2013)



State Of The Art (A.E.I.O.U) by Jim James on Grooveshark


Delight come
Delight go
How far will it reach?
Ain't nobody know

And when the dawn breaks
The cradle will fall
And down will come baby
cradle and all

And now I know you need the dark
Just as much as the sun
But you're signing on forever
When you ink it in blood

A.E.I.O.U, A.E.I.O.U
I use the state of the art
Technology
Suppose to make for better living
And a better human being
We got our wires all crossed
The tubes are all tied
And I'm straining to remember
just what means to be alive.
Find More lyrics at www.sweetslyrics.com

A life worth living
Now you can feel it in your chest
Building like a little birds
Just building up the nest
And you build it up strong
And you fill it up with love
And you pray for good rain
All from the Lord above

A.E.I.O.U, A.E.I.O.U

I use my state of the art
Technology
Now don't you forget it
It ain't using me
'cause when the power goes out
I got....eeee..
'cause when the power's goin out
I hear the power's going out
I mean it the power's going out
I really mean it the power's going out



Dans la foulée du revival psychédélique très à la mode depuis hier, Jim James n'a pas fait semblant de tomber dans la marmite. Pour preuve le morceau en écoute, profondément hypeunotique.
Gode blesse Télérama pour la découverte.

samedi 23 février 2013

Mariee Sioux - Gift for the End (2012)

Hier, le mangeur de disques nous a transportés en 69 dans sa grosse machine temporelle qui ne marche que dans un sens : en avant toute vers le passé.
Béni soit-il, encore qu'il me fallait réagir sans délai afin que ce forfait réactionnaire ne reste pas impuni.
Je ne prétends pas en avoir une plus grosse que lui (une machine temporelle, hein) mais des fois je tombe sur des contemporains qui m'évoquent irrésistiblement cette époque bénie de l'amour libre, du fromage de chèvre dans les cheveux et du patchouli en intraveineuse, en compagnie de filles qui ne s'embarrassaient guère de soutien-gorge et ne stressaient pas pour leur plan de carrière, alanguies sur les galets de la rivière glougloutante.
 Mariee Sioux n'est ni mariée, ni sioux, mais chante les paradis hippies mieux que je ne saurais le faire.
La musique, ce voyage merveilleux vers un pays où l'on n'arrive jamais.

Comme le dit Greil Marcus dans le Believer #2, Sioux, née dans la campagne californienne, chante doucement, murmure et piaille, et il est impossible de lui mettre la main dessus, littéralement. Même lorsqu'elle semble se diriger droit sur vous, vous savez qu'il existe une distance que vous ne saurez jamais franchir.

http://www.israbox.com/1146403302-mariee-sioux-gift-for-the-end-2012.html


vendredi 22 février 2013

mercredi 20 février 2013

Gramockuptible 2011


Le vif succès rencontré par l'édition précédente (500 downloads selon les organisateurs, 1 selon le fournisseur d'accès Mediafire) me permet de refinancer avec un énorme cash-flow cette nouvelle compilation d'illustres inconnus oeuvrant dans le domaine du rock contemporain, sélectionnée à partir du best of du site "said the gramophone" pour l'an de grâce 2011.
Cette compilation, c'est bien simple, plus je l'écoute, plus je l'aime, et plus je l'aime, plus je l'écoute.

https://docs.google.com/file/d/0BzhLl_h0jOHvYTgtcXhDOFoxenc/edit?usp=sharing