jeudi 5 janvier 2017

Steven Wilson remixe King Crimson (III)


Non content d'avoir failli être mon Dieu Vivant lors de ses précédentes aventures de ces derniers jours, nonobstant ma prédilection pour les Dieux Morts, Steven Wilson a récemment continué de remixer King Crimson jusqu'à plus soif, comme si le Vieux n'allait pas finir par en claquer, de tous ces tripatouillages.
Je suis pas fana de la période Beat (1982) mais y'a quand même une extended version de Requiem (12'15'') sur laquelle il me fallait poser les oreilles, et lesquelles, sinon les miennes.
Et y'a quand même quelques bons morceaux, même si on était descendu de quelques marches par rapport à Discipline, joyau irradiant de mille feux de la Reformation de 1981.
Beat, par rapport à Discipline, c'est comme Matrix Reloaded par rapport à Matrix : on regrette l'original.
C'est parce qu'on n'a pas encore vu Matrix Revolutions, qui nous fera regretter Reloaded.
Ce sera l'objet du post de demain.
Soyez sages.
Don't do anything I wouldn't.

https://www.mediafire.com/?9x6q9i5wu5t8pur

 Les précédents épisodes sont ici

http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2014/12/steven-wilson-remixe-king-crimson-ii.html

et

http://jesuisunetombe.blogspot.fr/2014/01/road-to-red-ii-steven-wilson-remixe.html

Enfin, je crois.
Je ne descends plus à la cave ces temps-ci, avec mon mal de dos.

Que dire d'autre ? La version de Beat exhumée ici fait partie du King Crimson – On (and off) The Road, 19 disc 1980s Box Set Coming dont c'est le Disc 3: Beat
Mixed and produced from the original multi-track tapes by Steven Wilson and Robert Fripp (2016). Mastered by Simon Heyworth and Robert Fripp

Voilà vouala.
Allez en paix.

mercredi 4 janvier 2017

Blackfield V (2016)



Non content d'avoir été le leader de Porcupine Tree, de remixer Yes ou King Crimson, de sortir quelles que soient les conditions météo des tétrachiées d'albums solos bruyants et pompeux, d'avoir commis des galettes de sous-Pink Floyd dans sa jeunesse, d'être le dernier Gardien du Temple du Rock Progressif, Steven Wilson joue aussi dans Blackfield.
La police ferait mieux de se pencher sur son cas, au lieu de rechercher le terroriste stambouliote.



http://www16.zippyshare.com/v/vU7Kae42/file.html

mardi 3 janvier 2017

Steven Wilson - Transience (2016)



Steven Wilson est le dernier jeune dinosaure du rock progressif vieux.

j'ai trouvé son dernier album sur un serveur russe.

http://rusfolder.com/45298336



1003ème post.
Allelouia.








lundi 2 janvier 2017

Steve Roach - Painting In The Dark (2016)



Comme le malheur, un nouveau Steve Roach n'arrive jamais seul...

dimanche 1 janvier 2017

Virta - On the Run (2016)

Un jeune lecteur me signale de l'existence de Virta.
Je lui brûle la politesse, son article ne paraitra que dans le journal de demain.




https://virta.bandcamp.com

Ca déménage sans lumbago.

samedi 31 décembre 2016

Steve Roach - Spiral Revelation (2016)


L'image décrit admirablement ce que je ressens au niveau de L5 S1 (à ne pas confondre avec S05E01)
Pour moi c'est Spinal Revelation, la musique en moins.
Je vais focaliser sur ma respiration, parce que sinon, la douleur est une maitresse exigeante qui voudrait qu’on ne pense qu’à elle, et ça crispe. 
La salope ! on va pas lui faire ce plaisir !



vendredi 30 décembre 2016

Sinikka Langeland – The Magical Forest (2016)

La forêt magique rassemble le quintette norvégien-finnois-suédois Sinikka Langeland avec les chanteurs du Trio Mediӕval.
C'est un concept inspiré: le Trio Mediӕval, avec leur affinité pour la musique folk et leur mélange vocal unique, s'adaptent idéalement au monde sonore de Sinikka, à la fois archaïque, intemporel et contemporain. Les membres du quintette Trygve Seim, Arve Henriksen, Anders Jormin et Markku Ouanskari sont parmi les joueurs les plus frappants d'origine en Scandinavie aujourd'hui. Tous les chefs de bande à part entière, ils ont mis leurs énergies musicales concertées au service des concepts de Sinikka Langeland pendant une décennie et plus: le quintette est apparu à la fois sur Starflowers (enregistré en 2006) et sur The Land That Is Not (2010) et Seim Et Ounaskari, en outre, a joué sur Le ciel à moitié terminé (enregistré en 2013, publié en 2015). Les premières versions avec le quintette ont également été des explorations de poésie chantée, mettant des textes de Hans Børli, Edith Södergran et Olav Håkonson Hauge. Cette fois, Sinikka Langeland, joueur de kantele et auteur / compositeur de vers de la «forêt des Finnois» de l'Est de la Norvège, regarde des textes beaucoup plus anciens dans un nouveau cycle de chansons construites sur des mythes et des légendes ... «C'est inspirant, dit Sinikka,« de trouver des traces et des fragments d'idées sur l'arbre du monde, axe mundi, dans Finnskogen. J'ai transformé ces histoires parallèles en chansons qui sont encerclées par des passages instrumentaux et des improvisations par les musiciens. »Elle cite le philosophe historien-philosophe Mircea Eliade:« Chaque microcosme, chaque région habité, a un centre, un lieu sacré par dessus tout." Les chansons ici, commençant par le réglage de Sinikka d'un texte traditionnel de chanson de rune, "Puun Loitsu (prière à la déesse d'arbre)", célèbrent l'esprit de place. Langeland est basée à Finnskogen depuis 1992 et les sons de la forêt et de l'histoire profonde de la région font partie intégrante de son travail. Dans ses notes à The Magical Forest, elle écrit que "Finnskogen peut être considérée comme la partie occidentale d'une ceinture culturelle qui s'étend vers l'est à travers la Finlande, la Russie et la Sibérie tout le chemin vers le Japon". Communs à cette voie chamanique sont les chants et les rituels de chasse, comme celui que Langeland illumine sur «Kamui».

source : ECM + Google Trad + paracétamol + opium (20 mg toutes les 2 heures)

mardi 27 décembre 2016

Eivind Aarset/Jan Bang : Dream Logic (2012)


J'ai une cruralgie devant, et une lombalgie derrière, ce qui m'interdit momentanément la station debout, et encore plus assise devant mon ordi.

A quelque chose malheur est bon.

Je ressens certaines lancinances et stridulations d' Eivind Aarset (dont il a la recette) comme un manche de Fender dans mon rein droit, et comme il s'agit d'un enregistrement stéréophonique, il me verse en même temps du plomb fondu sur la cuisse (droite également)

"On" voudrait m'empêcher de poster qu'on ne s'y prendrait pas autrement.
Je vais appeler Alain Soral pour en être certain.

En attendant, l'album Dream Logic, que je ne vous partage pas pour ne pas alourdir mon karma, évoque le Brian Eno de la période Fourth World, l'album avec Jon Hassell.